Tous des parias !

Les elfes, tu m'étonnes qu'ils ne sont plus assez nombreux, s'ils savent pas comment on sauve les damoiselle en détresse.

Ce sont des choses qui ne se font pas, chez eux.

J'ai ri.

Tu aurais pu placer "Oh oui, c'est une arme fiable".

"Et, avec le sentiment du devoir accompli, Arduilanar reprit sa marche sur les routes de l’Empire."
Un grand homme.

Cela dit, il faudra qu'on m'explique comment celle là va bien pouvoir faire pour ne pas finir de la vérole.

Justement, j'ai tenté de glisser une allusion discrète à sa destinée peu vertueuse. C'était délicat à placer dans la bouche d'un elfe - sksss...

Oui, et d'ailleurs ça détonne assez.

"Mais qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ?"
Je me le suis demandé aussi. C'est cocasse, de se retrouver à la rue avec un cheval pour seul compagnon.

Si tu veux, Backe pourrait la rencontrer, ce qui pourrait justifier quelques précisions sur son destin. On l'accusera d'avoir volé le cheval.

Par Asuryan, si je commence à imaginer un scénario indépendant pour la satire, on ne va plus s'en sortir !

En attendant, je ne sais toujours pas comment je vais combler le trou - sksssss.
Entre le dernier chapitre que j'ai écrit et celui-ci.

Difficile en effet de traiter le retour de Raithael sur un ton comique. Ou du moins, je ne vois pas encore comment faire. L'inspiration me vient en écrivant, d'habitude.

En faisant de lui un punk ?

J'ai lu. J'ai ri

Je veux la suite

Pas mauvaise idée, l'ado rebelle. Mais ça reste tragique, la perte des parents, et je ne crois pas que l'on puisse contourner le problème. Déjà dans le chapitre précédent avais je eu du mal à tourner la disparition de Raithael à la dérision - sans y parvenir vraiment, d'ailleurs.
De tous les chapitres, celui du retour est vraiment le plus tragique, parce que la mort des parents ne peut qu'être tragique, quelque soit le ton que l'on prenne.

Hum. Je vais réfléchir.

Ca bloque. Je ne parviens pas à trouver le ton, ou l'idée qui me permettrait de renverser la situation. Zlut.

On dit "Damn it !".

Ou "Damnède". Ca peut le faire, aussi. Damned !

Oh je ne crois pas non.

L'apocalypse avait commencé.

Je viens de penser. Oui, ça m'arrive.

Ils ne sont pas obligés de mourir. Ils pourraient être arrêtés par les forces de l'ordre et les deux enfants séparés, envoyés à la DAS.
Malheureusement pour Raithael, sa famille d'accueil se trouverait à Naggaroth et ses nouveaux "parents" auraient un fort penchant pour le cuir.

Non ?

Je... Tu y vas fort, là.

On était déjà dans l'irrévérencieux, on tombe dans le loufoque. Pourquoi pas ? Mais ça va demander de lourds aménagements scénaristiques, ça oui. Et m'obligerait à réécrire le chapitre de la disparition de Raithael, qui n'a plus lieu d'être.