Khârne le mechant pas beau.

Après deux heure de marche le prochain village a pillé avant de retourner chez eux était enfin en vue. Khârne ordonna une halte histoire d'être en pleine forme pour la mise à sac. Son père lui avait confié les hommes du village pour prouver sa valeur et ramené des provisions. Les premier village avait été d'une simplicité inouïe grâce a l'effet de surprise. Ils n'avaient jamais rencontré une force de résistance conséquente pour les arrêter. Il observais la ville, il n'y avait pas de rempart la seul chose qui les séparait de celle-ci était l'étendue de neige. Il n'aimait pas la neige. Une forme au loin sortant du village le fit sortir de ses pensée. C'était les guerrier du village, ils était repéré. Khârne poussa un juron l'attaque par surprise n'allait pas être un avantage cette fois. Vite, il ordonna de se préparer à la bataille. Ses hommes ne mirent pas longtemps a se préparer en ordre de bataille. Il rejoignit son unité, ses meilleurs hommes, ils l'avait sauvé dans bien des situations certain avait les faveur des dieux.

- A la charge!!! cria t il en levant son épée. Ses hommes acquiescèrent d'un seul voix et foncèrent vers les ennemis. L'autre camps chargea aussi les deux armée allait être au contact très bientôt. Le choc allait être terrible les deux armée était à effectif égaux seul le meilleur vaincrait. Il fut vite séparé de son unité. Khârne décapita net l'homme assez fou pour le défier un autre fonça vers lui l'épée levée mais il ne put rien faire la dernière chose qu'il vit était son cœur au bout d'une épée. Il n'avait pas le temps de se soucier de qui avait tuer son agresseur un autre fonçait vers lui. Il parât sans peine son attaque grâce a son bouclier et lui trancha le bras de son épée. Le maraudeur tomba par terre en hurlant de douleur. Satisfait il se dirigea vers sa prochaine victime. Mais un chaotique se distinguait dans la masse il avait une tête de plus que les autres et une armure rouge.

Le chef maraudeur se dirigea vers lui peut être en le tuant il arrêterait le massacre. Il avait horreur de perdre des hommes. Il transperça le cœur du seul soldat assez fou pour lui barrer la route. Il était enfin devant l'étrange soldat. Khârne tendit son épée en signe de défi en lui lâchant: "Viens te battre lâche!". Le soldat massif accepta le défi d'un grognement. Vite le vacarme des combat se tût. Un cercle fut formé autour des deux hommes. Les deux troupes avait arrêté de se battre pour regarder le combat. "La victoire dépend de ce combat" se disait il. Les chefs se regardaient sans rien tenté le silence était rompu de temps à autre par des encouragement. C'est l'étrange individu qui commença les hostilité dans un cri de guerre "Du sang pour le dieu du sang" il fonça vers lui la hache dans les deux main. Khârne leva son bouclier mais celui-ci éclata en mille morceau quand il rencontra la hache. Il eût du mal a se maintenir debout mais réussi a contre-attaquer mais le guerrier parât sans peine. Khârne fit un bond en arrière pour évité la lame ses hommes hurlaient son nom en signe d'encouragement. Il ne pouvait pas perdre.

Pas le temps de se remettre que l'homme le ré-attaquait déjà. Il parât avec peine de sa lame magique mais le choc le fit tomber et perdre son épée. Il était par terre, il voyait que le champion avait baissé sa garde et se préparait a l'achever, des injures venait de son camp tandis que des clameur de victoire venait de l'autre. Il tourna la tête et vit son épée planter dans le sol a quelques centimètre de lui. Il ne savait pas s'il avait la force de la prendre mais il devait le faire. Il saisit la garde, tira la lame du sol et fonça vers le chaotique en hurlant. Son camp reprit espoir et criait des encouragement. Le champion n'eut pas le temps de remarquer ce qu'il se passait que sa tête se détachait de ses épaules et roulait par terre jusqu'au pied de ses maraudeurs bouche bée. Khârne saisit la hache de son ennemi en criant victoire et ensuite s'évanouit de fatigue...

*****Quelques mois plus tard******

Le soleil se couchait sur un massacre. Les maraudeurs avaient commencé la mise à sac du village. Des villageois armés de fourche avaient été la seule résistance rencontrée. Un fétu de paille face à la fureur de la horde. Les hommes pillaient les décombres en quête de nourriture et de richesses... Mais Khârne ne le faisait pas pour ça. Seul lui importait de faire honneur à son Dieu. Khorne. Khorne ! KHORNE ! hurlait-il à s’en déchirer les poumons.

Frénétique, il approcha d'une maison, tranchant en deux net un maraudeur qui avait eu la malchance de se trouver sur son chemin. Il connaissait cet homme. Ils avaient combattus côte à côte. Tant pis. Il exultait.
Il fit voler en éclats la porte, en réalité simple planche de bois. Un homme armé d'une épée l'attendait. Celui-ci chargea mais malgré son courage, il n'était pas de taille. Le chaotique frappa. La hache rencontra l’épée. La puissance du coup aurait brisé n’importe quelle lame, mais elle tint bon. Pas son adversaire. L’épée lui avait sauté des mains. Sans défense, il fut d’une facilité indécente pour Khârne de le tuer. Le sang éclaboussa sa lourde armure. Il s’approcha de ce qui devait être la femme du cadavre. Elle le supplia. Pathétique. Il accrocha sa tête à sa ceinture, aux côtés de son mari. Et partit, il avait accompli sa mission...

Pas mal, malgré quelques répétitions.

La dernière partie est à revoir, il faut intégrer le rituel.
Et ton désespoir.
Ah, et on ne sait rien sur la hache.

J'ai réecris un peu le pillage, voilà le brouillon :

Le soleil se couchait sur un carnage, comme tant de fois en ces temps troublés. La Mer des Griffes avait une fois de plus déversé son flot de guerriers. Un village côtier avait eu le malheur de se trouver sur leur route.

La vague rouge avait déferlée sur les infortunés pêcheurs. Quelques miliciens terrorisés et des villageois armés de fourche furent la seule résistance qu'elle rencontra. Un fétu de paille face à la fureur de la horde.

Le village brûlait. Une fumée brune cachait les premières étoiles. Quelques combats désespérés se prolongeaient au milieu des flammes. Les cadavres éventrés des derniers courageux venaient rejoindre ceux des couards, où leur ultime bravoure tomberait dans l'oubli.

Les maraudeurs pillaient les décombres en quête de nourriture et de richesses. Mais Khârne ne le faisait pas pour ça. Seul lui importait de faire honneur à son Dieu. Khorne. Khorne ! KHORNE ! hurlait-il à s’en déchirer les poumons. [Il y a quelque chose à ajouter ici]

Frénétique, il approcha d'une maison, fendant en deux le torse d'un maraudeur qui avait eu la malchance de se trouver sur son chemin. Il connaissait cet homme. Ils avaient combattus côte à côte. Tant pis. Il exultait.
Il fit voler en éclats la porte, en réalité simple planche de bois. Un homme armé d'une épée l'attendait. Encore un de ces gêneurs.
Non. C’était lui. Il le savait.

Il chargea. Il n'avait pas la moindre chance. Le chaotique frappa. La hache rencontra l’épée. La puissance du coup aurait brisé n’importe quelle lame, mais elle tint bon. Pas son adversaire. Le choc lui avait brisé les poignets. La lame tomba à ses pieds, scintillante.
Sans défense, il fut d’une facilité indécente pour Khârne de le tuer. Le sang éclaboussa sa lourde armure. Il s’approcha de ce qui devait être la femme du cadavre, recroquevillée dans un coin. Elle le supplia. Pathétique. La hache se dressa dans les airs et s’abattit lourdement. Il entendit des pleurs. Sous les jupes ensanglantées de la femme, il y avait un enfant. Un nourrisson. Il l’écrasa de sa botte, et empoigna le petit corps désarticulé. Il sortit de la maison, jubilant, savourant son triomphe.

La hache s’était tue. [L'âme du fils de papy reprend le pouvouar ]Ils fouillèrent les décombres jusqu’au matin.

Je veux pas tué un bébé moi.
Et si j'avais 2 personnalité quand le démon prend le pouvoir dans la hache je suis le champion de Khorne sanguinaire et cruel et quand c'est le fils de papy je redeviens le maraudeur un peu moins sanguinaire et un peu moins cruel.
Mais une force mystérieuse m'empêche de jeter la hache.

Pas bête, pour la double personnalité. M'enfin, le fils de papy était un vrai héros, un preux chevalier défenseur de la veuve et de l'orphelin.

Mais toi, t'es un adorateur de Khorne. T'es la pire, ou du moins une des pire ordure qui soit en ce bas monde.
Le bébé, tu le tue pas vraiment. Tu l'écrases.
Et ça devrait te faire plaisir, de voir le sang s'écouler de son crâne éclaté.

Les maraudeurs sont cruels et sanguinaires, de toute façon.

Pas tous.
Euh au moins il accepte que leur femme combatte.

Voilà, le pillage est globalement achevé. Peut-être quelques toutes petites retouches en fonction de ce qui pourraitvenir avant, mais globalement, c'est fini. Ou presque, il manque juste le rituel à la fin.

Le soleil se couchait sur un carnage, comme tant de fois en ces temps troublés. La Mer des Griffes avait une fois de plus déversé son flot de guerriers. Un village côtier avait eu le malheur de se trouver sur leur route.
La vague rouge avait déferlée sur les infortunés pêcheurs. Quelques miliciens terrorisés et des villageois armés de fourche furent la seule résistance qu'elle rencontra. Un fétu de paille face à la fureur de la horde.

Le village brûlait. Une fumée brune cachait les premières étoiles. Quelques combats désespérés se prolongeaient au milieu des flammes. Les cadavres éventrés des derniers courageux venaient rejoindre ceux des couards, où leur ultime bravoure tomberait dans l'oubli.

Les maraudeurs pillaient les décombres en quête de nourriture et de richesses. Mais Khârne n’était pas là pour ça. Ici s’achevait son existence. Ici allait avoir lieu son apothéose. Ici, il serait un dieu.
Frénétique, il approcha d'une maison, fendant en deux le torse d'un maraudeur qui avait eu la malchance de se trouver sur son chemin. Il connaissait cet homme. Ils avaient combattu côte à côte. Tant pis. Il exultait.
Il fit voler en éclats la porte, en réalité simple planche de bois. Un homme armé d'une épée l'attendait. Encore un de ces gêneurs...
Non. C’était lui. Il le savait. Elle le savait. Jamais il ne l’avait vue dans cet état. Elle bouillonnait, féroce et fiévreuse. Une euphorie démoniaque et vorace s’était emparée de la Hache. Elle l’emporta dans son effervescence, et tous deux se mirent à trembler. Ils avaient faim. Faim de gloire, de sang, et d’immortalité.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense ».

Le paysan chargea. Il n'avait pas la moindre chance. Khârne se jeta sur lui et frappa. La hache rencontra l’épée. Le choc fut extraordinaire. Le temps parut se geler, tandis qu’un astre aveuglant naissait dans la pièce. La Hache en fut blessée. Son adversaire aussi. Le choc lui avait brisé les poignets. La lame tomba à ses pieds, scintillante.
Sans défense, il fut d’une facilité indécente pour Khârne de le tuer. Le sang éclaboussa sa lourde armure. « Son sang sera bu… » Il s’approcha de ce qui devait être la femme du cadavre, recroquevillée dans un coin. Elle le supplia. Pathétique. La hache se dressa dans les airs et s’abattit lourdement. Il entendit des pleurs. Sous les jupes ensanglantées de la femme, il y avait un enfant. Un nourrisson. Il l’écrasa de sa botte, et empoigna le petit corps désarticulé. « Et sa chair dévorée… »
Il sortit de la maison. Le cadre de bois était son arc de triomphe. Jubilant, savourant sa gloire et au bord du délire, il hurla.
« L’immortalité sera ta récompense. »

"Ils avaient combattus "
La honte...

Word m'a trahi.

Pas d'autres sarcasme ? Un avis, peut-être ?

Bon allez je vais écrire le parricide.

Patricide serait mieux.

Pourtant le correcteur d'orthographe me met parricide.

Peut-être que je me trompe, alors.
Snif.
Trahi par l'orthographe. Je ne m'y serais jamais attendu.

Bon allez je vais commencer.

J'avais pas commencer car je trouvai pas d'inspiration pour le début mais je vais le passer pour le compléter après.

C'est fini ?

J'ai un trou.
La nuit porte conseil. Quoique.

Moi, je porte conseil.

Bon j'ai globalement tout fais mais je dois ajouter des détails. Et faudrait que je donne un nom a mes officiers mais j'ai pas d'idée.

Qu'est ce que tu dis de « Le sang de l’être le plus cher sera le premier pas vers ton immortalité » Pour le murmure de la hache?

J'aime bien.

Hum. "Ton" sang serait pas plus "prophétique" ?

Du style "J'ai soif de ton sang". Oui, bon, indulgence, je suis fatiguay.

En fait, faudrait voir ce qu'il y a autour.

On pourrait le mettre après mais là c'est pour l'encourager à tuer son père.

Ah oui faudrait que je le fasse pleurer comme ça on verra le changement de lopette à guerrier sanguinaire.

Bon moi je vais aller lire la galaxie en flamme avant d'aller au dodo.

J'améliorerais et je posterais toussa demain (Sans garantie. )

Justement, "ton sang", c'est ton père.

Ou ton cousin.

La Galaxie en Flamme, je le cherche depuis des semaines.

Si tu as du temps à perdre, pense à moi.

Quoi tu veux que je te le copie?

Il est pas a moi c'est un ami qui me la prêté.
Faudrait que j'achète Nécropolis je fait une indigestion de space marine là.

Justement, dépêche-toi.

-J'étais là dit Titus Cassar, dont la voix tremblante avait peine a atteindra le fond de la salle. J'étais là le jour ou Horus s'est détourné de l'empereur.

Oh et puis zut la flemme.

C'est marrant, ça commence toujours comme ça.

-J'étais là, le jour où Horus a tué l'Empereur.
-J'étais là, le jour où Horus est tombé.