Les Flammes de la Guerre
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Les Flammes de la Guerre

C'est une époque sombre et sanglante, une époque de démons et de sorcellerie, une époque de batailles et de mort. C'est la Fin des Temps.
 
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 Adepta Sororitas

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Ylérion
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MessageSujet: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime14/7/2010, 21:29

Voici donc une fic concernant l'une des institutions les plus représentatives de la nature sombre et baroque du 41eme millénaire: l'Adepta Sororitas, les filles de l'Empereur.

Tout commentaire est évidemment bienvenu.
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Ylérion
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime14/7/2010, 21:29

Adepta Sororita





Prologue


La petite planète de Poroa dans l’Ultima Segmentum n’était pas d’une importance vitale. Peu peuplé par quelques colons ayant réussi à mettre en commun suffisamment pour quitter leur quotidien misérable, la planète était comptait un peu moins de deux millions d’habitants, principalement réunis sur un petit archipel d’iles agricoles. Pendant des siècles cette communauté vécut en paix et ce monde presque paradisiaque attira même un couvent de l’Adepta Sororitas issu de l’ordre de la Lame Écarlate.
Cependant la paix est fragile et les vies risquent toujours de basculer à tout instant.



George se releva difficilement, une grosse gerbe de blé entre les bras. Il la chargea sur le petit tracteur à chenilles avant de reprendre sa faux. Aussi loin que portait son regard, les champs d’or luisaient à la lueur du soleil, ne cedant que face à la forêt séculaire et à ses arbres acajou. Une douzaine d’autres jeunes hommes et femmes travaillaient dans cet immense champ, à récolter ce que l’Empereur, béni soit Son nom, faisait croitre de cette terre nourricière. Normalement une centaine de personnes auraient du s’activer ici mais une épidémie de grippe saisonnière avait cloué une bonne partie du village au lit avec une grosse fièvre. Selon le prêtre ce n’était rien de grave, une simple petite épreuve proposé par l’Empereur à Ses fidèles. George s’en contentait très bien.

Il aimait sa vie simple de paysan. Les jours et les mois s’égrainaient calmement dans un quotidien heureux. Cette année il allait fêter ses dix huit ans. Il serait vraiment un homme à présent ! Alors qu’il fauchait une nouvelle gerbe et que la sueur coulant sur son torse bronzé accrochait un rayon de lumière, il croisa le regard de Jarra, une jeune fille de son age. Il lui adressa un sourire auquel elle répondit en rougissant. La vie était vraiment belle !



George vit le village se profiler à l’horizon. Un assemblage d’une centaine de foyers blottis au milieu de la forêt. Lui et les autres jeunes gens étaient de retour après cette dure journée de labeur, les deux tracteurs chargés d’épis qui iraient alimenter le moulin de la ville. Dans le crépuscule, les feuilles rouges de la forêt prenaient une teinte magnifique et le jeune homme s’émerveilla une fois de plus de la beauté simple de la nature. En baissant les yeux il trouva la beauté complexe de l’humanité.

Jarra était resplendissante dans la flamme de sa jeunesse. Une chemise ouverte révélait ses petits seins qui depuis toujours rendait George fou. Un pantalon court exhibait ses jambes musclées par les heures passées à courir dans les bois. Ses grands yeux noirs attiraient le regard irrésistiblement et cachaient ainsi une bouche trop grande. Son visage était entouré par des cheveux blond coupés court, à la garçonne. George et elle se connaissaient depuis leur plus tendre enfance mais avec le temps leur relation était devenue plus complexe. Amis, amants, la frontière était mince.

Le groupe arriva devant le moulin du village, ses pales tournaient mollement dans la brise tardive. Ils laissèrent le fruit de leur moisson dans un grand hangar avant que chacun ne retourne vers chez lui. George trouva le temps d’attraper Jarra par le coude avant qu’elle ne s’éclipse, aussi insaisissable que le vent. Leurs regards se croisèrent, leurs corps frissonnèrent. D’une main il lui caressa les cheveux avant d’attirer son visage contre le sien. Un instant ils parcoururent chacun le corps de l’autre, redécouvrant avec délice un terrain pourtant déjà connu. Alors que le jeune homme commençait à s’avérer trop aventureux dans ses caresses, Jarra l’arrêta d’une légère poussée.

-Ma mère n’allait pas très bien ce matin, il ne faut pas que je lui cause de soucis, dit elle d’une voix ou se mellait tristesse et agacement. On se reverra demain.

Avant que George ne puisse réagir, elle l’embrassa fougueusement avant de s’éclipser en quelques instants dans les ténèbres grandissantes de cette fin de journée. Le paysan resta songeur quelques instants, goutant les dernières traces de ce baiser. A la fois il était tenté de la poursuivre, il savait qu’elle ne résisterait pas à leur envie commune mais il voulait aussi aller à son rythme pour une fois, afin de ne pas laisser leur relation dépérir comme à chaque fois.

Il prit donc le chemin de sa demeure. Le village lui semblait étrangement silencieux en cette nuit. Habituellement il y avait toujours quelques personnes animant les rues à cette heure-ci mais en ce jour elles restaient désertes. Le village tournait au ralenti depuis l’arrivée du premier infecté trois jours plus tot, mais la grippe ne durerait pas, elle passerait comme tout les cinq ou six ans avant de revenir quelques années plus tard. Cela faisait aussi partie du cycle de cette vie. Il vit enfin sa petite maison, dressée calmement au sommet d’une colline. George remonta le petit chemin y menant et ouvrit la porte.
Une odeur méphitique l’acceuillit. Il lui semblait que l’on avait plus aéré ce lieu depuis des semaines. Il ouvrit en grand les fenêtres mais en se rapprochant de la chambre de ses parents, il remarqua qu’elle était la source de cette infection. La porte tourna sur ses gonds, libérant une vague d’air vicié qui donna presque envie de vomir à George. Dans le lit il vit les formes immobiles de ses parents. Pressant un tissu sur son nez il avança, allumant la lumière. Son père réagit faiblement et se releva péniblement du lit.

George fut horrifié à cette vue, le visage de son père était couvert de plaques verdâtres et de plaies dégoulinant de pu. Il allait pourtant assez bien le matin même !

L’homme ravagé tenta d’ouvrir la bouche mais seul du sang en sortit. Le jeune homme n’osait toucher ses parents mais il devait faire quelque chose. Il sorti de la salle et prit le combiné téléphonique, appelant le medicae du village. Après une attente qui lui parut interminable la tonalité cessa soudain.

-Docteur ? commença George, d’une voix qui devint vite hystérique. Mes parents, docteur, ils vont mal, des plaques, du pu ! C’est horrible, et l’odeur ! Il faut…
-Le Medicae Gent est déjà en consultation répondit la voix d’une jeune femme. L’épidémie s’est aggravée, tous les habitants sains sont priés de quitter leur domicile et de rejoindre le Templum. Au revoir.

La communication cessa abruptement. George resta un instant immobile, espérant un rappel ou quoi que ce soit du genre mais rien ne vint. Tous devaient se réunir au Templum ? C’était assez logique, il ne voulait pas risquer le même sort que ses parents. Bien que se sentant coupable il cria à ses parents qu’il passait la nuit dehors, ne recevant qu’un grognement pour réponse, avant de quitter la maison, courant presque. Il ne voulait pas de cette horreur ! Il voulait retrouver une douce journée. A force qu’il courait et que ses forces le quittaient, George se convainquit que tout irait bien. Demain le medicae irait ausculter ses parents et d’ici quelques semaines ils se porteraient mieux.

Arrivant devant le Templum il fut surpris de ne rencontrer qu’une petite quarantaine de personne. Cette épidémie était vraiment grave. Ses soucis s’envolèrent pourtant à la vue de Jarra. Elle était en pleurs et il se dirigea droit vers elle la serrant dans ses bras.

-Ma mère est morte ! cracha-t-elle entre deux sanglots. Je suis arrivée à la maison et il y avait une odeur pestilentielle. Ma mère était étendue sur son lit. Son visage avait presque fondu ! Ses yeux [sanglot] ses yeux sont tombés de son visage [sanglot] juste devant moi ! Sous mon nez ! J’ai… j’ai couru, je l’ai laissée, je l’ai abandonnée !

Jarra ne put ajouter un mot et s’enfonça dans l’épaule réconfortante de George, pleurant à chaude larmes. George était lui aussi ébranlé. Si cette maladie était mortelle, alors peut être que ses parents aussi… il ne devait pas y penser. Il devait réconforter son amie, même si ce devait être d’une autre façon qu’il l’avait imaginé quelques heures plus tôt. Il passa donc sa soirée à lui décrire un futur radieux, où tous les tourments seraient bannis et où l’éclat du soleil ne l’abandonnerait jamais dans les ténèbres. Tout autour d’eux, d’autres groupes se formaient, tentant eux aussi de s'apporter un réconfort mutuel dans ce climat de désespoir. Les deux jeunes gens finirent par s’endormir, blottis l’un sur l’autre. Chacun portant à son compagnon un peu de chaleur dans cette nuit glaciale.




George fut réveillé par un étrange bourdonnement. Il était encore très profondément enfoui dans le sommeil mais ce son semblait perdurer et même s’amplifier avec le temps. Jarra ne réagit pas, de même que les autres assemblés. George pensa à une création de son imagination mais quand bien même fermait-il les yeux que le bourdonnement s’amplifiait. N’y tenant plus, il se dégagea lentement de l’étreinte de Jarra et se dirigea vers la sortie.

Dehors l’air était frais mais portait une très légère odeur désagréable, lui rappelant la chambre de ses parents en bien plus atténuée. Repenser ainsi à son père et sa mère lui rappela la situation, peut être étaient ils mort à l’heure qu’il était ? Il devait en avoir le cœur net, qu’importaient les risques. Il prit donc à nouveau le chemin de sa maison. La nuit était très sombre, d’épais nuages cachaient les étoiles. Mauvais présage ? Il n’aurait su le dire, mais c’en était bel et bien un.

En arrivant près de la maison, George trouva que le bourdonnement c’était fortement accentué. Il entra et fut prit à la gorge par une pestilence ignoble. Il ouvrit la porte de la chambre parentale et une volée de mouche grasse en sortit. Les silhouettes de ses parents étaient recouvertes par une couverture. Il s’en approcha alors qu’un horrible pressentiment se faisait sentir de plus en plus fort. Il empoigna la couverture et la retira d’un coup.
Le spectacle était répugnant. Une large plaie s’était ouverte en travers du ventre de son père et sa chemise était souillée par les viscères qui affluaient. Les visages des deux parents étaient ravagés, la mâchoire de sa mère s’étant détachée et reposant mollement sur sa poitrine maintenant. Pire que tout, une horde de mouche recouvrait chaque parcelle de peau exposée. Ces insectes étaient longs d’une dizaine de centimètres et déchiraient les vêtements en certains endroits pour festoyer de la chair qu’ils protégeaient. George vomit à cette vue horrible et tenta de chasser les mouches par de grand gestes.

C’est alors que quelqu’un le stoppa. Son père avait agrippé son bras de sa main nécrosée et il se levait maintenant, lentement. George était trop horrifié pour réagir à la vue de ce qu’il savait être un cadavre se redressant. Sa mère aussi commença à bouger et lorsque son père se tint sur ses deux pieds, ses viscères et boyaux se déversèrent, souillant les chaussures de George. S’en était trop ! Il se mit à vouloir fuir, plus ardemment que toute autre chose. Il tira sur cette main qui bien que morte lui verrouillait le bras dans un étau implacable. George ne voulait pas tenter de déserrer les doigts de son père, il ne voulait même pas toucher cette main… morte. Dans sa fuite vers l’avant il put soudain avancer mais il sentait toujours la pression sur son bras. Peu lui importait, il courut hors de la chambre. Refermant la porte derrière lui. Il remarqua alors l’avant bras qui était resté accroché au sien. Avec des hurlements hystériques il décrocha l’immonde chose avant de la jeter au loin. Le bourdonnement augmentait d’intensité. Il leva les yeux et vit une nuée de mouches géantes tourner au dessus de lui. Il sortit de sa maison, hululant de terreur. Il vit un nouveau groupe de silhouettes à la faible lueur de… il vit des flammes. Toute une partie du village brûlait.

Le monde était il devenu fou ? Les brasiers étaient encore loin mais semblaient se rapprocher dangereusement. Il se rua vers les quelques personnes qu’il avait vu mais compris son erreur quand des orbites vides se tournèrent vers lui. Ils étaient trois. L’un avait perdu un bras, l’autre le fixait de ses yeux absents tandis que avait une peau à la teinte répugnante. George se remit à courir, droit sur le Templum. Il trouva les quelques villageois regardant avec horreur les flammes se propager. Ils ne semblaient pas au courant de la véritable menace. Le paysan agita les bras et cria à plein poumon pour attirer leur attention.

-Morts ! Ils sont tous morts ! Et ils se relèvent ! hurlait-il.

Les autres villageois le regardèrent comme si il était fou, reculant même en voyant les taches infectes qui souillaient sa tenue. S’en rendant lui aussi compte, George jeta sa chemise avec un cri de terreur. Il vit Jarra s’approcher de lui pour le calmer mais le fléau aussi approchait. Les anciens habitants du village réduits à l’état de cadavres ambulants arrivèrent soudain. En masse. Les villageois ne crurent d’abord pas leurs yeux en voyant cette horde décatie foncer ainsi vers eux. Puis ils commencèrent à paniquer. Jarra courut se réfugier dans le Templum, suivie de George. Tout deux parvinrent à s’y faufiler juste avant que les portes ne soient fermées par des villageois terrifiés. Le pasteur en charge seul gardait à peu près son calme, hurlant des prières à la gloire de l’Empereur alors qu’il passait un instant dans le presbytère. Il en ressortit avec cinq fusils de chasse qu’il distribua aux quelques hommes restant. George ne se rendit compte qu’alors que beaucoup s’étaient retrouvés enfermés dehors. Leurs hurlements de terreur lui parurent soudain très clair au milieu des bourdonnements. Puis ce furent des cris de douleur, et plus rien.

Des poings tambourinaient contre la solide porte du bâtiment. Il n’y avait pour le moment rien à craindre de ce coté là. C’est alors que le bourdonnement se fit plus fort. Le vitrail de l’une des fenêtres fut soudain brisé et un torrent de mouches envahit la nef, le bruit de leurs milliers d’ailes étaient un véritable supplice. Elle se jetèrent sur le pasteur qui n’avait cessé de psalmodier à la gloire de l’Empereur. Avec horreur George vit les mouches entrer dans sa bouche, pénétrer ses oreilles, déchirer sa peau pour s’y engouffrer. Un millier de mouches avaient du pénétrer ce corps. Les chants avaient cessés et les bourdonnements également. Un silence encore plus effrayant que la cacophonie des mouches s’abattit sur les survivants. Tous virent avec horreur la peau du pasteur verdirent alors que sa panse se distendait. Des paquets de furoncles apparurent sur sa peau alors que ses deux yeux tombèrent avec un « ploc » écœurant, remplacés par un nouvel œil unique qui lui sortit du front. Enfin il enfonça une main dans son propre ventre, spectacle face auquel beaucoup rendirent le peu qu’ils avaient dans l’estomac, avant d’en ressortir une épée rouillée.

Ceux qui avaient reçut un fusil firent feu mais ne parvinrent qu’à faire voler quelques lambeaux de chair corrompu. Le démon s’avança d’abord lentement puis il se rua sur un groupe, abattant son épée pestilentielle. George vit avec horreur les corps de ceux qui avaient été touchés flétrir en quelques instants. Il entraina Jarra avec lui vers l’escalier qui menait au clocher. En regardant en arrière il vit les cadavres se relever à leur tour et attaquer les quelques survivants. Il réussi à empoigner un fusil qui avait glissé au sol avant de quitter la nef, poursuivi par les hurlements des quelques survivants. Ils tombèrent sur une porte, condamnant l’accès à l’échelle menant au clocher. George tira de toutes ses forces puis frappa la porte à coup d’épaule. L’odeur lui annonçait que la créature se rapprochait de plus en plus. Il plaça un tir dans la serrure et se rua vers l’échelle, tout de suite suivi par Jarra. Il monta le plus vite possible entendant sa compagne pousser un petit cri. Lorsqu’il arriva au sommet l’air était brûlant. Le village entier était la proie des flammes et des torches humaines se distinguait ici et là.

Mais il n’avait pas de temps à perdre. Il tira Jarra à lui et referma la trappe. C’est alors qu’il vit le sang souillé couler de la jambe de sa bien aimée. Elle leva un regard vide vers lui et ouvrit la bouche. Non pas un son mais une mouche en sortit. George recula vers la balustrade terrifié à l’idée de devoir utiliser son arme contre l’objet de ses désirs. Le zombi de la peste commença à se relever, sa peau prenant déjà un ton maladif. George vit la mort venir.

Mais c’est un ange qui arriva.

Son armure rouge resplendissait à la lueur du village en flamme, elle-même semblait irradier d’une lumière blanche. Deux bolts fauchèrent le corps mort et le firent basculer du haut du clocher. La séraphine se posa en douceur sur le sol, ses réacteurs dorsaux chassant la poussière. A sa vue, George pleura de soulagement. Maintenant qu’il regardait plus attentivement il vit d’autres femmes en armure qui finissaient de mettre feu au village. Leurs toges blanches détonnant dans cette nuit si sombre.

- Êtes-vous un ange ? demanda George, les larmes aux yeux. Vous m’avez sauvé la vie, madame, vous êtes une envoyée de l’Empereur Dieu !

-Je ne suis pas un ange, je suis une Adepta Sororita, une envoyée de l’Empereur. Et ce n’est pas votre vie que j’ai sauvé, mais votre âme.

La vie de George se finit ainsi, non sur un bourdonnement mais sur la détonation d’un pistolet bolter.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime17/7/2010, 22:45

Ah ! Les soeurs de batailles, c'est le mal, pire que les schtroumpfs.
Cela pourrait être tout, mais il faut pas s'arrêter au choix des figurants. Adepta Sororitas 589657


La fic donc, puisque tout le monde en parle ( Adepta Sororitas 91892 ) est plutôt bien écrite, pas assez de faute pour qu'on les remarque, clair malgré le fait qu'il y a beaucoup de détail, pas vraiment superflu, mais tout de même, et c'est tout ce qu'il me vient à l'esprit.


Au final, je n'ai pas aimé, ce style ne me parle pas, étrange vu que ton autre fic m'a beaucoup plu.

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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime18/7/2010, 00:41

Tout le monde parles de ma fic? Et des gens auraient lu l'autre?
Moi qui pensais poster ici en pure perte Adepta Sororitas 91892 Adepta Sororitas 694324

J'avais décidé pour ce prologue d'adopter un style totalement différent de celui habituel justement pour rendre l'ambiance totalement différente de ce prologue quelque peu... décalé. La suite en revanche est bien plus académique et puisque semble il il y ait des lecteurs, je m'empresse de la poster.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime18/7/2010, 00:41

Chapitre 1 : L’ange




Lucia posa son réacteur dorsal sur un casier prévu à cet effet avant de s’asseoir tranquillement sur la banquète du rhino. Comme elle, ses sœurs s'installèrent et chacune se mit à nettoyer tranquillement leurs paires de pistolets bolter. Dans un silence quasi religieux, la séraphine observa ses camarades. Si l’on exceptait le sang qui tachait ici et là leurs toges normalement d’un blanc immaculé, aucun indice ne laissait supposer qu’elles sortaient d’une nouvelle mission de purge. Pas un visage ne trahissait une émotion, ni peur, ni regret, simplement une froide détermination.

Lucia non plus ne ressentait aucun remord, elle était une Adepta Sororita, une fille de l’Empereur. Elle n’agissait qu’en Son nom pour accomplir Sa volonté, il n’y avait pas de doutes à avoir quand à la justesse d’un tel acte.

Depuis le début de l’épidémie, l’escouade en était à sa troisième mission de purge. La commanderie avait été informée de la nature démoniaque de cette infection, et tous les malades potentiels devaient disparaitre dans les flammes. Ainsi les groupes de purification avaient été créés, composés de vingt sœurs accompagnées de dix séraphines. Des petites forces de frappe, capable de faire disparaitre un village en une nuit. Aux yeux de certains leurs actions auraient pu paraitre inhumaine mais elles agissaient pour protéger un de Ses mondes de la corruption suprême et aucune autre considération n’étaient à prendre en compte. Mieux valait mourir dans les flammes de la purification que rongé par la corruption.

L’écran de communication du rhino s’illumina soudain, révélant le visage dur de la palatine Lethe. Cette femme servait l’Ordre depuis plus de quarante ans et sa discipline et maitrise de soit était légendaire. C’est avec une voix sèche et dure qu’elle parla :
-Nous avons un autre cas de village infecté non loin de votre position, dix kilomètres sud est. La population a déjà reçu l’ordre de se regrouper dans une scholam. Puisse l’Empereur veiller sur leurs âmes et votre fureur purger toute trace de corruption.
-Oui ma sœur ! répondirent les séraphines d’une seule voie.

Alors que le rhino obliquait sa direction vers une nouvelle destination, un chant s’éleva parmi les sororitas. Un hymne d’une grande beauté à la gloire de l’Empereur a la fois enhardissant et déchirant par la tristesse qu'il véhiculait. Lucia s’abandonna au chant, laissant son esprit s’abandonner à la grâce. Depuis qu’elle avait rejoint la sororité à l’âge de huit ans, le chant était son seul plaisir, une façon à la fois de louer l’Empereur pour ses dons innombrable mais aussi une simple distraction artistique délicieuse. La vie d’une sororitas était faite de prières, de recueillement, de chants et de flammes. En ces jours troublés où l’ardeur des justes devait brûler avec une intensité exceptionnelle, le chant était à lui seul une façon de se recueillir et de prier, d’oublier un instant l’odeur de la cendre et la froideur du cœur. Tandis que le coeurs des voix gonflait, Lucia sentit des larmes couler sur ses joues et ne put s'empêcher de recommander les âmes de ceux qu'elle allait tuer au divin Empereur.

Les minutes passèrent sans que la femme n’en prenne conscience. Elle sentait la douce chaleur que lui apportait toujours la bénédiction d’avant bataille. Alors que seule une minute lui semblait être passée, le rhino s’arrêta, ouvrant son écoutille face au nouveau lieu de mission.

Chacune des séraphines se leva, prit ses réacteurs dorsaux avant de sortir du véhicule. Les deux autres escouades de sœurs étaient déjà dehors, se tenant dans un parfait ordre de bataille, bolter ou lance flamme à la main. La brise matinale agitait les robes blanches mais les détecteurs de l’armure de Lucia signalaient qu’elle portait une corruption maintenant trop familière. Le feu de l’aube était légèrement teinté de vert, comme si le ciel lui-même avait été affecté par cette étrange contamination. Lucia sentait la colère monter en elle, ce monde était un don de l’Empereur, préservé par Sa volonté des ravages dont se rendaient coupable Ses sujets. Jamais elle ne laisserait cette beauté se ternir. Du moins pas sans se battre. Elle se retourna vers ses sœurs, leurs casques dorés ne laissant pas plus place à l’émotion que leurs visages plus tôt, néanmoins, Lucia pouvait senti la colère qui brûlait en elles aussi.

-Mes sœurs, commença t-elle, aujourd’hui encore nous serons les instruments de la volonté de l’Empereur ! Ici encore, une vile souillure tente de corrompre Ses sujets, d’abattre Son œuvre, laisserez vous ceci arriver ?
-Nous porterons les flammes de la rédemption à tous Ses ennemis !
-Aujourd’hui notre ire renversera la corruption, nous prouverons que rien ne résiste à la colère des justes. En avant ! Pour l’Empereur !

Les trente sororitas s’élancèrent dans un bel ensemble. Les séraphines s’élevèrent dans les cieux, partant en avant du reste des forces alors que les deux autres escouades commençaient déjà à mettre le feu aux bâtiments de la périphérie de l'agglomération. Cette cible était plus importante que le village de la nuit précédante. Une petite ville d’un millier d’habitants. Lucia se demanda un instant si elle et ses sœurs devraient un jour purger la capitale planétaire. Quelques infections s’y étaient déclarées mais les forces gouvernementale avaient circoncis l’infection éliminant ses porteurs. Il fallait prier que cela continue. Si les sœurs ne pouvaient trouver la source de l’infection, ce monde finirai par tomber, quoi qu’il puisse arriver.

En quelques minutes, les séraphines survolèrent la ville désertée et arrivèrent devant les portes de la scholam. Elles avaient été défoncées et une vingtaine de zombis de la peste se tenaient autour l’air hagards, la bouche pendante. La fureur de la sororité s’abattit en un instant. Sœur Tabatha et sœur Thérésa libérèrent la fureur de leurs lance flamme légers et les corps morts prirent feu, se consumant rapidement dans la fraicheur matinale. Lorsque les cadavres s’effondrèrent ; les deux porteuses de lance flammes commencèrent à mettre le feu à la scholam. Un brasier éblouissant s'épanouit du bâtiment alors que le prometheum attaquait chaque mur, abattait chaque cloisons. Aucun cri ne s’éleva, signe que tous ses occupants devaient déjà être morts. Cela parut étrange à Lucia qu’un village infecté depuis si peu de temps soit déjà tellement corrompu, cette maladie devenait elle encore plus virulente ?

C’est alors que se mit à résonner le maudit bourdonnement. Les sœurs se regroupèrent dos à dos peu avant que n’arrive la marée des mouches infectes. Les flammes de la purification s’élevèrent à nouveau et des milliers de ces insectes impies partirent en cendre avant même d’avoir atteint les sœurs. Cela aussi était étrange, habituellement les mouches n’attaquaient pas les sororitas, comme si elles savaient qu’elles ne pouvaient rien leur faire. C’est alors que la radio de Lucia se mit à grésiller.
-… cia ? Sœur Lucia ? Nous sommes attaquées, des centaines de cadavres ambulant sont subitement apparus et se ruent vers nous, demandons assistance.
-Bien reçu, arrivons sur zone dans quelques minutes.

En se recentrant sur la situation présente, Lucia remarqua soudain qu’une horde de morts les entouraient. Ils n’avaient jamais fait ça, jamais ils n’avaient agis avec un semblant d'intelligence. Toutes les séraphines levèrent leurs pistolets et se mirent à délivrer la mort sur leurs ennemis, les balles explosives fauchaient les corps, détruisaient les membres, éclataient les têtes. La discipline de tir était exemplaire, pas un zombi ne recevait plus que le nécessaire pour le mettre hors de combat. Malgré tout les sœurs ne pouvaient arrêter la vague. Les chargeurs arrivèrent à leur terme et les morts se firent de plus en plus proches. Dans un ensemble parfait, les séraphines enclenchèrent leurs réacteurs dorsaux, et alors que toute rechargeaient leurs armes, sœur Tabatha et sœur Thérésa libérèrent les flammes sur la masse puante. Il était maintenant temps de retrouver leurs autres sœurs et de nettoyer totalement ce village.
C’est alors que retentit une rafale de bolter.

Sœur Octavia fut touchée par deux projectiles et, paralysée par la douleur, elle se posa douloureusement sur un toit. Les autres séraphines se posèrent à leur tour et Lucia put examiner ses blessures. L’empereur soit loué, son armure avait tenu le coup mais le choc l’avait rudement touchée. La sœur supérieur se releva et vit la source des tirs et probablement la source de l’infection elle-même sortir de la scholam en flamme. Ils étaient grands, peut être deux mètres et demi, et leur corps tout entier était bouffi. Ils portaient des armures vertes craquelées qui laissaient passer leur panse distendue. Ils étaient des space marines du chaos, des marines de la peste pour être exact et ils étaient la mort.

Dès qu'elles virent surgir les repoussantes créatures, les séraphines se mirent à faire feu de leurs pistolets. Une véritable grêle de bolts s'écrasa contre les plastron décrépis des Death Guards qui avançaient maintenant sur la place face à la scholam mais ceux ci semblèrent ne rien sentir. Alors que des dizaines de cratères se formaient à la surface de leurs armures et que leurs chairs volaient en tous sens, ils continuaient à progresser insensiblement. Ils levèrent leurs bolters et ceux ci se mirent à cracher la mort sur les séraphines à couvert. Les servantes de l'Empereur n'eurent d'autre choix que de baisser la tête.

Alors même qu'ils progressaient, les astartes corrompus entonnèrent un terrible chant qui semblait à la fois fait de paroles et de bourdonnement. Les sororitas pressèrent leurs mains contre leurs casque en tentant de se prémunir de cette funeste mélopée la blessée pour sa part laissa des larmes couler derrière ses oculaires alors que le son amplifiait encore sa douleur. Les mouches grasses se rassemblèrent et se mirent à leur tour à tourbillonner autour des séraphines, le bruissement de leurs élytres se mêlant aux voix des renégats en un hymne à la décrépitude.

Au milieu de cette corruption, une seule resta stoïque, la sœur supérieure Lucia se mit à son tour à fredonner. D'abord d'une faible voix à peine audible face à la cacophonie des impies mais elle enfla rapidement, se gorgeant de toujours plus de force, il se répandit et les créatures du chaos semblèrent reculer alors qu'il prenait de l'ampleur. Une pure lumière se mit à émaner de son corps et les insectes répugnants prirent feu alors qu'ils étaient baignés par la grâce. Les sœurs cessèrent de se lamenter, une à une elles se joignirent à la voix de leur meneuse et la lumière gagna encore en intensité. Sœur Ophélia, toujours au sol, ne se rendit même pas compte que ses blessures se refermaient miraculeusement tandis qu'elle se laissait porter par les voix de ses compagnes.

Dans un parfait ensemble, les séraphines enclenchèrent leurs réacteurs dorsaux.
Un nouveau soleil s'éleva et les être corrompus face à elle levèrent leurs bras pour s'en prémunir. Alors que la colère s'ajoutait à la foi dans la voix des sœurs, celles ci abattirent une nouvelle fois leurs pistolets sur ceux dont l'existence même était une insulte faite à l'Empereur.
Ce ne furent pas de simples bolts qui surgirent lorsqu'elles pressèrent la détente, les projectiles qui en surgirent étaient nimbés de lumière à la pureté aveuglante. En un instant ils percutèrent les serviteurs de la déchéance, perçant leurs armures comme si elle fussent faites de papier. Les astartes renégats touchés moururent en quelques secondes, les survivants levèrent leurs armes et lancèrent un feu de retour mais la même lumière qui leur était fatale semblait protéger les filles de l'Empereur. Pendant un instant éphémère, des anges exterminateurs éclairèrent la nuit de Poroa et rien ne pouvait faire face à leur fureur.

Puis la lueur s'éteignit comme elle était apparue alors que le chant perdait en intensité. Les séraphines se posèrent au sol tandis que le dernier de leur ennemi s'effondrait, le corps ravagé par de saintes flammes. Elles posèrent le genoux à terre et alors que les blessures qu'elles avaient pu ignorer par la grâce de l'Empereur se manifestaient finalement, elles adressèrent une prière à leur divin maître pour leur avoir permis de vaincre.
Alors même que certaines de ses sœurs se serraient les unes contre les autres, occultant leur douleur derrière leur joie, le regard de Lucia était aussi froid et meurtrier qu'il l'avait été lorsqu'elle combattait les astartes. Quelque chose de réellement mauvais devais se passer sur ce monde pour que des membres des légions renégates s'y trouvent, un sombre complot se tramait et en tant que Sa servante, il était de son devoir d'en trouver la cause et de la réduire en cendre.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime18/7/2010, 13:41

Citation :
Tout le monde parles de ma fic?

Justement non. Adepta Sororitas 694324


Tu vas croire que je m'acharne, mais là non plus je n'ai pas apprécié, ça vient surtout du fait que ce sont des sœurs de batailles, avec tout les trucs chiants qui les accompagnent, mais aussi pour la partie affreusement grosbill des pouvoirs lumineux-qui déchirent-tout-sans-qu'on-puisse-s'en-défendre. Et plusieurs Death Guards morts pour juste une sœur même pas blessé, ça laisse des prévisions funeste pour la suite.

Un peu plus de combats impitoyables et de corps-à-corps sanglants seraient à mon sens bienvenus donc.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime20/7/2010, 12:19

Je ne vais pas croire que tu t'acharnes, au contraire, j'ai tendance à préférer les commentaires qui pointe ce qui ne va pas que ceux qui se contentent de s'extasier. Or pour cette fic tu es le premier à ne pas entrer dans cette catégorie ce qui n'est pas plus mal.
Pour ce qui est de la "partie effroyablement grobill" il s'agissait là de tenter de décrire un miracle comme ceux dont les sœurs sont coutumières et un miracle qui se passe avec accroc n'est pas réellement un miracle à mes yeux. Il peut ensuite paraitre surnaturel ou grobill mais par essence un miracle est justement surnaturel ou grobill.

Ensuite chacun de voir si cela lui plait ou non.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime20/7/2010, 16:56

Pressé de lire la suite. Adepta Sororitas 15833
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime17/1/2013, 13:44

Je pense que vu la qualité de tes autres récits tu pourrais faire beaucoup mieux, par exemple pour les ''pouvoirs de grosbill'' essaye d'attribuer ça à un artefact, comme ça tu pourras après en faire si c'est ton choix un élément relativement important, comme une embuscade de Deathguard qui commence par tourner à l'avantage des soeurs de bataille grâce à l'artefact mais qui après tourne à l'avantage des Death guard par ce qu'il en arrive d'autre mais que l'artefact met un peu de temps à se recharger ou alors tu fais une mini intrigue autour de cet artefact par exemple il se fait voler ou un truc du genre. Je pense qu'il vaut mieux un bon miracle technologique à la warhammer 40000 qu'un miracle quasi "féerique" si tu vois ce que je veux dire.
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MessageSujet: Re: Adepta Sororitas   Adepta Sororitas Icon_minitime

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