Arsuynar, un passé tragique.

"Arsuynar."
Le murmure était devenue une voix claire, pure et cristalline. Un son comme il n'en avait pas entendu depuis des années. La musique suave de cette voix réchauffa son corps meurtri. Il n'était plus seul.

On remplace par :

"Arsuynar."
Le nom se faisait insistant. Le murmure était devenu une une voix claire, pure et cristalline. Un son comme il n'en avait pas entendu depuis des années. De nouveaux, les silhouettes lumineuses se dessinèrent, gagnant en précision, manquant même de se révéler, avant de disparaître à leur tour. Mais cette fois, leur image avait été imprimée sur sa rétine. Il y était presque arrivé, et la prochaine fois serait la bonne. Le souvenir de la musique suave de la voix réchauffa son corps meurtri. Il n'était plus seul.

Owi ! J'édite.

Et le titre ?

Pas d'idées pour l'instant.

Mais si, L'Oublié.

Alors pourquoi tu me poses la question ?

C'est du passé, la question.

Et alors ?

Et alors je ne savais pas qu'on savait.

Et pourtant.

Maintenant, je sais, évidemment.

Evidemment.

Le vent glacial mordait sa peau torturée, et les pierres tranchantes meurtrissaient ses jambes en lambeaux. Mais il avait enduré les pires tourments qui soient pendant une éternité, et il était libre.


Il marchait. Ou il l'aurait voulu. Mais ses jambes décharnées n'avaient plus la force de porter sa carcasse exsangue. Alors Irnaël l'avait porté. Il n'avait pas d'autres choix, et aurait trouvé la mort sans cette aide dans les terres désolées du Grand Froid. Le lien qui se tissa entre ces deux êtres ne peut être décrit. Comment raconter le périple effectué à travers tout Naggaroth, la marche sous les tempêtes, la fuite des assassins qui les traquaient ? Comment définir la relation etre l'animal qui portait, nourissait, protégeait l'elfe comme son petit, et le torturé qui semblait n'avoir jamais connu que misère et souffrances ?

Quand ils parvinrent aux côtes de l'Océan, Arsuynar n'était plus le même. Le squelette ambulant avait presque réussi à s'épaissir, ses cheveux étaient sur le point de retrouver leur éclat doré passé, mais le plus flagrant était la flamme qui brillait dans son regard. Une flamme de haine, de vengeance, mais aussi d'espoir. Il se sentait prêt pour l'épreuve.
Trois jours et trois nuits. Durant trois jours et trois nuits, Irnaël nagea en direction des côtes d'Ulthuan, bravant les tempêtes marines et les foudres de Mathlann. Arsuynar survécut. Quand enfin ils échouèrent sur le sable blanc de Chrace, il était malade, dégoulinant d'eau de mer, mais il était en vie, et de retour sur sa terre.

J'ai édité !

Réalisme, quand tu nous tiens.

J'ai r-édité.

Le vent glacial mordait sa peau torturée, et les pierres tranchantes meurtrissaient ses jambes en lambeaux. Mais il avait enduré les pires tourments qui soient pendant une éternité, et il était libre.


Il marchait. Ou il l'aurait voulu. Mais ses jambes décharnées n'avaient plus la force de porter sa carcasse exsangue. Alors Irnaël l'avait aidé. Il n'avait pas d'autres choix, et aurait trouvé la mort sans cette aide dans les terres désolées du Grand Froid. Le lien qui se tissa entre ces deux êtres ne peut être décrit. Comment raconter le périple effectué à travers tout Naggaroth, la marche sous les tempêtes, la fuite des assassins qui les traquaient ? Comment définir la relation entre l'animal qui portait, protégeait et chassait pour l'elfe, et le torturé qui semblait n'avoir jamais connu que misère et souffrances ?

Quand ils parvinrent aux côtes de l'Océan, Arsuynar n'était plus le même. Le squelette ambulant avait presque réussi à s'épaissir, ses cheveux étaient sur le point de retrouver leur éclat doré passé, mais le plus flagrant était la flamme qui brillait dans son regard. Une flamme de haine, de vengeance, mais aussi d'espoir. Il se devait de trouver un moyen pour quitter ces rivage maudit. Apres plusieurs jours de recherche infractueuse, ils trouvèrent un groupe de druchiis prêt a partir en mer, il ne falut pas longtemps au deux alliés pour s'en débarrassé et leurs volé leurs navire. Le voyage de retour pu débuté.
Durant trois jours et trois nuits, Irnaël et Arsuynar naviguèrent en direction des côtes d'Ulthuan, bravant les tempêtes marines et les foudres de Mathlann. Arsuynar survécut. Quand enfin ils échouèrent sur le sable blanc de Chrace, il était malade, dégoulinant d'eau de mer, mais il était en vie, et de retour sur sa terre.


j'ai fait des modif.

Je préfère encore l'autre version.

Et je ne vois pas en quoi le problème, qui était qu'on ne voit pas que tu es une "pierre tombale" est reglé.

Un groupe de druchii, c'est trop pour un cadavre ambulant et un gros chat qui se croit plus malin que les autres. Ensuite, se pose la question : qu'est-ce que ces connards foutent là ?

Naggaroth est quand même immense, et immensément vide. Ils sont perdus au milieu de nul part, pas armés, t'saytayra.

C'est sur que atteindre ulthuan en 3 jours et 3 nuit en temps que cadavre ambulant c'est vachement plausible. La je te ridiculise les record man du monde de natation.

Nan, c'est le lion.

Le lion qui est censé être divin.

tu crois vraiment qu'un gars au bord de la mort aurait survécu a une telle traversé?

C'est Warhammer.

C'est épique. C'est lyrique.

Si c'est là les seule argument en ta possession je te conseil de la bouclé humain.

Et ils valent tous les tiens. A mons sens.

Ouais, c'est plus original. C'est épique, plus tragique. C'est mieux que de trouver 10 types vachement sympas qui t'attendent sur la côte à des lieues et des lieues de tout endroit habité, avec, ô miracle un bateau. Oui, bon, s'ils sont sur la côte, ils ont un bateau.... Mais si bateau, alors port. Et si port, c'est fini.

La nage fait beaucoup moins prétexte. C'est plus "beau".

Je préfère. S'too, monsieur l'effaceur de fic.

"Et si port, c'est fini."


Nuit + infiltration + vole de bateau?

"Nuit + infiltration + vole de bateau?"
Un lion blanc est, comme son nom l'indique, pas la plus discrète des bestiolle.

Rajoute à cela un grand blond qui pète plus ou moins la forme, et l'infiltration devient un miracle.

C'est pas Oblivion.
Dommage, peut-être.

Ensuite, voler un bateau, c'est... difficile.

Et puis, admettons que tu voles ce bateau. Tu fais quoi, après ? Le lion à la barre ? Marrant.

Encore une fois, admettons que tu voles le bateau, que le lion mette les voiles et qu'il prenne la barre. Vous partez. Mais à moins que par un quelconque hasard, tous les habitants du port aient décidé de fermer les yeux pendant 10 minutes au même moment, comment expliquer que vous ayez réussi à vous enfuir ?

C'est pourquoi je préfère l'idée d'Arduilanar.

Merci.

Moi aussi je préfère la mienne.

Non, franchement, c'est plus réalisable, et surtout plus pathétique.

Tu survis par miracle car les dieux veillent sur toi.