Brouillon

Arduilanar considéra froidement Stayn, légèrement essoufflé par son discours qu'il avait prononcé d'une traite.
"Fort bien. Si c'est une aide que vous proposez, je ne vois aucune raison de la refuser, si même un Prophète a jugé bon de daigner vous accorder sa confiance. Mais n'attendez pas trop de moi, Mon'Keigh. Notre race n'est pas prête à prendre en amitié un étranger, fut-il notre allié. Vous représentez pour moi un intérêt pour mes projets et pour la cause que je défend ; dans le cas contraire, soyez assuré que vous auriez payé de votre vie votre insolence. Je suis Alaya Hel'Manë, et depuis plus de deux siècles je mène les Chasseurs Gris et combat le Chaos. Ne me prenez pas à la légère, jeune imprudent, car quiconque outrepasse mon autorité parmi mes hommes le paie chèrement et immédiatement."

Va pour le "statu quo". Je suis honoré de faire votre connaissance. Je suis Stayn. Depuis environs quatre-vingts ans je parcours la galaxie. J'ai combattu les Orks aux côtés des Tau, auprès desquels j'ai fais mes classes. J'ai affronté l'Imperium avec les Eldars, par deux fois. J'ai également mené de petites croisades personnelles contre le Chaos. J'ai également effectué un grand nombre de missions pour les vôtres. Si je ne me débrouille pas trop mal au corps à corps, je puis vous affirmer que vous ne trouverez pas meilleur que moi au tir, jamais je ne rate ma cible. Les Guerriers de Feu sont de bons maîtres. Considérez moi désormais à votre service, seigneur. Si par le sacrifice de ma vie vous pensez survivre, je serais heureux de périr.



[cela va de soit mais Stayn maîtrise parfaitement la langue Tau. Il a aussi des bases respectables dans le langage Eldar]

s'il nous aide on va faire un duo de choc

Chargeeeeeeeeeeeeeeeeeeez !!!

pardon, le manque d'action

"Soit. Trouvez-vous une monture et remettons-nous en route, nous n'avons pas de temps à perdre."
Alaya fit changer son sang-froid de direction et reprit la tête du convoi. Il avait un vague pressentiment, l'indéfinissable impression qu'un destin funeste s'abattait en ce moment même quelque part autour de lui. Un sourd vrombissement emplissait l'air, à la limite de l'inaudible. Que pouvait-ce être ?
Légèrement inquiet sans rien en laisser paraître, il fit presser le pas. Les montures reptiliennes se mirent au pas de course. Derrière lui, il sentit Ifraelle légèrement incommodée par la prise de vitesse. La Banshee n'avait jamais trop apprécié les modes de déplacement autres que mécaniques et antigravitiques.

[A toi, Albericus, si tu veux.]

AAaalbericuuuus !

Tu le presses comme un agrume. Le pauvre.

Sous ses recommandations, on pourrait faire sauter son tour de notre côté, pour lui laisser le temps de revenir à Ifraëlle.

C'est moi, j'accoure je vole ! Bon, nous déboulons donc en plein combat, des vaisseaux dans tout les sens, des pirates du chaos et des Exodites.
Plan d'action :

Je reste coite pendant un moment, genre cinq secondes, le temps qu'il te faut à toi notre chef tout puissant pour nous trouver un plan de bataille et commencer à donner des ordres. Ce que tu fais. Puis, action ! Sautant du sang-froid en pleine charge, l'agile Banshee s'en ira tailler quelques pirates en tout petit morceaux. Tout en tentant de rester prêt de toi.

Pour contrer les vaisseaux, j'imaginais de l'artillerie lourde montée sur de gros dinosaures quadrupèdes.
Je proposerais bien des Chevaliers eldars sur Téradon, mais je sens que je suis influencé par un certain film sortit récemment...Quand on y pense, la seule différence c'est que les eldars ne sont pas bleus

Bref, il s'agira de trouver un moyen de porter le combat jusqu'au chef d'escadrille dans son vaisseau démon. Ou de le faire descendre à nous.

La seule différence, c'est surtout que ce sont des skinks et non des eldars. Fin de la parenthèse.

- On vous a posé une question, les gars. Dîtes... Personne a du psycho ? Demanda Backe, très légèrement embarrassé.
- Moi... Moi, j'ai quelque chose qui ressemble.
- Qui ressemble...
- Ouais, euh... Enfin... Ça … Ça...
Il s'interrompit, la mâchoire entrouverte et pendante, l'air un rien contrarié. Backe le regardait avec appétit. Les deux gouffres affamés, noirs abysses insondables où luisait cependant une fascination malsaine, étaient rivés droits sur la pupille gauche du frêle soldat qui, du haut de sa petite vingtaine de printemps et de ses mensurations pas tellement viriles, encaissait de son mieux. Pour un regard noir, c'était un regard noir. L'autre avait pâlit et de son front perlait le désir de réorienter la conversation. C'est Aro, paternel, qui s'en chargea. Il laissa chuter sa lourde main sur la lourde épaule de son camarade pour détourner son attention.
- Backe... ,souffla-t-il avant de lui décocher un regard lourd de sens, lui signifiant, en gros, qu'il le déconseillait de poursuivre dans cette direction.
- Bah, j'ai rien dit, lâcha le fautif, désabusé et innocent. Les flammes captivèrent son regard et ne le lâchèrent plus.
- Ceci dit, moi, c'est Aro. Il posa la main droite à plat sur sa poitrine, à la manière luvian, faisait étalage de tout son talent pour décrisper les situations impossibles et ramener un peu de cordialité dans ce monde de brutalité et de haine ordinaire.
- Backe.
- Blint, fit celui qui avait quelque chose qui "ressemblait", se forçant à sourire à et se décontracter un peu tout en prenant bien soin de se cantonner à l'aller retour entre les flammes et le visage d'Aro. Il était jeune, bien trop jeune.
- Lhobo, répondit l'autre, calme comme une plante verte et, de la même façon, avec dans le regard l'air de prendre consciencieusement garde au feu, ou à ce qu'il y avait de l'autre côté. Il était, selon les standards impériaux, de taille moyenne et musclé plutôt sèchement. Autant dire qu'il avait tout juste l'air d'un freluquet. Il lui manquait une bonne tête pour regarder un Luvian dans les yeux sans trop courber la nuque et sans trop mettre le nez en l'air.
- J'ai jamais entendu un accent pareil, les gars. Vous trouvez peut-être pas ça étonnant, mais on voyage beaucoup, chez les Luvians. On voit du pays. Duquel vous venez, vous deux ?
- D'où on vient ? Moi, je viens de l'enfer. J'y étais bien mieux... , lâcha-t-il, les derniers mots accompagnant le trajet de ses yeux clairs, tombant dans le feu. Tout le monde y serait mieux, reprit-il, vous vous en apercevrez bien assez tôt.
- Pauvre taré... lâcha Backe dans un souffle, le regard toujours collé à la danse des flammes. Non, pardon, j'disais pas ça contre vous, fit-il en levant la main dans un genre de signe d'excuse faussement embarrassé.
- L'enfer, hein ? Et qu'est-ce qu'il avait de si infernal, cet enfer ?
- Il était fait de suie et de métal, de ruines dévastées, de cratères fumants et de tranchées boueuses. On s'endormait bercé par les canons et on était réveillé par les alertes au gaz. Il faisait froid, il pleuvait sans arrêt... Mais au moins, il était franc. Mêmes les mines sont franches devant ces foutues arbres.
- Je crois saisir l'idée de franchise...
- Moi non plus, j'aime pas les arbres. Pourquoi il parle pas, ton copain ?, lança Backe à Lhobo tout en s'adressant à Blint, avec une simplicité naïve tout à fait étrange.
- Sauf ton respect, tu... Tu n'es pas un type avenant, répondit l'autre avec un sourire un peu crispé qui se voulait conciliant. Il avait assez bien cerné le personnage et visé juste en pensant qu'il n'en aurait de toutes façons rien à foutre. Backe se contenta de hausser les épaules et de reprendre son inspection du feu.
- T'as connu la guerre, la vraie, alors, hein ?
- Je l'ai connue... J'étais démolisseur. Je le suis toujours, en passant.
- Et sans trop d'indiscrétion, qu'est-ce que tu fous là, à ton âge ?
- Une longue histoire... Enfin, à vrai dire, pas tant que ça. Mais elle passe par la cours martiale, pour faire court.
- Saletés de criminels, pensa Backe à voix haute, cordialement ignoré par les trois autres.

"Je proposerais bien des Chevaliers eldars sur Téradon, mais je sens que je suis influencé par un certain film sortit récemment..."
Des eldars sur Téradons, j'en ai vu en figurines longtemps avant que le film soit ne serait-ce qu'annoncé.

Comme plan de bataille, ce qui me semblerait logique, c'est de profiter de notre position pour encercler les assaillants avec des tireurs, puis de lancer une charge de cavalerie pour briser leurs rangs et faire le lien avec les deféenseurs exodites, avant de lancer l'assaut des vaisseaux de combat.
Pour contrer les vaisseaux, j'imagine surtout, outre les dinosaures (l'artillerie mobile), de l'artillerie fixe, au sommet de plate-formes dans le arbres ou dans les tours.


Pour la suite directe du récit, il faudrait que tu passes de tes sentiments immédiats (c'est à dire le problème lié à l'accélération) à la découverte, après avoir franchi quelques kilomètres, de la situation du village.
En théorie, une petite armada, ça ne passe pas inaperçu, même quand on est assez loin ; pour l'instant, on n'entend qu'un sourd vrombissement, mais le bruit de la bataille devrait nous parvenir très bientôt, avant de déboucher sur le champ de bataille lui-même.

Adjugé vendu, je m'y met. La suite sera peut être pour tard ce soir, demain dans le pire des cas.

Hop. Je me lave les mains des ces étrangetés.

Aleieus Gaevran dit (22:49) :
"- Pis les Luvians ne pouvait pas non plus tirer comme des malades il devaient bien viser pour par tuer un FDP, pis les Ecrocheé bougent vite mine de rien."

Aleieus Gaevran dit (22:52) :
"- Ben les tirs chanceux ça existent, alors les tirent malchanceux aussi"

_ dit (22:53) :
"- Mais, logiquement, son lance-missile aurait du cibler le Marine."
Aleieus Gaevran dit (22:54) :
"-Ouais mais il l'a raté, le démon permet au SM de bouger plus vite que le Rapace par exemple.
-Ou alors il n'avait pas un bon angle de tir
-Les carcasses de camion le gênaient il voulais pas le louper car si le Berserk les remarquait, il ferait bobo dans les rang des TdC qui avaient à faire avec les Ecrochés"

Aleieus Gaevran dit (23:02) :
"-EN fait
-je l'ai pas dit mais ça me semblait évident
- Les Ecorché traverse ni plus ni moins la route en tuant tout le monde au passage"

Oh mon dieu ! La menace ultime !

Même Mass Effect 2 est jaloux

Cela s'arrange plus ou moins.

"J'ai réfléchi
Je pense à environ 30 Ecorchés et une dizaine de morts chez eux
[...]
Encore que là dix sa fait faible mais ça ce tient de par le fait que les Ecorchés sont très robustes. "

Dix morts pour sept luvians, c'est convenable, non ?

A vrai dire, c'est exactement à ça que je pensais, 30 écorchés, un tiers de perte. Absolument parfait.

A l'instar de mon voisin du dessus, je suis comblé. J'aime bien ce mot. Instar. Un star. Hun Star.
Aha.

Mais c'est toi que j'aime, moi !

Qu'est-ce que je vais devenir ?

L'aube naissante éclaire avec timidité les sous-bois. Sur les feuilles encore humides de rosée, une créature à la peau molle et aux doigts collants observe de ses grands yeux une chenille aux couleurs vives. Au sommet de sa concentration, ses paupières vertes ne cillent pas, mais sa longue langue rouge vient balayer les deux globes oculaires.
C'est qu'elle a l'air appétissante, cette grosse chenille, qui traîne lascivement sur la tige son corps dodu et coloré. Ses anneaux roulent au rythme lent de son avancée. Le batracien salive. Il va l'avoir, il lui suffit de tirer la langue - mais il veut encore se délecter de sa vue.
Mais un éclair jaune le distrait. Avec lenteur, il fait pivoter un de ses yeux vers la direction du mouvement. Sur la branche qui le surplombe, toute une nuée d'oiseaux-citrons attendent eux aussi leur repas. Et des dizaines d'yeux ronds sont tournés avec gourmandise vers la friandise verte qui attend patiemment sur sa feuille.
Que faire ? Prendre le risque de gober et d'être gobé, ou laisser fuir un casse-croûte pour mettre sa peau gluante à l'abri ? Cruel dilemne ! Et dans le doute, le petit batracien se dit que le mieux est de ne rien faire. Les secondes s'écoulent ainsi avec lenteur, dans l'illusion paisible d'une calme matinée, qui ne fait que dissimuler l'équilibre sauvage qui s'est formé. La tension est insupportable.
La chenille cesse de se mouvoir. Tous craignent de rompre la passagère harmonie. Il suffirait d'un battement de cil, d'un piaillement d'oiseau-citron pour que tout s'écroule en une avalanche de cristal.



Splash. La cohorte rouge avance avec fracas au milieu des feuillages. Probablement personne ne se rendra compte qu'une lourde botte a écrasé dans un même élan la grenouille et la chenille, faisant fuir les oiseaux-citrons dépités. Tant pis. Du moins le batracien pourra-t'il enfin se délecter une fois arrivé au paradis des animaux écrasés.

"Seigneur, nous avons repéré l'ennemi. Nous attendons vos ordres."

"Tu viens d'anéantir mes élans bucoliques !"

Haha.

C'était pour introduire, dans un post futur et hypothétique, les Dragons Célestes.

Koarin Malastë. Ce nom à lui seul suffsait à déclencher effroi et courage, rire et respect, mépris et admiration ; car à l'instar de ces réactions, le personnage était rongé par la dualité.

Son histoire était parfaitement connue de tous les eldars de ce secteur, notamment des pirates qui avaient souvent à le côtoyer. Koarin était né quelques siècles plus tôt, sur le Vaisseau-monde Iyanden alors au sommet de sa gloire. Iyanden pouvait se vanter, à cette époque, d'être le vaisseau-monde le plus peuplé et le mieux armé, bien avant que la flotte-ruche Kraken le réduisit à l'état spectral qui était devenu par la suite le sien. En ces temps heureux, donc, Iyanden était puissant, formant chaque année de plus nombreux guerriers-aspects, incarnations d'une facette du Dieu à la Main Sanglante.
Koarin aurait voulu faire partie de leur nombre. Très jeune, il avait commencé à suivre la formation des Dragons de Feu, avant de s'en détourner pour celle des Vengeurs, disciples d'Asurmen. Mais dans aucun temple il ne trouva satisfaction. Son âme était tourmentée, rongée par un désir de pureté absolue qui l'obsédait ; et cette pureté, il ne l'avait trouvée ni dans la chaleur des flammes, ni dans le code d'honneur des Vengeurs.
Car Koarin Malastë souhaitait restaurer la grandeur de l'empire eldar d'antan, avant la décadence de son peuple tombé dans la débauche, puis la grande catastrophe qui avait à jamais réduit les eldars à errer, privés de leurs dieux. Et de tous les dieux disparus, c'était Asuryan qu'il admirait le plus, car à ses yeux, lui seul incarnait véritablement l'esprit eldar tel qu'il le concevait : l'ordre, la vertu, l'harmonie. Khaine, à ses yeux, ne pouvait engendrer que la mort et la destruction, au même titre que les dieux du Chaos ; et il lui vouait un grand ressentiment, car dans les anciens mythes eldars, le Dieu à la Main Sanglante avait voulu éradiquer les fils d'Isha et Kurnous.

Durant des années, Koarin Malastë vécut dans la tourmente, ne supportant pas de ne pas se battre pour sa cause, mais refusant d'oeuvrer au nom de Khaine. Peu à peu, les germes de la folie le gagnèrent ; il entreprit, faute de trouver une voie lui convenant, de créer sa Voie, dédiée à Asuryan, comme la Voie du guerrier était dédiée à Khaine. Pire, dans le trouble de son âme, il se prit pour un nouvel Asurya. Ainsi vint-il à fonder l'Ordre des Dragons Célestes, influencé par l'enseignement qu'il avait reçu dans les temples-aspects ; mais les Dragons Célestes, vêtus de blancs, devaient se battre non pour le sang, mais pour la justice et le retour à la paix.
Evidemment, les Grands Prophètes d'Iyanden réalisèrent rapidement que l'influence croissante d'un être à l'esprit aussi dérangé ne pouvait qu'être un menace pour le Vaisseau-Monde. Aussi fut-il contraint à l'exil, avec tous ceux qui, nombreux, l'avaient suivi. La folie acheva alors de le gagner. Koarin Malastë enfila un masque, blanc sur le côté gache et noir sur le côté droit, à la semblance de celui d'Asuryan, et fit le serment de ne pas le retirer tant qu'il n'aurait pu retourner sur Iyanden.

Ainsi l'Ordre des Dragons Célestes fut-il réduit à un groupe de pirates, mais aux forces importantes et bien équipées, et qui n'avait pas oublié son idéal : faire régner l'ordre d'Asuryan. Koarin Malastë combattit les ennemis de sa race sur bien des planètes, toujours vêtu de son imposante armure blanche ornée de pierres-esprits et de son masque. Il vivait à la frontière de l'ombre et de la lumière, souvent parfaitement calme et lucide, mais aussi parfois pris de graves crises de délire, général réputé mais capable des pires erreurs stratégiques sous l'influence de la folie, bien que toujours animé par une même volonté : libérer la Galaxie du Chaos. Il avait heureusement su s'entourer de conseillers plus pragmatiques, capables de le calmer, et surtout d'assurer la sauvegarde de l'Ordre, y compris par le commerce avec les exodites.
C'est ainsi que les Dragons Célestes avaient rejoint les alliés de la défense d'Emarius Alpha, à la suite des Chasseurs Gris de l'impétueux Alaya Hel'Manë.

" - Seigneur, nous avons repéré l'ennemi., fit le micro relié directement par cable psychique au casque du Seigneur pirate. Koarin Malastë, confortablement installé au poste de transmission du vaisseau-amiral des Dragons Célestes, surveillait via des écrans de contrôle la situation de ses troupes au coeurs de la jungle.
" - Bien. Anéantissez-les."

Sitôt l'ordre transmis au sol, l'assaut commença, brutal et inattendu. Les pirates portant les insignes des Dieux Sombres se virent soudainement pillonés par une grêle de shurikens venus d'entre les arbres. Plusieus tentèrent de se jeter dans la direction présumée de leurs attaquants, mais furent aussitôt carbonisés sur pieds par d'immenses gerbes de flammes bleues. Puis les guerriers eldars, vêtus de blanc, surgirent de leur cachette pour achever à l'épée énergétique les survivants.
Après moins de dix minutes de combat, le convoi pirate ne souillait plus la forêt que par ses cadavres. Les Dragons Célestes entassèrent alors les corps avant de les brûler de leurs lance-flammes, conformément aux ordres du Seigneur Malastë.

Alors, Albericus, tu réponds pour qu'on puisse les introduire ?

C'est déloyal de rapeller encore du renfort

Je vois plutôt ça comme le conflit qui se généralise et prend de l'ampleur.