J'ai pensé que ça pouvait être intéressant. Ces petits détails qui font que l'on aime l'univers de Warhammer.
Je me lance avec la stégaguêpe. Parfaitement, vous avez bien lu, la stégaguêpe. Derrière ce bricolage linguistique barbare et bâclé se cache un terrible insecte volant qui hante les marécages de Lustrie, j'ai nommé, la stégaguêpe. Oui.
Une grosse guêpe, en somme. Mais alors vraiment, vraiment très grosse. En effet, il faut plusieurs dards de razordons pour abattre "pareille bête.
Sachant qu'un dard de Razordon inflige des touches de force 4, ce qui blesse et donc tue un elfe (noir, oui, oui, d'accord) deux fois sur trois, on en déduit que la stégaguêpe est plus solide qu'un elfe.
Mais aussi qu'un humain, on l'oublie trop souvent.
Autre chose, certes un poil abusée, preuve s'il en est que les auteurs de LA ont eux aussi besoin de se dissiper un peu, il est écrit que l'ingestion d'une seule stégaguêpe permet à un razordon, qui est tout de même un animal de proportions fort respectables, de subsister pendant "plusieurs semaines".
Ahem, dira-t-on. Surtout que le razordon, qui projette des volées de dards osseux à coups de spasmes musculaires, doit avoir un besoin nutritif assez conséquent pour reformer les dards expulsés.
Un prochain épisode ?