Présentations

Statut : Mort au combat

Nom : Thor

Faction : Chaos (Night Lord).

Arme/équipement : Pistolet bolter, épée tronçonneuse, réacteurs dorsaux, armure terrifiante.

Taille : 2 m

Il y a des milliers et des milliers d'années, quand le monde était encore monde une croyance voulait que la foudre soit la manifestation d'un Dieu. De cet âge ancien, il ne subsiste rien, hormis cette foi. Peu la connaisse et bien moins l'ont gardé.

Thor, c'est ainsi qu'il c'est baptisé, son vrai nom, personne ne le connaît, lui-même l'a oublié. Il est un Rapace du Chaos, il voue une haine terrible à tout autre guerrier car il se considère comme le combattant ultime, l'aboutissement de l'art du massacre. Les autres ne sont que du bétail bon à être tué et sacrifié au Chaos. Thor n'en vénère aucun en particulier, à vrai dire les Dieux ne l'intéresse pas. Deux choses seulement l'obsède. La vitesse, il désire plus que tout être plus rapide que ses pairs, c'est pourquoi il c'est ainsi nommé, car il frappe plus vite que la foudre. Sa seconde obsession restera toujours la peur. C'est un sentiment qui le passionne. Il ne peut pas le ressentir mais il adore l'inspirer et lire la terreur dans les yeux de ses proies.

Au fil des siècles il a totalement transformé son armure qui a prit l'apparence d'un démon, mais d'un réalisme si poussé que parfois on a la sensation qu'il est vrai. Il a également amélioré ses techniques de guerre. Désormais il excelle pour semer l'effroi chez ses ennemis. Même le plus courageux des soldats tremble comme une brebis devant le loup. Thor appartient à la Légion des Night Lord aussi, il a une aptitude toute particulière pour tendre des embuscades, frapper rapidement et disparaître en ne laissant rien de plus qu'une terreur indicible parmi les survivants.

Thor aime tuer mais il préfère inspirer la peur car il ne vit qu'à travers ça. S'il n'est pas le plus puissant des guerriers engendrés par le Warp, il est sans conteste le plus terrifiant.

La plupart des Rapaces du Chaos, pour tuer, se contentent de monter dans les cieux et se laissent tomber en poussant des hurlements à faire frémir les pierres. Mais Thor n'est pas comme les autres, certes il pratique cette façon de faire, mais uniquement lorsqu'il ne peut faire autrement. Avec le temps, Thor à perfectionné sa technique de chasse jusqu'à en faire sa signature. Que tous sachent où il est passé et tremblent en le reconnaissant. Il aime par dessus tout ne laisser qu'un sillage de sang et de miraculés qui jamais plus ne retrouverons la raison après avoir éprouvés la peur sur le tranchant de sa cruauté. Oui, Thor est excessivement cruel, il est aussi froid, dur, rusé et plus tenace qu'un loup affamé. Mais il est surtout un solitaire, détestant toute forme de compagnie... ou de vie. Lorsqu'il n'a pas de proie, le plus souvent il reste dans les ombres, sans mot dire à observer des choses de lui seul perceptible.

Puis, il y a quelque années, son chemin croisa la route d'un autre de ses frères, un Rapace du Chaos. Par la force des choses, ils durent s'allier. Thor découvrit alors deux choses. La première étant qu'il n'était pas dérangé autre mesure par la présence de l'autre. Ensuite, il prit conscience qu'il appréciait l'espèce de compétition installée entre eux. La deuxième chose qu'il découvrit fut la chasse en duo. Thor se trouva un talent tout particulier pour débusquer les proies qui, plongées dans la terreur, couraient droit sur son acolyte qui tombait littéralement du ciel en ponctuant sa chute d'hurlements rageurs sortis des Enfers. Ensemble, ils semaient des carnages hors de toute imagination. Ils se mirent à vivre de tueries sanglantes, de meurtres barbares et d'ères de terreur sur de trop nombreux mondes pour seulement deux Rapaces.

Nom : Hellbrass.
Prénom : Jolien.

Faction : Garde Imperiale.

Arme/équipement : Fusil de sniper avec silencieux, pistolet laser, couteau, cape de camouflage, gilet pare-balles, viseur incluant une vision nocturne.

Taille : 1 m 30.
Age : 60ans.
Poids : 50kilos.

Jolien vient d'un monde du segmentum Obscurus, mais le reste a été obscurcit par plusieurs décénies de bataille au sein du 253éme mordian.

Les quelques décénies de batailles qu'il a fait lui ont permit de récupéré du materiel pour améliorer son fusil de sniper, notamment en y incorporant une vision nocturne et un silencieux.

Jolien est trés doué dans l'art de l'infiltration et des assassinats, il est certainement le meilleur de son régiment, sa petit taille lui permètte de passer inapèrçu et ainsi de pouvoir profiter de chaque couverts que peux lui offrire le terrain, avant chaque bataille il étudie la zone pour trouver le meilleur emplacement où éxèrcer son talent.

Pour Jolien, le meilleur endroit pour un sniper doit être un endroit qui offre un grand nombres de choix de couvert et qu'y offre aussi une sortie sûr en cas de retraite, pas asser de couvert et les soldats et snipers adverse vous éliminerons facilement, un chemin de retraite pas asser à couvert et l'ennemis vous éliminera lors de votre fuite.

La cape de camouflage et le sniper de Jolien l'ont suivit durant pratiquement toute ses batailles, sa cape lui a permit de se cacher des snipers et des éclaireurs ennemis tandis que son sniper lui permet de tuer ses ennemis.

Lorsque Jolien a une cible dans le viseur de sa lunette il ne la lache pas, ses cibles préférées sont les officiers et les commandants de chars, lorsqu'il en abat un il adore voir la confusion qu'une telle pérte cause dans les rangs ennemis, sans que les soldats ne puissent savoir d'où le tir viens.

Aprés sa dérnière bataille, un officier remarqua ses talent de sniper et lui proposa de venir avec lui sur une colonies pour la protéger, Jolien accepta lorsqu'il su qu'il y aurait de l'équipement à la clé.

Nom: Fregein

Prénom : Ted

Âge : 32 années

Faction : Humain / Contrebandier

Classe : Infanterie de base / Pilote

Armes :
- Pistolet laser standard
- Poignard de combat

Description générale :
Ted fut né d’une après-midi chaude, troisième fils de parents miséreux. Cinquième enfant d’une famille de huit, il vécu dans l’exigeant travail au domicile familiale. Éducation de quelques années, Fregein se découvre un intérêt particulier pour le transport de guerre, et étudia finalement dans le domaine où il eu un certain succès. Il sera par la suite, attaché à un groupe de contrebande illégale où il passa plusieurs de ses années au déplacement de marchandises et, parfois, de soldats.

À cette époque, il arborait de courts cheveux châtain clair, sur un corps relativement petit et de forte musculation due au fort travail. Il n’était pas des plus séduisants : un visage carré traversé par de fine cicatrices et un nez aquilin. Ted portait également un simple treillis jouant dans le kaki et le beige sable ainsi qu’un béret noir comme le charbon. Un simple logo commémoratif à ses années dans le pilotage ornait son centre.

Ted a généralement un caractère chaleureux et jovial, malgré son affectation avec des contrebandiers agressif. Il se fondra également dans l’ombre de ses compères, s’en tenant seulement à dire l’essentiel de ses opinions. Il nie la rumeur sur lui, celle qui racontait horriblement de la manière qu’il avait massacré sa femme et son fils, de cinq ans à ces temps. Depuis ce jour, il fut tout différent du Ted loquace et « échauffer de salle », comme disent les soldats. Un homme put tirer quelques mots de la vérité sur Fregein : que celui-ci était ivre lors du drame. On dit qu’il n’avait plus côtoyé une seule autre femme après l’entretien. Qu’importe les faits, l’histoire fut oubliée au fil des années, Ted, rétablit.

Lors d’un contrat sur Traeff, planète où la femme est considérée comme animal, à la grande indifférence de Ted, il fut maladroitement appréhendé par les gardes à l’astroport, et s’enfuit rapidement avec une ingénieure ayant agressé un homme, elle faisait également partit de la contrebande. Ted put voir dans ses mains habilles un véritable talent pour l’ingénierie. Une amitié fut face, en même temps qu’une certaine rivalité, mais la relation fut entièrement professionnelle. Leur contrebande frôla finalement une planète inconnue, réputé précisément pour des gisements d’ambres. L’opportunité fut belle.

Nom : Pyrrk
Prénom : Helena

Age : 22 années standards

Taille : 171cm
Poid : 64 Kilos.

Statut : Contrebandière
Spécialisation : Ingénierie
Planete d'origine : Traeff

Armes :
- Fusil d’assaut avec viseur 7.62x51mm à munitions solides (Type HK G3) + munitions à gaz
- Pistolet à rafale .40 (Type GL 23)
- Couteau
- Grenades à gaz
- Bâton de signalement au magnésium enrichi

Equipement : Botte type garde impériale noires, vieux treillis militaire de Treaff couleur camouflage sable ocre, surmonté d’un aussi vieux gilet pare-balle gris usagé complet, qui recouvre tout le ventre et le dos. Plaques matelassées au niveau des cuisses et du bas du dos. Au dos, unité de recyclage de l’air, caché par un barda léger contenant documents, vivres et matériel d’ingénierie, de même couleur que le treillis. Fixation du fusil en parallèle du barda, armes de poings, munitions et grenades à la ceinture, en sacoche, couteau dans une botte. Nombreuses poches sur le torse dans lesquelles se trouvent nombres de choses : argent, schéma d’ingénierie, cartes, divers documents, cigarettes en chocolat, petite trousse de soin… Masque respirateur sur le visage relié à l’unité au dos, et lunette de combat teintées. Col noir qui remonte jusqu’au menton, capuche complète surmontée d’un beret noir offert par Frangein. Gants ignifugées.

Physique : Pas excessivement grande, svelte, et aux courbes agréable. Dans le bel age dit-on, elle est plutôt séduisante et attirante. Des cheveux mi-longs gris blond croisés en ce qui semblerait être un amalgame de mèches est en réalité le modèle traditionnel de sa planète. Elle les attache à l’aide de barrettes noires simples pour les empêcher de dépasser de sa capuche. Elle porte des boucles d’oreilles couleur argent en forme de clef. Des cils fins, et des yeux violets. Une bouche et un nez également fin. Une peau claire. Elle porte un tatouage blanc très clair entre les clavicules à la base du cou, représentant un alignement de colonne d’épaisseur différente encerclé d’une lune. Son code, comme toutes les femmes en porte sur Traeff, qui informe sur le géniteur et le propriétaire de la femme. Elle porte deux bracelets à chaque bras, le premier relié au second par une attache de cuir et le second laissant pendre quelques perles extrêmement rares. Elle a une poitrine généreuse, un ventre quasi-plat et le bassin musclé. Elle est agile, mais pas souple, et pas spécialement rapide.

Caractère : Calme, attentive, farouche. Elle s’énerve rarement, tourne tout à la dérision, et à une légère tendance à l’ironie. Pessimiste de nature, elle fonctionne par intérêt et abandonne facilement lorsque l’intérêt n’est plus suffisant. Leçon tiré de ses dernières années de contrebande. Elle prendra tous les risques possibles tant que l’intérêt reste convenable. Elle est attirée par le bénéfice. Néanmoins, elle minimise toujours le plus possible les risques encourus et refuse de travailler pour des personnes suspectes, c'est-à-dire quasi tout le monde. C’est alors le rôle de Fregein. Tout doit être connu et prévu, rien ne doit être laissé au hasard. La précision sans faille des lois de l’ingénierie l’ont conforté dans son idée : la planification, c’est tout. L’improvisation l’inquiète, et développe sa faroucherie. Elle ne fait confiance qu’à une seule personne, le pilote Fregein. Les autres hommes l’inquiète, et en leur présence, elle garde un doigt sur la gâchette. Réflexe conditionné de la vie sur une planète qui ne connaît pas la parité ou l’égalité des sexes. Pour les mêmes raisons, elle ne connaît aucun sens de l’éthique ou de la morale. Elle n’a donc simplement pas été élevée pour avoir de la pitié ou des remords, et elle fonctionne selon le principe que seul la finalité compte, peu importe les moyens. Faute d’enseignement correct, elle ne connaît pas le savoir-faire, et laisse donc à Fregein le soin des contrats. Elle a appris l’ingénierie seule dans des livres pendants les longs voyages spatiaux.
Elle est néanmoins très autonome et sait parfaitement se défendre. Elle aime à rester anonyme, et passe souvent pour un homme, son équipement recouvrant la totalité de son corps et ayant la parole difficile.

Historique : Helena est né sur Traeff, planète machiste ne reconnaissant aucun droit aux femmes, alors considérées comme simple objet de procréation. Fille d’une famille de campagne qui cherchait alors à accéder à un titre bourgeois, elle était, dès sa naissance, déjà mariée à un fils bourgeois qui lui n’était même pas encore né. Conscient de l’éducation dont elle bénéficierait, ses parents non pas daigné lui offrir d’enseignement, payant. Elle passe alors le plus clair de son temps à se ‘préserver’, et sa mère ne lui apprend qu’à sourire pour le jour de la cérémonie. De nature pessimiste et inquiète, elle développe alors les débuts de son coté farouche.

A 15ans, elle s’enfuira pour visiter le monde, une semaine avant la cérémonie. Errant dans les rues de la ville voisines, elle découvre la réalité de son monde et devient l’inquiète qu’elle est aujourd’hui. Ne tardant pas à être recherché, considéré comme hors-la-loi, elle se réfugie dans les banlieux mal fréquentées. Elle y gagne son indépendance et sa débrouillardise en même temps que sa crainte toujours croissante du genre masculin. Elle passera les quatre années suivantes de sa vie à se cacher et travailler dans des lieux sordides, bars, femme de ménage, salle de strip-tease… Elle s’en enfuira à nouveau lorsque la prostitution devenait la prochaine voie. Elle se figurait une image bien mauvaise du sexe, après son enfance.

Pour survivre, manger, boire, elle dû retourne en ville. Elle y resta presque une année dans des travails de bas étages, moins dangereux toutefois, jusqu’à être victime d’un incident avec un homme ivre. Elle réapparut ainsi sur les fichiers de police et fut poursuivi de plus belle. Quatre jours plus tard, elle tenta le tout pour le tout, la Grande Plaine, comme elle appelée alors l’espace et ses étoiles.

Sa tentative échoua lorsque le commis du spatioport l’empêcha de passer, et qu’elle dû l’assommer. Poursuivi par les membres de la sécurité, affolée, et perdant tout ses moyens devant les monstres d’acier qu’elle n’avait jamais vu avant, elle courut sans réfléchir vers le seul navire au sas ouvert. Son pilote venait également de le rejoindre, courant autant qu’elle, et elle se décida à le braquer, barre de fer en main. Son pilote, également recherché, eut un rire, mais lorsque la sécurité commença à refermer les zones d’atterrissage, il recouvrit son sérieux, et força le décollage, Helena à bord. Cette dernière bouleversée se referma sur elle-même.

Elle rencontrait Frangein pour la première fois. Ils mirent des heures à s’adresser le premier mot, et des jours avant de se regarder dans les yeux. Les mois aidant, Helena reprit confiance et décida de se trouver une utilité. Elle étudia l’ingénierie pendant que Frangein s’occupait de nouvelles transactions toujours plus illicites. A 21 ans, devenue experte ingénieure très vite, elle commença même à l’accompagner hors du vaisseau, dans lequel elle vivait depuis plus d’une année. Découvrant le danger toujours omniprésent, elle se mit en tête de devenir un vrai petit soldat. Depuis, elle fabrique ses propres munitons à gaz, utilisant soit un gaz soporifique ou paralysant, soit un insectiscide rongeant les poumons. La conception étant des plus compliqué, elle en possède u nombre très limité.

Et aujourd’hui, ils arrivaient sur une affaire d’ambre.

Nom : Minel

Prénom : Aro

Age : 45 années standar

Classe : Troupe de Choc

Faction : Garde Impériale

Taille : 2m03

Poids : 103 Kg

Equipement : Hellgun, pistolet laser, épée tronçonneuse, grenades frags/antichar, armure carapaçe des troupes de choc, pack de survie, selon les missions arme spéciale/pack antigrav/parachute/auspex

Caractère : Bien qu'il affiche la plupart du temps une supposée indifférence aux horreurs de l'univers, de même que vis à vis de sa beauté, Aro est avant tout dirigé par son coeur. Né sur Luvia, un monde-Lune dépourvut de lumière et de chaleur, il a été habitué à prendre soin de son prochain, car ce n'est que par la solidarité et le travail d'équipe que les Luvians survivent.
Gentlemen à ses heures, il possède sur les femmes un bon paquet de préjugés dont la plupart ont rapport à la galanterie.
Aussi courageux que téméraire, Aro n'hésitera pas longtemps avant de se lancer dans des actions suicidaires, étrangement toujours couvertes de succès.

Détails :
D'une carrure qu'on pourrait qualifier au bas mot d'impressionnante, Aro Minel est le fils d'un ganger, les cheveux bruns coupés courts, des yeux d'un bleu clair, un sourire de parfait voyou. Le portrait craché de son père.
Aro Minel est l'incarnation même des troupes de choc Impériale. Recruté parmis les FDP de sa planète d'origine, il se distinguera rapidement de ses camarades pour sa compréhension naturelle du combat. D'une précision rare aux tirs de son fusil laser radiant "hellgun", il n'est pas manchot au corps à corps et sait faire place net lorsqu'il s'agit de nettoyer une tranchée à l'épée tronçonneuse.
Après quelques années de combats intensifs et d'assauts suicidaires, les vétérans de son régiment estimèrent qu'il avait plus que mérité sa place parmis eux et demandèrent sa réaffectation. Suivant un entrainement intensif, il perfectionna son talent au rang d'art. Il est depuis un membre respecté d'un commando de choc, toujours en pointe des assauts les plus critiques. C'est lors d'un largage au coeur d'une colonne eldar en pleine retraite, qu'il récupéra une cicatrice impressionante courant le long du coté gauche de son visage et manquant de peu de lui oter un oeil. Depuis ce jour, il voue une haine viscérale aux eldars et redouble de fureur lorsqu'il s'agit de les affronter.

On raconte par ailleurs que les services de recrutement de l'Ordo Xenos s'intéresseraient de prêt à lui...

Nom : Hawk

Faction : Chaos (Night Lord).

Arme/équipement : Pistolet bolter, épée tronçonneuse, réacteurs dorsaux.

Taille : 2m50

Même après la fin de l'Hérésie d'Horus et la mort du Traître, Conrad Kruze et ses Night Lords continuèrent à hanter les domaines de l'Impérium, semant terreur et désolation. Jusqu'à ce qu'un assassin parvienne à exécuter leur Primarque. Les Night Lords furent dispersés en bandes désorganisées, juste poussées par leurs instincts meurtriers.

Hawk, qui venait tout juste d'atteindre le rang de Rapace-novice, rejoignit un groupe de frères d'arme dans l'Oeil de la Terreur, où il pu mettre à l'épreuve ses talents. Parmi ses pairs, il se révéla bien vite le plus doué au combat, maniant son épée-tronçonneuse et son pistolet bolter avec une précision, une violence et une force rare. Mais le fait d'arracher la vie d'autrui l'emplissait de bien plus de satisfaction que de terrifier ses victimes. Le pouvoir de vie et de mort sur n'importe qui était pour lui une véritable drogue. Tenir l'existence d'un être vivant au bout de son épée le faisait se sentir un Dieu.

De raids en pillages, Hawk développa de plus en plus son caractère digne d'un Night Lords. Son arrogance, son orgueil et son ambition le fit passer de rang de novice à celui de véritable Rapace du Chaos, à la tête de sa propre bande de pillards. N'hésitant pas à tuer ceux qui ne parvenait pas à le suivre dans sa soif de puissance.

Jusqu'au jour où il rencontra Thor, un Rapace très porté sur la guerre psychologique et qui entretenait l'aspect démoniaque de son armure avec une ferveur quasi-religieuse.
Les deux guerriers étaient diamétralement opposé. Hawk était plus grand, plus fort mais plus sobre alors que Thor était plus rapide, plus vicieux et visuellement plus impressionnant.

Lors d'une attaque Thor fut touché en pleine tête. son casque lui évita de mourir sur le coup, mais pas de subir de graves blessures. Les hommes qui l'accompagnaient le laissèrent sur place pour continuer le combat. Lorsqu'ils revinrent après le pillage, ils furent tous surpris de le découvrir encore en vie, baignant dans son propre sang. Ils allaient l'achever pour récupérer son équipement quand intervint Hawk. Ayant suffisamment dispensé mort et souffrance pour l'instant, il fit s'écarter les autres, moyennant quelques menaces et moulinets d'épée-tronçonneuse, et ramena Thor à leur base pour le remettre sur pieds.

Depuis, les deux Rapaces perpétrèrent bon nombre de massacres à travers bon nombre de systèmes. Cela leurs permit de découvrir que la compagnie d'un autre Rapace pouvait être supportable, et aussi profitable l'un pour l'autre. Thor prenait un plaisir pervers à épouvanter leurs proies tout en les menant droit dans les serres de Hawk, qui fondait du ciel pour entamer sa Danse de Mort à grands coups d'épée tronçonneuse.

Nom : Alenör
Prénom : Ifraelle

Âge : 168 ans

Taille : 1m95
Poids : 66Kg

Statut : Ancienne Banshee, pirate.
Spécialisation : Corps à corps
Planète d'origine : Vaisseau-monde de Biel-tan

Armes : Catapulte Shuriken de poing archaïque dont le holster est accroché à sa cuisse gauche, deux épées moléculaires de Banshee dont les fourreaux pendent dans son dos.

Equipement : Amplificateur psychosonique recouvrant la moitié inférieure de son visage. Elle ne l'enlève que lorsqu'elle se sent en sécurité. Armure composite souple . Un entrelacs de bandes de cuir recouvrent pratiquement tout son corps, mettant en valeur ses courbes plus que aguichantes. Elle porte en dessous plusieurs tuniques de tissu fabriqué au coeur des vaisseaux-monde.
Au dessus des bandes de cuir, plusieurs plaques d'acier souple viennent recouvrir ses jambes, ses bras et son torse. Une paire de lunettes de protection est constamment passée autours de son cou. Privilégiant la rapidité, elle ne s'encombre que du minimum d'équipement nécessaire, si bien que les engagements de longue durée la laissent terriblement mal préparée. Localisateur. Grenades frag et à plasma.

Physique : Comme toute les femmes eldars, Ifraelle ne peut être décrite que comme ensorcelante. Un corps à se faire damner la plupart des humains, une grâce naturelle inaccessible au meilleur des danseurs impériaux et une vivacité hors du commun. Son entrainement de Banshee lui permit d'augmenter encore sa vitesse et son habileté. Comme tout ceux de sa race, Ifraelle est terriblement frêle et on dirait qu'une légère brise suffirait à la briser en deux.
Derrière cette apparente faiblesse se cachent une force physique qu'on ne supposerait pas et une endurance moyenne.
Ses cheveux d'un noir de jais sont le plus souvent attachés en une nattes des plus élégantes et pendent dans son dos jusque au creux de ses reins. Son visage angélique déconcerte souvent ses adversaires, lui fournissant les quelques fragments de seconde dont elle a besoin pour leur ouvrir la gorge d'un seul mouvement souple. Lorsqu'elle ne porte pas son amplificateur psychosonique, ses lèvres pulpeuse semblent toujours vouloir sourire.


Caractère : Ifraelle peut être décrite comme pétulante. Depuis qu'elle a briser ses chaînes, elle dégage une joie de vivre contagieuse et sa bonne humeur semble l'entourer comme une aura de bonheur. Sur son passage, des pirates sanguinaires se mettent à sourire sans aucune raison et le soleil semble éclairer chacun de ses pas.
Mais cette joie presque enfantine se fissure lorsque approche l'heure du combat. Elle devient alors l'incarnation glorieuse de l'Aspect de la Banshee et ses hurlements de rage paralysent ses pitoyables proies. La métamorphose est radicale, et sitôt la victoire acquise, elle redevient une gamine insouciante gambadant joyeusement au milieu des corps qu'elle à semer sur son passage.
Encore jeune, elle rayonne comme une étoile et ne manque jamais une occasion de taquiner son supérieur. "L'éxubérance" de la jeunesse comme le soupirent bien de terrifiants pirates alors que la jeune eldar s'éloigne en riant. Coquette lorsqu'elle ne se retrouve pas plongée dans un bain de sang, elle conserve une garde-robe fournie, s'enrichissant à chaque occasion qu'elle a de commercer avec un vaisseau monde et ne manque jamais une occasion de parader en robe dans les couloirs du vaisseau pirate.
Étrangement, ses prétendants ont toujours su où s'arrêter avec elle. Peut être le fait qu'elle porte perpétuellement au moins une épée joue-t-il un rôle dans cela...


Historique : Élevée au sein du vaisseau-monde de Biel-Tan, Ifraelle fut très jeune destinée à parcourir la Voie de la Banshee. Mais malgré l'amour de ses parents et son excellence dans la progression de sa Voie, elle se sentait insatisfaite. Elle se sentait comme enfermée dans une prison dorée, sans autre avenir que de faire la fierté de ses parents. Aussi, lorsqu'elle se retrouva isolée du reste de son escouade au terme d'une expédition punitive contre des Mon'Keighs, elle décida de quitter la voie qu'on avait tracer pour elle. Évitant habilement les patrouilles humaines, elle vola un vaisseau et parvint à quitter le système. Elle passa ainsi deux décennies à sillonner l'espace, vendant ses services au plus offrant et commerçant avec les Exodites aussi bien qu'avec les humains ou les membres des vaisseaux-mondes qu'elle croisait. C'est ainsi que son vaisseau fut finalement abattu par son précédent employeur dont elle avait refusé les avances, la forçant à s'éjecter dans une capsule de survie. C'est ainsi qu'elle fut retrouvée par un capitaine pirate eldar (Alaya Hel'Manë), maintenue au bord de la vie par un caisson cryogénique primitif, à la dérive dans l'espace. Depuis, elle lui a juré fidélité et est bien décidée à payer sa dette, car comme elle aime le rappeler, "Sa vie vaut bien cent fois celle d'un vieux croulant."

Nom : Hel'Manë
Prénom : Alaya
Âge : 289 années standard

Taille : 2.01 m
Poids : 90 kg

Statut : Capitaine pirate
Spécialisation : Polyvalence et commandement
Planète d'origine : Vaisseau-monde Alaitoc
Armes : Epée énergétique au ceinturon, pistolet shuriken

Equipement : Alaya Hel'Manë porte une armure de psycho-plastique d'antique facture, récupérée des dizaines d'années plus tôt au cours de ses pérégrinations. Il la couvre d'un manteau cintré et légèrement ouvert à haut col, évasé en-dessous de la taille, et maintenu par une large ceinture de tissu, et a généralement une longue cape dans le dos, accrochée sous ses épaulières.

Physique : Comme tous ceux de sa race, Alaya Hel'Manë est grand et svelte. Des années d'errance dans la galaxie ont renforcé sa stature, ce qui fait que malgré son apparente fragilité, il est plus fort et endurant que les Eldars des vaisseaux-mondes. Son visage est mince et anguleux, ses traits sont durs, et ses yeux d'un gris de glace ; ses cheveux d'un noir de jais sont noués à l'arrière de sa tête en catogan. Aucune trace d'affabilité ou de pitié ne passe jamais sur ce visage, bien qu'il eut pu être beau s'il avait daigné se vêtir d'un sourire.

Caractère : Fier et ombrageux, Alaya Hel'Manë méprise les races inférieures et n'accorde aucun respect à la vie humaine. La mort de millions de Mon'Keighs le laissera froid et indifférent si elle permet de sauver une vie eldar. Il est froid et impassible, distant et peu bavard. Inutile de préciser que quiconque outrepasse son autorité se voue à une mort rapide et certaine.
Il s'inflige des règles de vie extrêmement strictes, contrairement à beaucoup d'Errants qui fuient les contraintes des vaisseaux-mondes et se laissent aller à la débauche. La cruauté mène à la dépravation, aussi ne se laisse-t'il jamais aller aux excès sadiques des habitants de Commoragh. S'il le peut, il fera toujours subir une mort sans souffrances intuiles à ses ennemis.
Alaya méprise les humains, mais il voue au Chaos une haine glaciale et infinie. Ses yeux flamboient de colère à chaque fois que l'on évoque ce sujet devant lui, ce qui a convaincu depuis longtemps ses collaborateurs à soigneusement se tenir à l'écart de toute allusion aux Dieux Noirs ou à la Chute.
Seule la présence d'Ifraelle a la faculté d'adoucir légèrement le caractère du ténébreux capitaine. Il se fait alors à peine moins froid, ce qui semble être chez lui une avenance inhabituelle. Personne ne sait s'il est réellement insensible au charme de l'ancienne Banshee, mais il ne manifeste en tout cas aucun signe d'attirance pour elle.

Historique : Alaya Hel'Manë est né sur le vaisseau-monde Alaitoc d'un père Errant et d'une mère qui avait suivi la Voie de l'Artisan. Il ne croisa son père que rarement au cours de son enfance, et vécut dans l'amour de sa mère.
Pendant longtemps, il ignora les activtés de celui qui l'avait engendré. Il l'imaginait combattant vaillamment sur des planètes perdues face à des hordes de créatures monstrueuses, recréant à lui seul un nouvel Empire Eldar. Ces pensées avaient peu à peu fini par remplacer complètement l'image réelle de son père, et elles l'aidaient à supporter son absence. Mais un évènement terrible bouleversa sa vie.
Il entrait dans sa quarante-septième année, et avait commencé son apprentissage de la Voie du Sorcier pour devenir Archonte, quand son père fut abattu par les forces de défense du vaisseau-monde alors qu'il rentrait après une absence de dix ans. Il apparut que celui-ci avait été corrompu au cours de ses mystérieux voyages par une force démoniaque, et qu'il aurait pu contaminer tout le réseau de moelle spectrale du vaisseau-monde. Il avait idéalisé son père jusqu'à en faire l'égal des héros de jadis, un nouvel Ulthanash ou un nouvel Eldanesh, et une mort aussi indigne brisa en lui tout ce qui le rattachait à son vaisseau-monde. Seule une haine terrible habitait encore son coeur en souffrance.
Après cet évènement, Alaya quitta définitivement Alaitoc sans prononcer un seul mot, indifférent aux sages conseils des Prophètes ou aux pleurs de sa mère. Pendant plusieurs années, il erra dans la Galaxie à bord du vaisseau de son père, seul et sans but,recontrant d'autres Errants, des proscrits ou des aventuriers en quête de richesses. Au fils des ans, il se constitua un commencement d'équipage, le noyau de ce qui allait devenir sa flotte.
Aujourd'hui, Alaya Hel'Manë est capitaine d'un Vampire Hunter, et dirige une flotte d'une dizaine de vaisseaux, les Chasseurs Gris. Il ne recherche ni la richesse, ni la gloire, seulement un échappatoire aux ténèbres qui rongent son coeur.

Nom : Voxc
Prénom : Istalius
Âge : 46 années standard

Taille : 1m86
Poids : 56 Kg, 98 Kg avec ses implants

Statut : Bras-droit
Spécialisation : Commandement/ Raids
Plantèe d'origine : Valhalla

Escorte : Lyyr, officier radio, et Zelzik, porteur de lance-flamme.

Armes : Vieux modèle de fusil radiant laser automatique, même gamme de pistolet. Ces "bijoux" d'anciennetés, trouvés au combat, permettent à son utilisateur une grande cadence de tir. Le fusil pourrait s'apparenter à la cadence d'un bolt, ou d'une mitrailleuse, mais rendu bien plus léger et bien moins perforant par l'utilisation d'une cellule laser. Le pistolet quant à lui déclenche 3 faisceaux de lasers concentrés par tir. Son autonomie est cependant relativement basse, et jeter la cellule dans le feu provoque une explosion et non pas un rechargement comme dans la plupart des cellules lasers.

Equipement : Voxc porte encore son ancien uniforme de Garde des Glaces. Il porte également en permanence un masque à gaz de type Chem-Dogs et un Oushanka. Il préfère ainsi largement la fraîcheur de la Lune où se sont établis les pirates ou les pôles du monde exodite.

Physique : Tout au long de sa vie, Voxc a perdu une bonne quantité de membres. Son corps est ainsi recouvert de différents implants, allant d'un bras gauche bionique et d'un implant sur la partie supérieure du torse stables à un ensemble de prothèse au niveau de la bouche qui 'na pas pris, l'obligeant ainsi à respirer par l'intermédiare d'un système dans son masque et à se nourrire par injection. Il ne peut parler très longtemps aussi a-t-il reçu un communicateur mécanisé pour remplacer ses cordes vocales.

Caractère : Istalius Voxc à en lui une haine immense suite à son histoire envers l'Imperium et particulièrement ce Gouverneur, qui a financé l'établissement de cette colonie. Il en est devenu taciturne et froid, traits également poussés par ces fréquentations chaotiques. Malgré tout, son allure menaçante et ses qualités de tireurs ont su faire de lui un chef naturel. Etant expert dans ses décisions et complétement embrigadé dans la cause du Chaos, il est l'anti-troupier de choc naturel. Il n'a cependant aucune expérience de terrain en milieu de jungle et ses implants bioniques sont des proies faciles pour une quelconque souche virale.

Histoire : Istalius Voxc serait née dans la cité ruche tristement connue de Machariusgrad. Cette cité fut en effet victime de la "fièvre blanche", et, le Gouverneur ayant par avarice détourné la moitié du financement destiné à une campagne de vaccination, la maladie emporta les deux tiers des habitants de la ruche. Parmis eux, les parents pro-impérialistes de Voxc. Alors que la Gourverneur était jugé à mort après enquête de l'Inquisition, Voxc reconsidérait le "divin" Empereur et son élu, ce "gouverneur". Pourquoi, après tant de prières lui étant adressés, pourquoi ces parents étient-ils mort dans l'ombre, sans personne pour les aider ?

Le coeur rongé par le désespoir, il s'engagea à 14 ans dans les Gardes des Glaces. Il y passa la majorité de sa vie à combattre pour cet Empereur, doué naturellement pour le tir et atteignant les strates des "troupes de choc". Cependant, même la crème de la crème n'est pas à l'abri de la perfidie du Chaos. De son séjour dans le 114ème de Valhalla, il apprit deux choses : le gouverneur n'était pas mort, comme l'Inquisition avait voulu faire croire à la population, mais par d'habiles manipulations dûes à ses connaissances, il était désormais à la tête d'une petite planète en périphérie de la galaxie et se lançait dans la colonisation d'un monde vierge du nom d'Emarius Alpha. La seconde nouvelle fut tout simplement le Chaos. Il fut en effet prisonnier lors d'une mission suicide destinée à assassiner l'Apôtre Noir Fesltrid lors de la Purge de Constantin. Seul survivant de son équipe, l'Apôtre décida de "s'amuser" avec lui et de lui dévoiler "la vérité".

C'est ainsi que Voxc rentra au service d'une petite fraction de la Légion des Word Bearers. Il forma notamment des troupes de choc pour les puissances de la Ruine. C'est avec l'aide du Mechanicus noir qu'il reçut également sa collection d'implant, ne conservant de son ancienne vie que l'Oushanka et l'uniforme, naturellement souillé par des insignes du chaos. Mais, lorsque ses divers voyages le rapprochèrent d'Emarius Alpha, il s'échappa de la Légion pour "se venger une fois pour toute de l'Empereur et de son élu", d'après le seul renseignement qu'il laissa à l'Apôtre. Il ne tarda pas à rentrer par hasard en contact avec des pirates qui se dirigeaient justement vers la colonie du Gouverneur. Bien qu'une vie de pillage n'était pas réellement sa motivation, Voxc vu la possibilité de se rapprocher du gourverneur et d'anéhantir son projet.

Sa formation de troupe de choc lui permit de monter rapidement les échellons. Il arriva finalement bras-droit du Capitaine de cette meute de renégats. Il est désormais généralement à la tête des raids visant les transports de marchandises ou les structures isolées, notamment aux pôles, de la planète.

Backe, dit « La Seringue », des troupes de choc Luvian, sous les ordres du sergent Otto Von Zimmer, ou quelque chose comme ça. Son jeune âge ne collant pas vraiment avec l'appellation de « vétéran », certains ont décidé qu'il serait un « vétéran bleu ». Un compromis tout à fait acceptable.

Age : 34 années standards

Classe : Troupe de Choc

Faction : Garde Impériale

Taille : 1m98

Poids : 101 Kg

Equipement : Armure carapace, fusil laser radiant, pistolet laser radiant, long poignard en acier luvian, grenades à fragmentation et antichar et bandoulière pleine de seringues dosées.

Caractère : Taciturne, insensible et même flegmatique entre deux « descentes » de psycho. Descentes qui le laissent anxieux, irritable et insomniaque.

Physique : Impressionnant est le terme consacré. Du moins lorsqu'il n'est pas entouré des membres de son escouade, où il passerait presque pour un freluquet.
Littéralement épaissi – d'épaules, de cuisses, de cou, de taille, de torse, de partout par la gravité luvian, tiré vers le haut par le gavage aux hormones, c'est une brute épaisse. Son visage blafard et maigre est couturé de cicatrices, ses pupilles sont d'un noir de jais et ses lèvres minces ne sourient pas. L'un des inconvénients de la consommation de psycho à haute dose est la tombée des cheveux. Ainsi, Backe est totalement glabre.
Pour résumer, il n'inspire pas forcément la sympathie au premier regard.


Historique :

Luvia, le Monde Lune. Un morceau de roche à peu de choses près absolument stérile qui dérive lentement autour d'une vieille naine rouge en fin de vie, incapable d'offrir mieux à ses planètes qu'une nuit permanente et glacée.

Pourtant, quand le Tout-Puissant Imperium est passé dans le coin, avec tous ses scanners et ses sondes géologiques, il n'a pas hésité une seule seconde. Il a tout de suite posé ses grosses mains avides sur ce caillou, et, grâce soit rendue à sa divine et miraculeuse technologie, a réussi à les garder bien en place.

Des gisements métallifères d'une richesse extrême s'étendent en effet sous toute la surface et la percent en bien des endroits, simplement offerts à qui voudra bien les prendre. Vus de l'espace, ils scintillent sous les rares rayons rouges qui parviennent à rebondir vers le cosmos.
D'immenses chaînes de montagnes acérées et coupantes comme du verre courent tout autour de Luvia, vestiges intacts d'une activité volcanique autrefois intense mais éteinte depuis bien longtemps, du moins depuis aussi longtemps que la planète s'est totalement solidifiée.
En des millions d'années, l'érosion n'a qu'à peine entamé son office. Seules les vastes et sinistres étendues de cendres échappent au relief tranchant. Le contraste offert est saisissant et brutal ; sur Luvia, la douceur n'existe pas.

Ces plaines sont le berceau d'une vie improbable, déclinante et admirable d'acharnement. De gigantesques créatures lourdes et trapues assimilables aux reptiles de la Terre, derniers représentants d'une vie supposée foisonnante et brutalement éteinte, comme l'attestent les réserves d'hydrocarbures et les mystérieux fossiles, rampent pour leur survie dans ces désolations d'apocalypse.

C'est au pôle, dans l'un de ces immenses bassins que l'installation impériale a débuté. Quelques milliers d'années plus tard, la plus grande cité-ruche de la planète, première d'une série de trois, élève ses kilomètres d'acier à travers la mince couche d'une atmosphère toxique irrespirable et plonge ses racines dans l'un des gisements les plus vastes de toute la galaxie.

C'est dans cette cité, Luvia Primus, sous sa bulle atmosphérique que respirent officiellement 350 millions de poumons qu'est né Backe, promis à ne pas voir le jour avant des années. Issu de la chair d'une ouvrière de maintenance de seconde classe et d'un mineur mort en expédition sans donner plus de détails, c'est dans les quartiers sous-terrains rongés par la pègre que Backe poussa ses premiers cris, fit ses premiers pas et distribua ses premiers coups de poing. Petit garçon colérique et bagarreur, délaissé par sa mère et tout juste sur les registres de l'administration, il s'adapta bien vite au quotidien de tant de jeunes des Bas-Fonds : violence, errances, encore violence et trafics.
Trafics, justement, auxquels il prit part très rapidement au poste ingrat de consommateur. Après avoir essayé à peu près tout et n'importe quoi, son choix se porte sur le « psycho », un nooanaleptique puissant à injection intra-veineuse. C'est à cette époque que remontent les racines de son fameux surnom. Backe, la Seringue.

De toute son existence passée sur la planète, il n'a vu qu'une seule fois Rouge, le soleil, comme l'appellent les luvians, se lever sur l'horizon gris. De ce spectacle atroce et terrifiant il n'a gardé que les pires de ses cauchemars et plus jamais il n'a voulu le revivre. Il scellera ses paupières toutes les fois suivantes et n'acceptera de les rouvrir qu'une fois les rayons rouges cachés derrière l'épaisse couche de nuages noirs saturés de particules, une fois la Grande Nuit retombée sur Luvia et sur son immense magot.

Une telle richesse a besoin d'une protection à sa mesure. Aussi, dès les premières années de présence Impériale, la nécessité de Forces de Défense Planétaires efficaces se fit sentir.
Un problème de taille se posa aussitôt. Car Luvia est grande, vaste et lourde. La gravité y pèse comme du plomb et vous lie à la surface aussi surement que des chaînes. De génération en génération, les gens de Luvia sont devenus petits, trapus et bien plus épais que la moyenne impériale. Si les deux derniers critères plaisaient bien aux gouverneurs, le premier remporta bien moins d'approbation. Il fut décidé dans les plus hautes sphères de l'autorité luvian que des hommes grands se battraient mieux que des hommes petits.
Les Magus Biologii trouvèrent la solution et ce qui fût appelée la « déluvianisation » des luvians porta tous ses fruits. Des générations – du moins pour ceux qui survivaient aux traitements, de soldats gonflés aux hormones, grands et massifs comme des Spaces Marines en armure... Non, ça, c'était ce que racontait l'un des slogans des campagnes de propagande, celui dont se souvenait Backe. Mais toutes les légendes ont un fond de vérité, et les Luvians « déluvianisés » étaient des brutes épaisses à peine moins grandes que des Orks.

Parmi ces FDP, un premier écrémage avait lieu. Backe eût la chance d'être écrémé. De membre des FDP il devint Garde Impérial, du 22ème régiment de Luvia et fût envoyé se battre à travers tout le secteur armé de son fusil laser, vêtu de l'uniforme gris sombre du 22ème et une batterie de seringues dosées en poche. Si elles rencontrèrent tout d'abord une certaine désapprobation de la part de ses camarades et même de celle de certains sous-officiers suffisamment bien informés, passés les premiers engagements, Backe la Seringue était devenu un sobriquet affectueux qu'on agrémentait toujours d'une bonne tape sur l'épaule, et l'existence des sus-dites seringues avait été proprement oubliée.

Quelques secondes seulement après injection, le rythme cardiaque s'accélère, la respiration devient saccadée, la température interne augmente, la douleur reflue, disparaît... On se sent fort. Et surtout, comme disent les médecins : « la levée des inhibitions provoque une perte de jugement et entraîne des actes inconsidérés et des comportement très agressifs, voire très violents. »
Autrement dit le Saint-Graal du soldat qui hésite à sortir de sa tranchée et à monter au front. Son camarade n'a qu'à presser sa petite seringue sur une parcelle de chair tendre et le voilà mentalement invincible. Ce camarade là n'hésite pas et monte au front, suffisamment devant vous pour essuyer les premiers tirs. Ce camarade là, c'est Backe.

Rapidement repéré par des services de recrutement plus spécialisés, notamment après que cette fameuse rumeur qui voulait que le camarade Backe eût sauté à la gorge d'un ork gigantesque pour l'étrangler de ses mains nues se soit répandue dans tout le campement – l'oubli du long poignard que portait Backe ce jour là fût effectif aux alentours du quatrième colporteur, il fût écrémé une seconde fois et « invité » à signer pour le programme d'entraînement spécial à la surface de son monde natal qui devait faire de lui un véritable Troupier de Choc Luvian. Il signa sans se poser la moindre question.

Entraînés à combattre et à survivre dans les pires conditions – un vieil adage disait d'ailleurs à peu près ceci : « qui survit sur Luvia hors des cités peut vivre dans l'espace avec une écharpe », spécialisés dans les assauts nocturnes en avant des lignes de front et dans les missions d'infiltration de longue durée, ces hommes sont l'élite.
Ils sont les troupes de choc luvians, et ils sont envoyés se battre pour l'Empereur contre ces saletés d'Eldars dans la jungle torride d'Emarius Alpha – un caillou plein d'ambre qui tourne dans l'espace à deux trois pas d'ici . Voilà ce que Backe a retenu du brief' bref et incisif du sergent.


[Peut-être un peu trop d'historique général, à synthétiser peut-être dans une présentation globale genre celle qu'a pondue le Coqué. Ou pas.]

Nom : Jirachi
Prénom : Ysmir
Faction : eldar

Age : perdu le compte, entre 200 et 250 ans

Apparence : corps fin et sec, musculature voyante sans être exubérante, cheveux noirs longs et organisés en queues de cheval, yeux d'un vert émeraude profond, visage anguleux mais beaux, joue droite marqué par une cicatrice fine et longue, la partie gauche de sa tête marqué par un tatouage noire et rouge de la rune du dragon

Armement (la plus grande partie est stocké dans mon vaisseau personnel, j'essaierai de préciser à chaque fois qu'elle arme je porte sur moi) : lames miroirs eldars ; dagues de combat recourbées ; exécuteur ; lame mordante ; lame sorcière ; hallebarde funeste ; lame droites à double tranchant, courtes et accroché à des chaines reliés à des gantelets ; griffe de tyranide monté sur des gants, au bout de chaque doigts ; marteau tonnerre, rarement utilisé ; gantelet gauche de Caelgan (gantelet de puissance avec des griffes en moelle spectrale (30 cm environ) monté dessus) [artefact]

Équipement : Combinaison en psychoplastique ignifugé et renforcé ; manteau rouge ignifugé ; ceinturons de cuir sur tout son torse auxquels pendent ses armes ; jambière et plaques pectorales renforcée ; kit d'entretien des lames ; épaulières noires légères incluant deux doses de drogues anti-douleur pour la gauche et deux doses de drogues de combat pour la droite, avec injecteur neuronale intégré ; combinaison d'abordage spatiale (30 min d'autonomie en oxygène, réacteur pour se déplacer ; généralement stocké dans le vaisseau)


Ysmir est un Errant qui a quitté son vaisseau-monde pour d'obscures raisons. Il recherche toutes les aventures et plaisirs que peux lui offrir la vie. Pour des raisons personnelles il ne craint pas vraiment le chaos et n'arrive pas à comprendre la peur que la plupart de ses congénères éprouvent par rapport à ça. Il a juste appris à ne pas en parler en société, principalement avec son capitaine temporaire.
Par rapport aux autres personnes il peut sembler froid et distant au premier abord mais se révèle un joyeux compagnon par la suite.
Au combat il est serein et ne se bat que à l'arme blanche, dénigrant toutes les armes à projectiles. C'est un véritable danseur de guerre et ses chorégraphies sont époustouflantes, tant du point de vue visuel que du point de vue efficacité. Son principal défaut au combat est son manque de protection et sa confiance en soi.



Historique : Ysmir, de son vrai nom Sai-Feralibèrtoñ-Garlnoss, est originaire du vaisseau-monde de Saim-Hann, d'où il a gardé une passion pour le corps-à-corps et la vitesse. Ayant toujours eu une constitution plus puissante que les autres eldars, il a naturellement été orienté vers le temple aspect des scorpions. Ceci ne lui plaisait pas à cause de leur lenteur au combat. Il commença doucement à se détourner de la voie du scorpion, d'abord en s'entrainant tr-s peu puis en se diversifiant, aprenant les techniques de combat d'un peu tout ceux qui maniaient une épée dans le vaisseau-monde, des gardiens de chocs aux seigneurs fantômes en passant par les banshees.
Le conseil du vaisseau le rappela à l'ordre et il dut se plier à la règle. Ce n'est qu'à l'âge de ses 42 ans, lorsque qu'une troupe d'arlequins stationna à Saim-Hann qu'il découvrit sa voie. Le spectacle de danse l'a tellement impressionné qu'il décida, malgré les nombreuses interdictions du conseil d'apprendre cet art.
Il alla demander aux arlequins de le former mais ceux-ci refusèrent tout net. Un seul accepta de l'aider à ce former en le faisant entrer en contact avec un arlequins qui accepterait de l'entrainer. Il le prévint que deux règles seraient de mises. Entrainement nocturne et aucune parole avec son instructeur. Le soir même Fernoss (nom usuel) rejoignait son instructeur dans un petit jardin, à l'ombre du temple de Khaine. Pendant trois mois il s'entraina chaque soir, progressant à un rythme peu commun, apprenant des passes secrètes, l'art de la danse de mort poussé dans ce quel a de plus parfait. Si Fernoss ne se distinguait pas par son perfectionnisme, sa réactivité et son sens de l'improvisation impressionnait son maître, comme si combattre de cette manière était pour lui une seconde nature.
Au bout de trois mois, le maître et l'élève s'affrontèrent dans un combat grandiose, perfection contre improvisation, stratégie contre instinct. Le match dura jusqu'au matin, où pour la première fois depuis trois mois Fernoss put voir son maître. C'était Le solitaire de la troupe d'arlequin, l'incarnation au théâtre de la Grande Ennemie. Fernoss avait combattu pendant des mois et apprit les techniques d'une personne dont le simple contact pouvait vous maudire à jamais. L'instant qui suivit fut marqué à jamais dans la mémoire de Fernoss. L'arlequin maudit s'inclina bas et s'éloigna comme au ralentie, avant de disparaître brutalement une fois arrivé au bout du jardin.
Quelques jours plus tard un vaisseau pirate eldar arriva près de Saim-Hann. Fernoss décida de les rejoindre sans prévenir, convaincu d'être à jamais maudit par le contact qu'il avait eu avec son ancien maître.
Et c'est ainsi qu'il quitta de manière définitive la civilisation des vaisseau-monde eldar.


Fernoss quitta assez rapidement les Errants pour aller vivre sur un monde exodite, où il se fit rebaptiser Ysmir Jirachi. La vie exodite lui convint pendant longtemps, 60 ans environ, assez libre sans l'être trop. Mais il avait besoin d'action. Il décida donc d'explorer les quelques ruines de sa planète. Cette activité lui plût et il décida de s'y consacrer beaucoup plus. Il explora minutieusement chaque recoin de son monde, revendant les choses intéressantes à des contrebandiers humains de passage. Il commença donc à se créer une petit fortune personnelle, qu'il utilisa pour s'acheter du matériel d'exploration, à commencer par une combinaison de psychoplastique, souple et résistante. Un jour un errant solitaire, fatigué de ses pérégrination à travers la galaxie se posa sur le monde où vivait Ysmir. Il passa plusieurs nuits à raconter ses aventures, tantôt joyeuses, sombres, violentes, amoureuses... Ysmir fut captivé par ce récit et convint avec l'errant un marché : une maison contre son vaisseau. L'errant accepta et, deux jours plus tard, Ysmir quitta pour la première fois la planète.

Il découvrit d'abord la dureté de cette vie, ces repas se réduisant parfois à quelques racines et ces nuits à quelques heures de sommeil entre les grognements des différents prédateurs nocturnes. L'habileté aux armes de Ysmir lui permit de s'en sortir convenablement. Il amassa vite quelque richesse qu'il revendit à des contrebandiers humains contre du carburant, des vivres, des cartes... petit à petit il explora de plus en plus la galaxie, découvrant avec délice de nouvelles choses, de nouvelles formes de plaisir, charnel notamment.
Alors que sa réputation grimpait en flèche il se retrouva impliqué dans son premier vrai combat, contre des gardes qui protégeaient un site de fouille. Il put alors mettre en pratique ses techniques de combat et comprit qu'il était loin de n'être qu'un faible aventurier. Ceci le poussa à intensifier ces explorations dans us en plus dangereuses et sauvages. Le rythme de sa vie s'accéléra, pouvant s'arrêter à n'importe quelle instant. Il explora de nombreuses planètes : mondes nécropoles inactifs, monde ravagé par la guerre, planète humaine indépendante, cité-ruche tentaculaires... il alla jusque dans les endroits les plus secrets, comme Commoragh, royaume des machiavéliques eldars noirs.
Peu de temps après il découvrit une première relique : le gantelet de Caelgan. Un puissant artefact se présentant sous la forme d'un gantelet de force sur lequel était monté trois griffes de moelle spectrale. Il trouva également des indices pour trouver les autres reliques de Caelgan.

Enfin, la chose qu'il avait cherché sans jamais trouver, se révélait à lui. Sa vie auparavant anarchique et hasardeuse avait enfin un but, une ligne générale. Il se mit à la recherche des autres reliques. Sans jamais en trouver une. Cela ne le découragea pas pour autant puisqu'il continua, se lançant dans des zones toujours plus ravagé par la guerre. Son talent pour les lames fut mis de plus en plus souvent à l'épreuve et il commença à se créer une des plus variée collection d'épées et de lames diverses que l'on pouvaient trouver. Tout ce qui coupait l'intéressait avec un plaisir malsain. Tout en explorant au hasard il continuait de chercher les reliques de Caelgan, comme une trame de fond, n'hésitant pas à tout laisser tomber pour une quelconque rumeur sur un potentiel trésor. C'est lors de sa quête des reliques qu'il rencontra les Chasseurs Gris.
Pour quelle raison les a-t-il temporairement rejoins ? Par intérêt ? Par désuétude ? Par curiosité ? Par manque de compagnie ? Par hasard ? Par envie de faire de nouvelle connaissance ? Ou plus probablement parce qu'une sculpturale eldar fait partie de l'équipage ?

Prénom: Telrina
Nom: Harlond
Age: 62années standart
Taille: 1m69
Poid: 41kg

Faction: Exodite
Spécialisation: N'est pas une véritable guerrière mais reste incroyablement discrète en milieu naturel.

Equipement:
Au moment du crash,Telrina était en chasse et ne portait donc que son atirail de chasse c'est à dire un arc composite muni d'un carquoi de trente flèches empoisonées, une paire de pistolets shurikens et un couteau à dépecer. Elle porte une tenue de cuir de dragon assez légère, bien adaptée au climat tropical de la jungle. Le reste de son attirail se trouve dans son repaire, une cabane qu'elle s'est instalée dans la forêt, à quelques heures du lieu du crash, il comprend une armure de moelle spectrale et une lance de duel, dernier reste de la fortune passée de sa famille. Elle possède également un dragon de monte nomé Ambre.


Physique:
Telrina est jeune pour une eldar, son visage n'a pas encore l'aspect sévère que peuvent prendre ceux des membres plus agés de sa race. Sa face est néamoins assez allongée, dominée par une paire d'yeux violets et une chevelure de feu. Plutot petite, sa condition de chasseuse a fait d'elle une créature musclée et agile comme un écureuil. Chacun de ses membres est délicatement proportioné comme c'est souvent le cas chez les eldar mais elle dégage une impression de force à demi sauvage. Sa peau est halée par une grande exposition au grand air. Elle porte en outre des sortes de peintures de guerre sensées la disimulé au coeur de la forêt. Son regard est toujours à l'affut d'une éventuelle menace.


Caractère:
Telrina à toujours été considérée comme une enfant sauvage, préférant l'exitation de la chasse au receuillement des histoires des anciens. Sa vie isolé l'à un peu plus renfermée sur elle même et elle risque d'être assez méfiante au premier abord. Elle est néamoins très ataché à ses amis, sa terre et sa planète et ceux qui seront prèt passer au delà de son aparente froideur trouveront une alliée plus que fiable.


Historique:
Telrina est née sur la planète que les impériaux nomment Emarius Alpha. Fille d'une famille de la chevalerie exodite, maitresse de la tribu de Kagos elle était destinée par sa naissance à prendre la place de son père en tant que dirigeante de la tribu. Cependant Telrina n'a jamais montré d'aspirations politique quelquonque. Depuis sa plus tendre enfance elle fut passionée par les histoires de Kurnous et elle porta un intéret extrême à la chasse.
A peine agée d'une vingtaine d'années humaines elle quitait déjà bien souvent le campement de la tribu pour partir en chasse, une heure, une journée, une semaine. Elle sentait une véritable empathie avec la nature, certains prêtres de la tribu interprèterent celà comme la capacité à resentir à un rare niveau les reflets dans le warp de certains éléments de la faune et de la flore de la planète. Cette comunion avec la nature la poussait toujours plus profondément dans la jungle, toujours plus longtemps. Son père voyait celà d'un mauvais oeil mais ne parvenait à imposer son autorité à sa turbulante fille.
Cette vie simple et joyeuse dura pour Telrina trente six ans.

En cette trente sixième année de sa vie, alors qu'elle revenait d'une semaine passée à traquer un magasaure dans la jungle elle découvrit le campement à moitié en proie aux flammes. Un groupe de pillards orks était passé par là, profitant d'une absence de la chevalerie pour dévaster le petit univers de la jeune femme. Sa propre mère avit été enlevée par les orks avant que ceux ci ne s'enfoncent dans la forêt, laissant un sillage de destruction derrière eux.
Telrina senti la colère monter en elle. Oubliant la fatigue de sa longue traque, la gloire de sa victoire sur le monstre, elle apela en elle la rage de Kurnous avant de prendre son arc, ses flèches et une ancienne paire de pistolets shurikens apartenant à sa famille depuis des siècles
, elle monta sur le dos de son dragon de monte, Ambre, avant de partir à la poursuite des orks.
Les peaux vertes étaient une trentaine en quittant le village. Telrina ne pouvait espérer les vaincre en les affrontant de front mais elle choisit plutot de les combattre telle une ombre de la jungle, frappant en un éclair. Pendant plus d'un mois elle harcela les orks, galopant parfois non loin d'eux, décochant flèche sur flèche, tendant des pièges mortels sur le chemin de la horde verte, d'autres fois encore s'infiltrant dans leur campement, pistolet shuriken au poing, déclenchant un incendie dans les tentes des orks assoupis. Elle semblait un fantôme aux yeux des orks, frappant de nulle part et disparaissant en un instant. A tout moment elle utilisait son étrange connexion avec la nature pour repérer ses proies et ainsi mieux les surprenre.

Après trente six jours de traque elle acheva le dernier ork. Sa mère était morte depuis bien longtemps mais peu lui importait. De même que les trente six premières années de sa vie avaient été dér-truites, elle avait passé trente six jours à se batir une nouvelle elle même.
De retour parmis la tribu de Kagos elle aprit que son père, informé de la disparition de sa femme et de sa fille, avait finit par mettre fin à ses jours. Telrina ne s'en formalisa pas, se contentant de prendre l'armure cérémonielle de sa grand mère ainsi que la traditionnelle lance de guerre familiale avant de s'enfoncer de nouveau dans la forêt.
Depuis désormais vingt six ans elle vit quasiment sans contact avec les membres de sa tribu. Elle passe parfois quelques semaines parmis eux, échangeant ses proies contre quelques objets, ammenés d'hors monde par des errants. Son ancienne vie ne lui manque pas. Elle dispose maintenant d'un nouvel univers fait des cimes des arbres de la jungle, peuplé du bruissement du vent et des chants des oiseaux.
Il lui est arriivé plus d'une fois de quitter son petit coin de jungle, s'engageant parfois comme mercenaire pour une chasse à l'ork et même une fois quittant sa planète à bord d'un vaisseau pirate. Néanmoins elle finit toujours par retourner vers son petit coin de jungle, laissant ses quelques amis en attendant d'hypothétiques retrouvailles.

Telrina était en pleine chasse de petit gibier quand elle vit un oiseau de métal s'abattre vers la frondaison. Un instant avant le crash elle identifia l'oiseau comme un Vampire pirate. Intriguée elle se dirigea vers le lieu de l'aterrissage forcé, sautant de branche en branche.

Prénom: Nigel
Nom: Drummer
Age: 40ans
Taille: 1m75
Poids: 75kg

Faction: Chaos
Armement: Fusil laser de type M36n, Pistolet laser et couteau de combat empoissonné. Gilet pare-balle.

Histoire:Nigel drummer est née En hiver dans une cité ruche dont il a oublié le nom depuis des années. En naissant il emportât sa mère, CE qui lui valut une haine éternelle de son père.
Il passa une enfance marteler entre et un ennuie de la vie.
Ce fut sans surprise pour sa famille et ses amis lorsqu'il annonça qu'il c'était engagé dans la Garde Impérial.
Il combattit Chez les Chems-Dog sur des escarmouches qui ne resterais jamais gravé dans les mémoires des hommes.
En tant que Garde Impérial il avait la manie de prendre un objet sur les combattants de valeurs qu'il affrontais.
Un jour après une altercation avec des cultistes des dieux noirs, Nigel prit sur le cadavre purulent d'un de ces adversaires un couteau de combat de fracture grossière mais qui irradiais sous ses yeux d'étrange lueurs verte qui pulsait a intervalles réguliers de quelque seconde.
En très peu de temps ce couteau devint pour lui une obsession.Il trouvait les pulsations de cette arme d'une beauté infinie. Il resta son arme favorite pendant des années jusqu'au jour une famine dévasta son régiment, il ne souffris a son grand étonnement d'aucun problème de santé.
Cependant à ce même moment il fut prit de rêve où un être couvert d'une capuche lui demandait allégeance pour sa vie. Au bout de quelques semaines Nigel se décida à aller au centre médical du régiment. Le médecin l'écouta attentivement, il ne dit rien a Nigel mais au fond de lui il savait ce que pensait ce médecin... il le croyait corrompu, sa se voyait dans son regards examinant son corps pour y déceler des traces des marques.
Quand le médecin s'arrêta au niveau des hanches de Drummer En repassant ses doigts sur la peau qui semblait n'être tenu que par un fil. Dans les souvenirs de Nigel l'élément qui le marqua le plus ce fut le regards du médecin, ses yeux exprimais une haine infinie pour ce qu'il voyait.
Ce fut ce jour qu'il décida d'écouter ce que lui disait L'homme encapuchonné.
Il avait tout son temps maintenant qu'il avait déserté.
Il découvrit des pirates chaotique se dirigeant vers Un petit monde....Emarius alpha.

Nom : Lhobo

Âge : 38 années standard

Faction: Forces de Défenses Planétaire.
Spécialité : Démolition.

Armes : Fusil laser standard, porte en permanence plusieurs grenades et charges explosifs à la ceinture et au combat un sac-à-dos contenant des matières explosives nombreuses et variées.

Description générale : De taille moyenne, peu musclé et affichant en permanence un air indifférent, le fait d'avoir survécu à de nombreux champs de bataille avec de quoi réduire un baneblade en purée sur le dos n'a aucune influence sur son pessimisme naturel. Il est rebelle à l'autorité de ses supérieurs, mais connait les limites à ne pas dépasser, il est prudent, bien que les membres de son escouade parlent plutôt de lâcheté.

Historique : Fils ainé d'un riche marchand d'armes, Lhobo développa très tôt des affinités avec les explosifs, et s'attira les foudres de son père en détournant de la marchandise pour son usage. le jour de sa majorité, son père désirant de le voir partir l'enrôla de force dans la garde impérial, rapidement remarqué pour ses talents, Lhobo devint officiellement démolisseur et commença à voyager dans l'espace avec sa nouvelle escouade composé de vétéran pour dispenser la lumière de l'empereur à coup de mine, de grenade et de toute sorte d'explosif. Après quelque années, il se retrouva sur un champ de bataille dans un coin reculé de la galaxie, caché dans les ruines d'une maison il déclencha un piège qui pulvérisa un Leman Russ ennemi, sans voir l'officier qui se terrait dans un cratère remplis de débris. Il évita l'exécution grâce à la destruction du blindé mais fut envoyé pour défendre une expédition qui devait coloniser un monde jungle du système Emarius, il y passa plusieurs mois d'ennui en tant que membre des FDP mais l'augmentation de l'activité des Exodites semblait vouloir changer cette situation.

Nom : Stayn

Age : 95 ans.

Taille : 1m80

Signe particulier : porte un étrange pendentif.

Arme et équipement : Vieux fusil à cartouche, munitions artisanales, paire de pistolets shurikens, cape et plaques d'armure de facture eldar. Long poignard dentelé, toujours aiguisé.



Stayn ce définit lui-même comme très ouvert d'esprit. Jamais il ne crut au credo impérial qui prônait l'extermination de tout ce qui n'était pas humain. Ce refus de s'intégrer à l'idéologie de l'Imperium lui vient de sa jeunesse. Sa terre natale subissait l'attaque d'une waaagh que les FDP n'avaient pus repousser ni même contenir. Avant qu'un quelconque secours n'arrive, Stayn avait eut le temps de voir mourir tout ceux qu'il aimait ou qu'il connaissait. Pendant cette guerre, de grès et de force, il se forma à l'art du combat et au nom de sa survie il dû apprendre à manier n'importe quelle arme rapidement et avec perfection.

Après des semaines de conflit acharné il fut clair que l'Imperium ne les aiderait pas. Nombreux furent ceux à ce suicider par désespoir, ne voulant pas donner leur vie aux Orks. Bien entendu, d'autres se résignèrent à vendre leur peau au prix fort, celui du sang. Mais face à la marée verte, rien ne pouvait espérer tenir. Les maigres défenses des ultimes poches de résistances succombèrent les unes après les autres.

L'aube se levait quand Stayn et une poignée de survivants virent les Orks se rassembler pour l'assaut final. Les armes des défenseurs hurlèrent à la mort jusqu'à épuisement des munitions, les humains se déchaînèrent, se battant comme seul un être vivant acculé peut le faire. La dernière barricade vacillait quand une explosion dispersa les première lignes. Puis une autre disloqua les rangs avants. Du ciel tombèrent d'immenses guerriers qui placèrent afin de faire rempart entre humains et Orks. Ensuite, ils entreprirent de soigneusement pilonner les peau-vertes. Lorsque la bataille s'acheva, l'un des guerriers s'approcha des humains, il était accompagné par un grand personnage élégant, au port altier et à la peau bleu.

Stayn sut qu'il avait des Tau en face de lui. Ces xenos réputés affreux, ignobles et pervers parlèrent longuement avec les rescapés. Ils proposèrent aux humains de se battre en tant qu'auxiliaires ou de quitter ce monde et de reconstruire une vie ailleurs en tant que colon. Stayn fut le seul à s'enrôler. Il voulait purger ce monde et il avait soif, soif de découvrir les Tau qui le fascinait.

Stayn resta presque cinq ans avec les ces nouveaux amis, assez pour ce forger des liens solides avec plusieurs guerriers. Mais cela ne le retint pas et un beau jour il partit seul. Au fil de ses pérégrinations, il mit un point d'honneur à rencontrer autant de xenos que possible. Mais ceux qu'il rêvait de rencontrer, était les énigmatiques et mystérieux Eldars. Il les chercha sans jamais les trouver. Mais le destin guida ses pas. Il croisa le chemin de l'un deux. Cela se déroula sur un monde quasi inhabité, seul des indigènes paisibles revendiquaient ces terres en la partageant avec de nombreux animaux tout aussi passifs. Il n'y avait que des Orks sauvages pour semer le trouble sur ce qui aurait pu être un monde de paix.

La nuit où Stayn traquait son repas des bruits de combat attirèrent son attention. Entre les murs écroulés d'une ruine séculaire, un guerrier en armure virevoltait dans les airs, ses deux lames bleutées luisaient de colère en frappant durement chaque adversaires, que Stayn reconnus comme des Orks. Son sang ne fit qu'un tour, il sortit ses armes et se lança dans la mêlée. De sa vieille paire de pistolets qui datait de ses premiers combats il abattit le plus proche et il se saisi prestement de son fusil. Une arme tout aussi antique mais dont chaque projectile causait des blessures effrayantes. Lorsque il tomba à cour de balles, il dégaina son long poignard dentelé, cadeau d'un Kroots pour lui avoir sauvé la vie dans durant un corps à corps plus que âpre.

Il se retrouva bien vite à combattre dos à dos avec ce qu'il pensait être un Eldar. A eux deux il parvint à venir à bout de leur ennemi. Lorsque le dernier Ork poussa un soupir d'agonie, les guerriers se firent face. Stayn restait immobile, ne sachant quoi dire. L'Eldar s'inclina en croisant brièvement ses épées et tourna les talons, non sans déposer sur un muret effondré un petit pendentif qui brillait faiblement d'une lueur si pure et si magnifique que Stayn n'osa pas y toucher, de peur de le souiller. Puis il se décida à le passer autour de son coup, ne notant rien de notable, il décida d'en faire son bien le plus précieux et son porte-bonheur attitré.

Après cet événement, Stayn ne revit jamais l'eldar et il se mit à voyager, n'ayant rien de plus à faire sur ce monde. Il parti loin, très loin, pour se retrouver sur un monde colonisé par l'Imperium. Un monde en guerre contre un ennemi invisible, sois disant. Stayn pensa y trouver des clients pour le travail qui lui avait permit de vivre jusque là. Il était un chasseur de prime, des plus inhabituel. Il ne travaillait pas pour les hommes, mais pour tout xenos lui offrant ne serait-ce que l'hospitalité. Il arriva donc sur un monde dévasté par une guerre longue et douloureuse, cela lui rappela son monde natal et les Tau qu'il avait appris à estimer.

A peine arrivé qu'il se mit en quête d'un contrat. Mais une fois encore son contrat se présenta à lui quand il ne le cherchait pas. Il campait dans un lieu isolé lorsqu'un groupe d'eldar s'approcha de lui. Ils étaient une quinzaine, tous fier et noble. Ils demandèrent comment un humain avait pu avoir pareil collier. Stayn raconta son aventure. Les eldars restèrent de marbre, mais l'un des leur, sans doute le chef, se mit à parler dans sa langue. Ses comparses semblèrent sensibles à son discours car ils se détendirent et se mirent à regarder Stayn avec moins d'animosité. Ce fut à ce moment que l'homme proposa ses services. Les eldars sourirent en lui disant qu'un humain ne pouvait pas les aider là ou un eldar avait échoué. Stayn raconta alors son périple, son combat face aux Orks, ses classes effectués chez les Tau, lui conférant ainsi une efficacité redoutable au tir, puis ses divers contrats avec d'autres xenos, tous réussi.

Le chef des eldars haussa les épaules pour montrer combien il était peu impressionné, mais il accepta de confier une tâche à Stayn. Ce dernier devrait infiltrer la forteresse humaine et récupérer un objet très précieux pour les eldars. L'homme hocha la tête.

Il revint, une semaine plus tard, dans sa poche, une petite prière. Inutile de dire que les eldars restèrent incrédules devant l'exploit. Quand on demanda à Stayn comment il avait fait, il se contenta de dire que la Garde Impériale recrutait vraiment n'importe qui.

Depuis ce jour et pour une raison inexplicable, Stayn avait de moins en moins de mal à trouver des eldars et ceux-ci ne refusaient que rarement ses services et le payaient avec la régularité d'une horloge. Qu'il s'agisse d'or ou de runes qu'on lui dessinaient sur le corps, Stayn était toujours récompensé pour la réussite des ses missions. Bien qu'il n'ait jamais trop compris l'utilité des runes, il avait bien demandé des explications mais il n'avait eut que des sourires presque amicaux pour toute réponse.

Le temps passa et Stayn finit par faite le compte de ses années et réalisa que malgré son apparence jeune et vigoureuse, il avait 85 ans. Il remarqua également qu'il distinguait plus facilement sa cible dans la pénombre et que son agilité c'était retrouvée décuplée, non pas qu'il s'en plaignit, loin de là, mais il apprécia le geste.

Enfin, après des années d'une vie aventureuse il décida qu'il avait besoin de repos mais où qu'il aille la guerre le rattrapait. Il sentait de plus en plus le besoin pressant de ce ressourcer, non pas physiquement mais son âme souffrait et il en ignorait la cause. Finalement il trouva la paix lorsqu'un autre contrat lui fut proposé. Des eldars l'emmenèrent dans un de leur si singulier vaisseau, capable de transporter une civilisation entière. Au début les occupants ne lui dirent pas un mots sur sa prochaine missions. Stayn vécu six ans avec les eldars et retrouva se calme qui lui manquait tant.

Ce à ce moment qu'il fit la connaissance d'un Prophète, ce dernier lui confia une quête de la plus haute importance. Il devait retrouver un eldar, un pirate. D'après ce qui lui dit son commanditaire, ce pirate devait retourner parmi les siens avant un date précise, pour des raisons que Stayn ne comprit pas bien et de toute façon, le Prophète resta très vague. L'échance lui laissait beaucoup de temps mais il savait que pour des êtres millénaires ce n'était qu'une poignée de minutes.

Stayn accepta, le Prophète décida de récompenser d'avance l'homme, qui y vit un mauvais présage, mais il mit son inquiétude de côté devant son nouvel équipement. On lui avait remplacé ses armes de poing, devenues de vrais loques en plus de ça il se vit remettre une armure souple, légère et d'une grande solidité, ainsi qu'une cape ample, chaude et selon les dires de celui qui la lui remit, à la propriété très pratique pour celui voulant ce faire discret.

Une fois équipé, Stayn se mit immédiatement en chasse, mais trouver un eldar dans l'immensité de la galaxie n'était pas une chose facile. Sauf que Stayn évoluait de moins en moins dans le monde des hommes et de plus en plus dans les chemins détournés et silencieux que sont les voies eldars. Aussi il retrouva la trace de sa cible -- et selon son dernier renseignement, qu'un Ranger lui avait délivré -- qui se trouvait sur un monde convoité par la cupidité de l'homme, Emarius Alpha. Stayn s'y rendit sur le champ et se mit en devoir de trouver cet eldar.

Nom : Vinhbrumlander
Prénom : Octavio

Statut : Scientifique, expert en créatures xenos ou "naturaliste" comme il aime s'appeler.

Âge : 132 ans

Taille : 1,83 m

Armes et équipement : Pistolet automatique Mooser, sabre énergétique de l'Ordo Xeno (en récompense de ses loyaux services pour cet ordre). Matériel scientifique porté par son garde du corps Buff (lui même armé d'un fusil à pompe). Augmentiques (oeil, main droite), Gilet pare-balles fourni par le tout nouveau régiment de défense planétaire d'Emarius Alpha.


Histoire : Renseignez vous auprès de l'Administratum, ou lisez sa biographie : Une vie en tant que morceau de steak, un ouvrage étrange qui résume pourtant bien le parcours de Vinhbrumlander.


Situtation actuelle : Caché dans un transport des FDP, dans l'espoir de trouver quelque chose d'intéressant pour ses recherches.

Nom : Krans

Faction : Ork sauvage d'Emarius Alpha

Taille : 2 m 20

Armes/équipement : Morceau d'armure récupéré ici est là. Broyeuze, c'est une grosse pince bricolé à partir des machines qui font des trous dans la montagne. Krans sait tuer et il est moins bête que les autres. Au début les boyz rigolaient de la pince grotesque de Krans. Mais quand il a coupé Ogrma en deux, ils ont arrêté de rire et ont décrété que bricoler des pinces était signe que l'Ork qui rit se ferait vite couper en deux.



Krans hait les boyz du Chaos, parce qu'à cause d'eux il peut plus chasser les zommes qui creusent les montagnes, ils sont généralement morts avant d'y arriver. En plus les boyz des bois lui foutaient la paix, la plupart du temps... 'fin temps tant qu'il allait taper les zommes et qu'il se tenait loin de la jungle. Mais maintenant il y a plein de boyz à tuer qui courent partout. Ce qui est plus facile, tout ce qui n'est pas un vert doit mourir. Krans adore tuer, cette saine activité lui plait beaucoup, d'ailleurs il aime aussi se battre contre les autres Orks, les zommes c'est bien mais un peu mou, pis les boyz des bois cassent trop vite et ils se cachent quand ils perdent. Le plus embêtant est que les suivre dans la jungle conduit à ce faire bouffer par les gros lézards. Mais Krans il s'en fout, il préfère encore cogner les zommes, sont mous mais ils se battent plus longtemps et ils ont des armes rigolotes. Reste les boyz du Chaos mais ils sont pas facile à trouver.

Depuis peu Krans suit Jorbak'grobalk, il est gros et il tue tout ceux qui lui disent non... ou autre chose. Du coup vaut mieux pas lui parler. Mais sa principale qualité, outre le fait de savoir se comporter en bon chef, est de toujours trouver des combats. C'est ainsi que presque deux cent Orks le suivent. Ils écument la jungle et massacrent tout ce qu'ils croisent en évitant le reste.
Si tout le monde suit le boss, on évite de causer à Krans (la coutume veut qu'on parle le moins possible aux gros Orks). Parce qu'il est gros, qu'il a une pince avec laquelle il a collé une baffe à Jorbak le jour où il a tenté de lui voler, il seconde le boss. Le principe de commandant en seconde est bien trop subtil pour les Orks. Pour eux ça veut dire que Krans distribue les mornifles quand le boss regarde pas. Chose qu'il a apprit à vite aimer également. Et il faut dire que ça fait rire tout le monde. Krans aime amuser les autres. Plus d'une fois il a joyeusement tabassé un congénère exprès pour.

Même quand il affronte d'autres adversaires il le fait en rigolant parce que ce battre il est né pour et qu'il a beaucoup d'humour. Ce qui signifie que c'est lui qui ris le plus fort. Seulement, si son compagnon de jeu commence à lui résister ou à lui taper sur les nerfs. Krans peut entrer dans un état de rage meurtrière et autant dire qu'il ne plaisant plus.

Nom : Krag

Faction : Ork sauvage d'Emarius Alpha

Armes/équipement : Une armure bricolée avec de la ferraille et du cuir. Un krameur, dont Krag se sert pour kramer tout ce qui bouge, ce qui lui valut le surnom de Krag Kikramtou. Mais aussi, un kikoup' est attaché à une sangle en cuir situé sur sa hanche gauche, ça peut toujours servir à kouper ceux qui veulent pas kramer, mais faut jamais utiliser les deux en même temps, on pourrait sans faire exprès kramer d'autres boyz.

Histoire : Krag à un goût immodéré pour des cigares malodorants de sa confection, il les fabriquerait à partir d'une herbe rare que l'on trouve rarement, mais Krag à trouver un coin où il en pousse plein, comme ça Krag peut faire ses cigares tranquile. Krag supporte pas les p'tits Eldars, ils sont toujours en train d'se cacher et à nous tirer d'ssus, le temps qu'on les trouve ils ont tués pleins d'boyz. Krag aimait chasser les zommes dans la jungle, mais avec l'arrivé des boyz du Chaos c'est plus pareil, ils tuent les zommes avant nous, alors on doit aussi tuer les boyz du Chaos, comme ça on pourra à nouveau chasser les zommes tranquillement.

Le jour où Jorbak'grobalk est arrivé, Krag fut impressionné par ce gros Ork grand et fort, c't'Ork était tellement balèze qu'il zigouillait tout ceux qui étaient pas d'accord avec lui, donc faut pas discuter quand il donne les ordres, c'est lui le chef! Alors Krag krame tout ce qui bouge pour le boss, mais à force de kramer de la suie c'est incrustée dans sa peau, et à présent il a la peau tirant plus vers le brun ou le noir que le vert. Mais Krag s'en fout, ça le différencie même des autres boyz de Jorbak'grobalk.