Tu étais censé me demandé si je préfèrerais pas un whisky d'abord.
Fils de la Vengeance
Les Egarés
Où ils sont perdus...
I
Fils du Vieux Monde
Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine...
Le décor est planté.
I
Gloire
Quand la horde parvint aux portes de Karak Drazak, ils furent le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à la fureur nommée Peau-Vertes. Ils combattirent et tombèrent, tels de puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Les Peaux-Vertes étaient vaincus, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Car c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.
Au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons, ils trouvèrent leur destin.
La tempête faisait rage, apocalyptique. Une tempête de la fin des temps qui engloutirait le monde dans ses déchaînements effroyables, mais seulement pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein.
Leiden et le Démon.
Le fils tomba, le père combattit seul. La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Rendu fou par la captivité, il réclamait un hôte.
Le père fut condamné, mais il refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations. La tempête mourut avec lui, et ils expirèrent ensemble, sa dernière plainte emportée par les vents. Le ciel résonna de ses lamentations pendant des jours, jusqu’à ce que de plus grands malheurs encore étouffent sa peine.
Un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée. Une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent que la lune braquait sur elle. Elle paraissait si fragile, si faible, perdue dans ces domaines hostiles. Et pourtant, un mal infini en suintait, un mal terriblement ancien qui gangrenait le sol et corrompait l’air.
La nuit résonnait de paroles répétées, tantôt murmures de désespoir, tantôt hurlement effrayants, et Morrslieb en était le témoin.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »
"L'Âge des Hommes", je reconnais que c'est un peu facile.
Mais c'est juste histoire de mettre un titre à la sous-partie humaine, à moins que ça ne vous plaise.
Le faible choix de taille et de police est un peu gênant.
Et il faudra choisir entre "Chapitre Premier", "première Partie", "Partie I", ou tout simplement "I", etc.
L'air de rien, c'est important.
En ce qui concerne le nom du premier chapitre, pn pourrait appeler le deuxième, celui qui concernera Khârne "Sang". Et il pourrait finir soit avant le pillage, soit après. Le pillage aurait plus sa place dans "Sang" que dans "Immortalité", mon idée de nom pour le troisième chapitre. Quoique, il a sa place dans les deux. Et puis surtout, "Immortalité" serait un peu court, avec seulement le rituel.
Et puis pourquoi pas, des sous-chapitres.
Du style "Parricide".
Ce serait bien, si, à moins que tu n'aies une autre idée, le premier chapitre de la partie elfe, le discours, aurait pour titre "Gloire", lui aussi. "Sang", ça pourrait coller avec le deuxième, avec la guerre, les meurtres, etc. Immortalité colle moins mais c'est pas grave.
Et dernière chose, "Le décor est planté".
Ce n'est plus intégré au texte, et ça continue de m'exciter. Mais il est presque indispensable, à mon avis, que la partie elfe l'intègre aussi. Sinon, ça fait bizarre. Ou juste moins bien.
Alors si vraiment tu ne veux pas (et tu n'as aucune raison de ne pas vouloir
), on l'enlève.
Ou alors, peut-être d'autres propositions d'arrangement et de titres.