Commentaires

Je j'utilise pas l'italique pour les pensées, je me suis mal exprimé. Je parle des voix dans la tête - la hache, le dragon, Khaine. Tout ce qui s'entend sans passer par le conduit auditif externe.

Plus besoin d'envoyer, donc. C'est très bon, encore une fois.

On passe à la partie deux... Enfin, tu passes à la partie deux.

Je crois quand même que je vais d'abord passer à l'anat et aux biomaths. Désolé, mais il faut que je m'y mette moi aussi. A toi de reprendre le flambeau (depuis le temps que tu en parles...)

Le flambeau, j'ai dit que je le reprenais fin Mai.

Tu te défiles, oui ! Pleutre !

C'est pas nouveau, à ce que je sache.

Je viens de lire tout ce qui a été réécrit jusque là, et franchement ça en claque ! Bravos messieurs !

Ah, un peu de reconnaissance.

Comment ça, messieurs ? Je n'ai strictement rien fait, moi.

Tu le soutenais moralement.

Mais maintenant que je n'ai plus mon âme, je ne pourrais plus que débiter des bouts de phrases mornes et sans vie.

Oui. Non. Habile.

C'est donc ici que l'on doit commenter? Si ce n'est pas le cas, n'hésitez pas à déplacer mon message.

J'ai lu les deux premiers chapitres de Fils d'Ulthuan et doit avouer avoir apprécié ma lecture. Nous avons à faire à un très beau portrait du désespoir et on en vient très rapidement à se sentir aussi oppressé qu'Arsuynar. Le va et vient de l'espoir et de la morosité est ma foi fort bien rendu et le style est très agréable.
Cependant, je trouve que la scène de combat mettant en scène le lion un brin confuse, j'y ait noté deux ou trois répétitions fort peu opportunes et la description de l'action m'a semblé brouillonne. Petit point négatif à ce niveau là donc...

Aussi, au niveau de l'histoire: nager trois jours pour arriver en ulthuan... cela me semble assez peu crédible. Rejoindre la colonie d'Arnheim eut été à mon sens bien plus sensé.

Je lirais la suite un peu plus tard.

C'est parfaitement brouillon, en effet. La faute à Backe qui voit les choses dans sa tête et se comprend tout seul. Et n'a pas daigné réécrire cette partie.

Pour les trois jours à nager... C'était mon idée et j'avais déjà eu des commentaires à ce sujet.
C'est que le lion est plus ou moins divin, quand même. C'est où, ça, Arnheim ? Ça ne me dit pas grand chose. C'est elfique ? Mes souvenirs datent un peu, mais je ne me souviens pas de ça dans le dex haut-elfe. Et puis, ça fait moins héroïque, même si c'est peut être plus crédible.

Ah, oui, d'ailleurs, faudra que je corrige tout ça avec les nouveaux noms - Ilmathril pour l'elfe et Mindoniel pour le lion. Tant qu'à faire.

Arnheim est la preuve de la supériorité des asur sur les druchiis: une forteresse elfique se tenant sur les terres de Naggaroth, un témoignage que nous pouvons nous tenir sur leurs terres désolées alors qu'eux même ne font que rêver de reprendre notre éden.

J'ai dû vaguement en entendre parler. Mais ce n'est pas un sujet dont il est couramment discuté, me trompé-je ? Ce n'est quasiment jamais évoqué... Et pourtant j'ai les deux derniers livres d'armée hauts-elfes. Peut-être en est-il plus longuement question dans le nouveau livre de règles, que je n'ai pas, par contre.

EDIT : J'ai remplacé le chapitre 2 par la version la plus récente que j'aie, avec les nouveaux noms et de très légères corrections dans les scènes de combat.

Les LA se contentent de placer Arnheim sur les cartes, en revanche je crois me souvenir d'un livre de JDR s'étendant un peu sur le sujet. Toujours est il que dans ma tête, Arnheim a toujours été l'excuse pour introduire et exfiltrer des hauts elfes en naggaroth.

C'était il y a longtemps ! Trois ans, au moins, si ce n'est pas dix.

Même pas trois ans. Tu exagères toujours.

Deux ans et demi, facile.

Après lecture des chapitres 3 4 et 5 de Fils d'Ulthuan, plusieurs constats:
Tu décris avec brio le coté mélancolique des haut elfes avec leurs douleurs d'une rare intensité, leur tendance à rester refermés sur eux même etc... en revanche, lorsque vient le moment de la mort vue en face... étrangement on ne sent plus la même intensité émotionnelle.
Arduilanar face à la mort de son père et de sa mère ne se pose pas de questions, focalisé qu'il est sur l'action. Je veux bien que la situations soit captivante mais je m'attendais au moins à une larme, un regard en arrière, un petit quelque chose de ce goût la lorsque vient le temps de l'héroïque sacrifice paternel et la tragique fin maternelle...

Aussi, je me suis trouvé un poil déboussolé à voir apparemment trois débuts d'histoires sans unité de lieu ni me semble il de temps. On peine à voir comment tous ces fils vont se réunir pour former une histoire et donc, en première lecture, on se trouve un poil égaré...
Car à ma connaissance, Arsuynar a été compagnon d'Arduilanar alors que celui ci était adulte non? De même, l'histoire du nourrisson doit avoir lieu un certain temps avant le reste... car je ne pense pas que tu compte narrer les exploits d'un héros en langes, si?

Enfin bref, il faut que je lise la suite, il faut que je trouve du temps et de la motivation. Félicitation déjà pour ce qui a été écrit qui est d'un niveau tout à fait appréciable pour une fanfiction

Effectivement, je me suis rendu compte qu'il pleurait assez peu ses parents... Focalisé sur l'action, comme tu dis. Je réécrirai sans doute quelques détails à ce sujet.

Concernant le nourrisson, des détails dans le chapitre VI. Et concernant Arsuynar/Ilmathril, dans le chapitre VIII. J'ai encore deux autres chapitres, mais dans une nouvelle sous-partie, je ne les ai pas encore postés "au propre" mais tu les trouveras en fragments éparpillés dans le Patchwork rapiécé.

Je ne veux pas tout te gâcher avant que tu lises le chapitre VI, mais j'ai quand même laissé des indices concernant l'unité... Tu aurais pu deviner. :p

Boarf, un grand reptile bleu, un prisonnier en naggaroth et un miraculé en revenant, oui il y a des pistes mais ce n'est pas flagrant

Un grand reptile bleu, oui. Et une épée. C'est clair comme de l'eau de roche, pourtant.