Lexique d'Emarius

Mégadon : paisible créature herbivore élevée en troupeaux par les exodites

Carnosaure : imposante et féroce créature, pouvant servir de monture à un seigneur ou de support pour une arme lourde

Chevalier-Dragon : guerrier exodite chevauchant un reptile léger et rapide [NDLR : appelons-le dragon, pour simplifier]. Ils représentent une certaine élite dans la société exodite

Dragon : reptile léger et rapide, agressif, servant de monture aux chevaliers-dragons (équivalent exodite du sang-froid)

Chevalier exodite : titan de facture exodite

Esprit de la planète : chaque planète exodite est reliée à un réseau spirituel où reposent les âmes des eldars de la planète. Perdre une planète face au Chaos, pour les exodites, c'est donc vouer à une éternité de souffrance les âmes de leurs ancêtres.




A compléter

Ver Carnassier :

Ces charmantes créature vivent un peu à la manière des taupes à ceci près qu'elles restent dans la motte de terre qui forme le toit de leur terrier. Les vers sont incroyablement patients mais dès qu'ils sentent des vibrations à proximité, ils sont capable de se propulser sur l'infortunée proie.

Ces petits monstres sont munis d'un trou béant -- tapissé d'une myriade de petites dents acérées -- qui leur sert de bouche est cernées par des mandibules avec lesquelles ils s'arriment fermement à la chair de la victime. De plus et afin qu'on ne puisse l'extraire et pour se protéger des prédateurs, ils sont bardés, sur l'ensemble du corps, d'épines gorgées de poison qui peut paralyser les zones touchées.

Ensuite ils se nourriront sur la proie, encore vivante, et ils y pondront des œufs qui, après éclosion, se nourrirons à leur tour de la viande en putréfaction.

Coureurs de jungle

Il s'agit la de gros lézards, de la taille d'un chien et d'une grande vélocité. Ils sont pourvus d'une mâchoire suffisamment puissante pour broyer un bras ou une jambe. Ils vivent en meute d'un douzaine d'individus, articulé autour d'un patriarche.

Les exodites les ont domestiqué pour en faire des gardiens et des petites pestes infernales qui sèment la pagaille dans les rangs ennemis en arrachant bras et jambes. Leur vitesse permet à ces lézards d'échapper à un peu près n'importe quoi. Ils ont pour habitude de zigzaguer, au hasard pour un observateur non averti. Alors qu'en réalité ils traquent la proie qui n'est pas la plus faible mais semble diriger la meute ennemi.

Une autre de leur qualité est indubitablement leur capacité d'apprentissage. Il y a un même un dicton exodite qui dit : " User de ruse contre les Coureurs c'est leur expliquer comment duper leurs proies."

"Doux" : le Cercopithecus cephus, du peu qu'en savent les deux ou trois zoologues impériaux à s'être penché sur la question, est un petit singe diurne et solitaire, relativement rare, les plus gros spécimens observés n'excédant que rarement, queue comprise, le mètre de long. Excepté la face, tout son corps est couvert de poils dont la coloration varie selon les régions. Il est muni de longs membres souples et griffus qui en font un parfait arboricole à la brachiation rapide et aisée et d'une queue préhensile qui fait office tant de cinquième membre que de stabilisateur.
Ses grands yeux lui accordent une très bonne vue et sa face, couverte d'un cuir sombre est capable d'une grande expressivité.
Au régime omnivore, il se nourrit principalement d'insectes, de fruits voire de petits lézards ou rongeurs. Seules ses canines sont pointues.
Il est reconnaissable à son cri distinctif, « prrrrruuuuu », dont il est capable de faire varier l'intensité et l'intonation pour exercer une forme primitive mais néanmoins effective de communication orale.
Aucune forme de parade nuptiale et encore moins d'accouplement n'a à ce jour été observée à l'état naturel.
Vif, intelligent, il dispose de la capacité d'apprentissage, d'une bonne mémoire, présente une étonnante disposition à la pitié et est capable de faire montre d'affection à un degré remarquable.

Ce petit mammifère pèse environs quatre à cinq kilos pour les plus gros. Il esten outre intéressant de noter qu'un individu peut espérer vivre jusqu'à une trentaine d'année, mais en captivité il n'excédera pas la dizaine de printemps.

Il est également pourvu d'un bon odorat, supérieur à celui d'un humain mais pas aussi efficace que celui des canidés.

Il est à noter que ces animaux là sont dotés d'une très grande curiosité mais capable de faire montre d'une grand méfiance. Ainsi ils ont tendance à observer longuement une chose inconnue avant de s'en approcher.
Bien qu'il ne soit pas craintif il n'aime pas la compagnie d'un trop grand nombre d'être vivant. Il semblerait aussi qu'il soit un spécimen relativement fidèle aux espèces à laquelle il s'attache, ne les quittant qu'en cas de force majeur. Il est également prouvé que le Cercopithecus cephus peut entrer dans un état de tristesse qui se traduit généralement par de petits cris plaintifs et il aurait tendance à tourner autour de l'objet de son désarrois. Lors de la mort d'un de ses semblables ou d'une créature à laquelle il c'est attaché (humain compris) il le mordille pour le réveiller avant d'entrer dans un état de grand tristesse. On peut donc supposer que le concept de mort lui est connu et au delà la conscience de soi.

D'après les études menées sur des spécimens décédés, ces mammifères ont un cerveau, toute proportion gardé, presque aussi développé qu'un homme.

Doogou :


Petit mammifère recouvert d'écailles mesurant de 45 à 60 cm, il vit dans les arbres de la jungle d'Emarius Alpha. Sa principale nourriture est la myriade d'insectes partageant son habitat, nourriture qu'il absorbe grâce à sa trompe avec un bruit de succion très marqué dont il tient son nom.
Il touche rarement le sol, trop dangereux pour cette espèce sans défense particulière face aux prédateurs. Il ne doit d'ailleurs son incroyable survie qu'à sa très forte natalité.
Dans les arbres, il est souvent la proie des Orizonthes ailés.


Image du centre de données d'Emarius Alpha :

Les Écorchés de Fer, le culte le plus terrifiant de son temps. Ils ont semé mort et destruction partout où ils sont passés, même le saint ordre de la DeathWatch a eu vent de leurs agissements et prend ce culte très au sérieux. Et pour cause, ces Space Marines d'exceptions ont rapportés, dans leurs archives, pas moins de quatorze affrontements en seulement cinq ans. Loin de se décourager les Écorchés semblent redoubler d'ardeur à chaque fois.

Aux premières années de leurs exactions les autorités impériales se sont demandées comment de simples humains perdus sur la voie du Chaos pouvaient engendrer une telle apocalypse sur les mondes visités. C'est donc avec diligence qu'ils se renseignèrent. Ils tentèrent d'infiltrer leurs rangs, une entreprise qui se révéla vaine et très stupide. Il fallut huit ans pour en apprendre un peu sur eux.

Il s'agit donc d'un culte qui vénère Khorne de la plus fanatique des façons, surpassant même les Berserks sur ce point. Tout d'abord, pour faire parti du culte, il faut prouver sa valeur au combat et passer un rite d'initiation.
Ces hérétiques considèrent la peau comme un carcan dont il faut se débarrasser. Ainsi, chaque membre doit s'arracher lui-même la peau avec les ongles ou les dents, utiliser un outil serait faire offense au Dieu du Sang. La chair mise à nue est sensée attirer sur soit les faveurs du Dieu. Ensuite, pour se protéger ils se fixent des plaques d'acier sur la chair, des morceaux de blindages vissés dans l'os. Ils s'arrachent également les paupières et remplacent leur yeux par des implants occulaires, de petits bijoux de technologie qui permettent de réguler l'afflux de lumière. Cela leur permet de traquer leur proie de jour comme nuit sans aucun problème. En outre ils ont pour coutume de se limer les dents en pointes pour mieux attaquer l'ennemi à la gorge, tel des chiens enragé. Ils ont également de très fortes tendances cannibales. Pour ceux qui survivent, suis un entraînement très poussé au maniement de toute les armes possible, généralement que des armes de corps à corps.

Il va s'en dire que le taux de perte est effroyablement élevé, mais ceux qui survivent... Des êtres à demis humains, rendus fous par la souffrance, des fanatiques, des brutes sanguinaires qui ignorent la peur et la douleur, car la leur est au delà de toutes imaginations. Il est également dit que Khorne en personne leur murmure des choses... des paroles qui enlèvent les derniers lambeaux d'humanité qui pourrait rester. Il efface tout trace de pitié ou d'empathie, il ne laisse subsister que la rage et la haine. Selon certaines sources, le Dieu du Sang leur aurait révélé que pour soulager leur peine, ils n'avaient qu'à tuer... tuer encore et toujours, ne jamais cesser de combattre, à n'importe quel prix.

Les affronter c'est comme se battre contre la Mort. Des légions de monstres beuglant une prière de guerre qui fait désormais trembler la galaxie. Ils entonnent ce lugubre chant et seul les égorger tous, jusqu'au dernier, comme des bêtes, les empêchera d'hurler au ciel ces sinistres promesses que toujours ils tiennent.

"Tuer à jamais pour Khorne est notre destin !
Que nul ne se relève, que nul ne survive,
car nous tenons le cœur de l'Imperium entre nos mains !
Que les flammes de sa destructions soient hautes et vives !"


Devant eux, le faible fuit, le fort meure. Jamais les Écorchés ne quitteront une zone de combat sans avoir tuer tout le monde, ennemis... comme amis. Car ils sont assoiffés de sang et excepté les leurs, ils n'ont aucun allié, pas même les autres adeptes ou Légions dévouées au Dieu du Sang. Ils n'hésiterons pas à se frotter à plus fort qu'eux. Ils ne respectent rien, et méprisent tout. Ils tuent ce qu'ils peuvent et brûlent le reste. Ils ne font même pas de bons mercenaires car ils n'accordent pas de valeur à l'or et de toutes manières, ils refusent de combattre avec autres choses que d'autres Écorchés.

Mais il y a peu, un chef de guerre les a approchés. Bien entendu les Ecorchés eurent pour réflexe de refuser et tentèrent de s'en prendre à ce qui se révélât être un Berserk des World Eaters, ce dernier était guidé par un puissant démon a qui le refus déplut énormément. Ragnos se mit alors en tête de massacrer les Ecorchés. Leur hurlant que puisqu'ils refusaient de se pliait aux ordres d'un guerrier sacré de Khorne il les tuerait tous pour effacer dans le sang l'insulte faite. Pensant leur honneur entaché les Ecrochés se levèrent comment un seul homme pour suivre le Berserk possédé.


http://fc03.deviantart.net/fs32/f/2008/189/7/6/Bloody_Skull_Silicone_Mask_by_crawford_the_imp.jpg


Aleieus Gaevran

Nom scientifique : Perfidis assassinus.
Nom courant : Harponneur des cimes.


Statut : actif

Témoignage : "... Hank était là et la seconde d'après il avait disparu, ensuite c'est Kol qui est mort, après il a voulu m'avaler mais je me suis enfui..."


Cette créature aussi rare que mystérieuse et meurtrière avait bien faillie, au début de la colonisation, faire intervenir tout un régiment de Gardes Impériaux. En effet, les premiers rapports, très confus, de certains secteurs de la jungle faisaient états d'étranges disparitions. Ils parlaient tous d'arbres tueurs. Mais avant de faire venir quatre milles hommes armés de lance-flammes on tâcha d'étudier la faune. Des chercheurs se mirent à enquêter sur les lieux des disparition et ce fut sans surprise qu'ils se firent attaquer. Deux scientifique et cinq soldats trouvèrent la mort avant qu'un des spécimen ne soit abattu et rapatrié en laboratoire. Voici l'enregistrement de son examen :


Docteur Jell Hila, spécialiste en étude comportemental de la prédation chez les animaux. Il y a à peine une heure qu'on m'a ramené ce monstre. Les soldats lui ont déjà trouvés un nom, le Harponneur des cimes.

Alors, il s'agit d'un mammifère, il mesure exactement trois mètre vingt et pèse deux cent kilos tout juste. Il a la peau écailleuse toute en nuance de vert, un camouflage parfait. Il possède quatre membres de presque un mètre, si je me fie à la densité de la fibre musculaire ils ont une grande force, suffisamment pour transporter cent kilos de viande fraîche entre les branches de l'arbre où il a élu domicile. Les bras et jambes, très identiques se terminent par six griffes, en deux paire de trois opposées. Il doit s'en servir pour s'arrimer aux branche ou transporter sa victime, je vois du sang dessus. Ils ont une tête ronde avec des yeux proéminents qui ont un très large champ de vision. Leur gueule... je l'ouvre... sacré puissance, alors, une, deux, trois rangés de dents, de vrais poignards, dentelés à souhait. Les Perfidis sont visiblement capable de broyer un peu près tout ce qu'ils veulent.

Bon le plus intéressant maintenant, ce qui lui vaut son surnom. Il possède un trou dans le torse, maintenu fermé par des muscles. Il y a une cavité où l'on trouve, replié à la manière d'un ressort une pointe d'os barbelée. Lorsqu'il repère sa proie, à l'aide de ses muscles il projette son harpon relié à son corps au moyen de tendons et de muscle puissants. Ainsi il empale ni plus ni moins sa victime.
Ensuite il la remonte pour la dévorer. Je vais maintenant provoquer un stimuli électrique sur les nerfs pour faire jaillir le harpon. J'ai fait mettre une plaque d'acier en protection devant la cavité.
J'y vais... par l'Empereur, vous avez vu ? C'est inouï, ça a été fulgurant. Il a traversé l'acier et est venu se planter dans le mur, c'est impressionnant...

Fin de l'enregistrement.


Aleieus Gaevran

Ca n'a pas directement sa place ici, mais tant qu'on est à mettre des dessins d'inspiration, j'ai gribouillé ça pour les créatures portant les tourelles de défense, les cotsumes typiques exodite et pirate, et un exemple d'armement exodite :

Habitation exodite :

Dragons Célestes :

Les Dragons Célestes sont le groupe de pirates le plus influent de la région d'Emarius. Ils sont nombreux, bien mieux équipés que la plupart des autres pirates, et ont surtout des règles de discipline très strictes, aussi contraignantes que celles de la Voie de l'Eldar. Et pour cause : l'Ordre des Dragons Célestes a été fondé sur le vaisseau-monde Iyanden plusieurs siècles auparavant par Koarin Malastë, avec l'ambition folle d'en faire un nouveau temple-aspect, mais dédié à Asuryan et non à Khaine. Contraint à l'exil et devenu un Seigneur pirate, Malastë n'a de cesse de combattre le Chaos, au nom de la justice sacrée d'Asuryan.

Les Dragons célestes portent une armure proche de celle des guerriers-aspects, particulièrement des Dragons de Feu, mais entièrement blanche. Leurs techniques de combat reposent sur l'utilisation conjointe de lance-flammes et de catapultes shurikens, mais plusieurs d'entre eux savent manier les épées énergétiques pour engager les corps-à-corps. Leur Seigneur Koarin Malastë porte une version améliorée de la même armure, ornée de nombreuses pierres-esprits, conformément à sa volonté d'être un nouvel Asurya ; son casque est, de plus, orné d'un masque mi-noir mi-blanc, semblable à celui que porte Asuryan dans les récits mythologiques eldars.