Panthéon du Chaos

Sachez mortel, que si vous osez faire un deuxième pas dans ce lieu sacré qu'est le Panthéon du Chaos, votre vie risque d'en être inévitablement transformée. Ici repose l'histoire des plus grands Champions du Chaos ayant jamais posés leurs bottes cloutées sur cette terre. Combattants frénétiques, sorciers corrompus, mutants bestiaux, avatars de la Peste, guerriers aux plaisirs comblés, leur épique biographie réside en ces lieux dans ces livres anciens marqués de l'Etoile à huit branches. Peut-être ferez vous partis un jour de cette grande famille ?

En fait, notre nouvel ami chaoteux m'a donné une idée. Faire un topic où serait répertoriées les biographies des plus Champions du Chaos de l'histoire de Warhammer. J'en connais une énorme quantité, mais je vous invite à poster celle de ceux que vous connaissez .
Évidemment, il doit s'agir d'un héros ayant réellement existé dans l'histoire de Warhammer, et pas le Jean-Dédé Massakrléelfes que vous venez de m'inventer .
Je me réserve celle d'Archaon, de Valnir et celle de Crom bien évidemment !
Vous pouvez également mettre toutes les caractéristiques le concernant en terme de jeu si elles existent pour votre Champion !

Ps : Je suis très pointilleux sur la présentation, et prière d'éviter les fautes d'orthographes un maximum (chacun peut faire des fautes d'inattention mais n'abusons pas non plus !), et prière d'indiquer dans le titre quel Dieu sert votre Champion s'il en a un. Mais ce n'est qu'un avis personnel .

Intéressant. Mais je ne connais strictement rien aux champions du chaos, donc je ne pourrai pas aider, désolé.

Excellente initiative cher ami , j'aurai du poster celui de Feytor ici , mais les prochains je les posterai donc la

Il y a plus de deux siècles, le nom de Valnir le Moissonneur était craint dans tout Kislev et l'Empire. Grand guerrier de la tribu du Corbeau, il traversa les Montagnes du Crépuscule pour atteindre le Royaume du Chaos et y devenir un guerrier puis, avec le temps, un Champion du Chaos puissant et redouté.

Le seigneur Nurgle le baptisa le Moissonneur, celui qui récolte les âmes au nom du Dieu de la Pestilence. Il fit don à Valnir d'une arme démon d'une puissance terrible, un fléau capable de prendre les âmes aussi facilement que les vies. Nombreux furent les innocents fauchés par Valnir.

Lorsque vint la Grande Guerre du Chaos, Valnir répondit à l'appel des armes comme tant d'autres Champion du Chaos. Il combattit pour son Dieu au siège de Praag et dans la bataille titanesque des Portes de Kislev. Au coeur de la cataclysmique mêlée finale, il chargea Alexis, le Tzar de Kislev. Mais il fut mis en pièces et, mortellement blessé, ne parvint qu'à se traîner à l'écart du champ de bataille.

Ses serviteurs ramenèrent son corps au pays des maraudeurs conformément à sa dernière volonté. Les maraudeurs de la tribu du Corbeaux érigèrent un grand trône de pierre du haut duquel Valnir pouvait contempler ses terres ancestrales. Il resta ainsi plus de deux cents ans. Mais la tâche de Valnir n'était pas terminée. Au cours des ans, les vents noirs venus du Royaume du Chaos se firent plus violents et, un jour, sa silhouette pourrie et squelettique se releva. Valnir était à nouveau debout, ni mort, ni vivant, une créature démoniaque animée par le pouvoir de Nurgle, le Dieu de la Pestilence. Son âme était de retour dans sa carcasse. Les hommes de la tribu du Corbeau tombèrent à genou quand ils le virent, et le vénérèrent comme un demi-Dieu. Pour eux, il était la preuve vivante que le seigneur de la Pestilence était avec eux.

Là où Valnir passe, peste et infection suivent. Les puits et les fontaines se tarissent et l'eau des rivières et des ruisseaux s'emplit de pourriture. Les animaux deviennent enragés et les hommes tombent malades et meurent. Bien des fois, Valnir a gagné la bataille avant même qu'elle n'ait commencé, ses maraudeurs fanatiques massacrant une armée d'hommes malades et affaiblis par le souffle de Nurgle.

Valnir fut réanimé par Nurgle dans un but précis. La tâche du Moissonneur n'était pas encore terminée. Bien que sa puissance ait encore grandi, Nurgle n'était pas satisfait. Il se rappela de son Champion qui lui avait envoyé tant d'âmes. A présent, il continuerait à le faire.

Seuls Valnir et son Dieu savent combien d'âmes il devra moissonner avant de pouvoir se reposer à nouveau. Avec le temps, Valnir en est venu à haïr tous les êtres vivants, car ils s'entêtent à vouloir garder leurs âmes et à ne pas vouloir les offrir au seigneur Nurgle. Il ne reste presque rien de sa chair pourrie. Son Armure du Chaos est une ruine délabrée. Des vers se tortillent dans ses orbites et ses entrailles coulent par les trous de sa cuirasse. Cependant, sa forme squelettique a conservé une force terrible. Sa poigne est dure comme de l'acier et aucun guerrier blessé par son fléau ne s'en remet. Plus il tue, plus sa vitalité grandit. Son corps a été détruit au combat bien des fois, mais il se relève toujours afin de tuer encore et de laisser pourrir des carcasses vides, leurs âmes hurlantes aspirées par le Royaume du Chaos.

Les terres de l'Empire et de Kislev paieront au centuple la mort de Valnir.



Valnir le Moissonneur - 340 points
M4 CC8 CT8 F5 E6 PV2 I8 A4 Cd10

Armes/armures : Faucheur d'âmes et une Armure du Chaos. Il combat à pied.
Svg : 4+
Marque du Chaos : Marque de Nurgle, faisant passer son endurance de 5 à 6.

Règles spéciales :

Psychologie : Valnir hait tout ce qui vit. Comment osent-ils parcourir le monde et refuser à Nurgle leurs âmes ? Notes qu'il ne hait ni les démons ni les morts-vivants car ils ne sont pas vraiment en vie. Valnir est également immunisé à la peur, la terreur et la panique. Il a visité le monde de l'au-delà et rien ici-bas ne saurait l'effrayer à présent.

Peur : Valnir est infesté de vers et d'asticots. Son corps dégage une forte odeur de mort et une nuée de mouches bourdonnent autour de lui où qu'il aille. Son horrible visage cause donc la peur.

Vent de Pestilence : Là où passe Valnir, épidémies et mort suivent. Pour représenter ceci, désignez une unité ennemi au début de la partie, elle a été contaminée par Valnir. Lancez 1D6 pour savoir de quoi elle souffre.

1-3 Peste rouge : L'horrible maladie du Nord fait tomber les hommes comme des mouches. L'unité subit 1D6 touches de F3 sans sauvegardes de quelque type que ce soit.

4-5 Fièvre cérébrale : Tandis que leurs cerveaux fiévreux sont infectés de vers, les victimes deviennent folles et perdent toute volonté. L'unité devient sujette à la stupidité.

6 Pourriture noire : La chair des victimes de cette infection devient noire, leurs cheveux tombent et leur peau se putréfie. Tous les membres de cette unité subissent une pénalité de -1 en F.

Aucun char, machine de guerre ou personnage n'est affecté, même au sein d'une unité, pas plus que les démons ou les morts-vivants.

Objets magiques :

Faucheur d'Âmes : Le Faucheur d'Âmes est un énorme fléau rouillé investi du pouvoir de Nurgle. Ses coups ne se contentent pas de tuer, ils aspirent aussi les âmes. La plus grande partie de cette énergie volée est transmise à Nurgle, mais elle nourrit aussi Valnir, le rendant plus fort et plus rapide dans sa moisson d'âmes.
Cette arme ajoute un bonus de +2F à Valnir. Il s'utilise à deux mains, comme un fléau ordinaire, et Valnir bénéficie toujours du bonus de F. Par tranche de 3 blessures causées par Valnir durant la bataille, il peut augmenter ses Attaques, sa Capacité de Combat ou sa Force de 1, jusqu'à un maximum de 10.

Régénération, récompense du Chaos : Valnir peut régénérer ses blessures au même titre que les Trolls. Lorsqu'il subit des blessures par la magie, un tir ou un corps à corps, vous pouvez effectuer un test de régénération pour chaque blessure dès qu'elle est infligée. Sur un résultat de 4+, la blessure se régénère. Valnir peut régénérer ses blessures même s'il est mort. Les blessures régénérées ne comptent pas dans le résultat de combat ou dans les 25% de pertes en cas de fuite, etc...Valnir ne peut pas régénérer en cas de brûlure. Une fois qu'il a subi une blessure par le feu, sa capacité de régénération est totalement annulée.





En effet Tz'arkan, il me semble que Feytor l'Impur existe bel et bien, donc ta fic a parfaitement sa place ici .

Génial la biographie de Valnir

Il faut poster leur biographie uniquement ou peut-ont laisser également libre cour à notre imagination et inventer leur origine tout en restant dans le vrai ?

Merci ^^.
Non, faut que toute son histoire soit véridique, pas d'inventions .

Je peux faire celle de Harry The Hammer ?

Je t'en pris .

J'ai refais celle d'Aekold, voir plus bas.

(Si un modo pouvait supprimer ce message, cela m'arrangerais :P)

ARBAAL L'INVINCIBLE

Parmi ses nombreux serviteurs dévoués, Khorne a choisi pour favori le seigneur Arbaal.
Des milliers d'hommes sont tombés sous sa hache assoiffée de sang et leurs crâne s'empilent désormais à la base du siège d'airin où trône le Dieu du Sang.
Lorsque des adversaires apparaissent à sa vue. Arbaal semble pris d'une rage destructrice à laquelle nul n'a jusqu'à présent échappé, peut_être parce qu'il sait que l'œil de son dieu tutélaire est posé sur lui et que s'il venait à le décevoir au cours d'une bataille, la terrible colère de Khorne s'abattrait sur lui, car tel est le prix de l'échec .
De tous les guerriers sanguinaires de Khorne, peu sont aussi dévoués à leur maître qu'Arbaal. Des milliers de ses ennemis ont senti sa hache sur leur cou et leurs crânes blanchis reposent désormais aux pieds de Khorne. Devant la cité de Praag, Arbaal mena un assaut à la tête de milliers de démons. C'est lui qui mit un terme au siège en écrasant dans le sang les défenses de la cité. Les légendes prétendent qu'il tua plus de mille guerriers en cette seule journée.
Arbaal l'Invincible est le champion favori de son maître et son plus dévoué serviteur. Khorne lui a accordé le pouvoir de l'Exterminateur, une redoutable récompense que seul peut porter le Champion préféré du Dieu du Sang. Si Arbaal venait à perdre un combat, nul doute que son maître le transformerait immédiatement en enfant du Chaos, car seuls les vainqueurs méritent d'être au service de Khorne.



Arbaal l'Invincible - 570 points
M4 CC9 CT8 F6 E5 PV3 I8 A2D6 Cd10

Molosse de Khorne
M8 CC6 CT0 F6 E5 PV3 I10 A4 Cd10

Armes/armures : Une hache et une Armure du Chaos.
Svg : 4+
Monture : Le Molosse de Khorne.
Marque du Chaos : Marque de Khorne, mais il n'est pas affecté par la frénésie car le don Exterminateur la remplace.

Règles spéciales :

Colère de Khorne : Arbaal est le favori de Khorne. Il est constamment surveillé par son maître. S'il échoue, Khorne ne manquera pas de le punir. Si Arbaal fuit, quelle qu'en soit la raison, il est transformé en enfant du Chaos et doit être immédiatement déplacé de 2D6ps droit devant. Une fois transformé, il perd tous ses objets et le Molosse de Khorne retourne dans le Royaume du Chaos.

Défi : S'il combat une unité contenant un personnage, Arbaal doit lui lancer un défi. Il est obligé d'accepter tous les défis lancés contre lui ou l'unité qu'il accompagne. Si Arbaal tue son ennemi, il peut lancer un autre défi et recommencer un combat dans le même tour. Si le défi lancé par Arbaal n'est pas relevé, il peut combattre normalement d'autres troupes. Quand Arbaal combat, le Molosse de Khorne se bat également, durant un défi comme dans un combat ordinaire. Si une unité ennemi contient plus d'un personnage désirant affronter Arbaal, il lui est possible de combattre plusieurs fois dans le même tour. Dans ce cas, ne calculez le résultat de combat que lorsque tous les affrontements auront été résolus en prenant en compte toutes les blessures infligées.

Objets magiques :

Le Molosse de Khorne : C'est le chien personnel du Dieu du Sang, un démon aux proportions titanesques combinant les attributs d'un chien de Khorne avec une taille et une puissance monstrueuse. Seul le favori de Khorne est autorisé à le chevaucher.
Toutes les règles spéciales des chiens de Khorne s'appliquent. Notez qu'il porte également un Collier de Khorne qui le protège contre les armes magiques, bien qu'Arbaal ne bénéficie pas de cet effet. Le collier immunise le Molosse et son cavalier contre les sorts. Les tirs sont répartis entre le Molosse et Arbaal comme s'il chevauchait un monstre. Si le cavalier est tué, lancez 1D6 et consultez la table de réaction des monstres.

Exterminateur de Khorne : Sur le champ de bataille, ce don de Khorne transforme Arbaal en un guerrier infatigable se comportant comme un ouragan de furie et de destruction. L'Exterminateur permet à Arbaal d'accomplir 2D6 attaques durant la phase de corps à corps. Lancez les dés au début de chaque phase pour savoir le nombre d'attaques dont il dispose.

Ce serait bien si on mettait une image du Champion avec le message, non ?

Bonne idée, je vais éditer les miens de ce pas .

Voici celle d'Aekold, refaite entièrement grâce à la découverte de toute son histoire sur le net.
Je précise que son histoire a été entièrement reprise pour l'attribuer à un chevalier du nom de Gotthard, mais la première version était avec Aekold.
C'est en plusieurs messages ^^ (trop long sinon...).

Il fût un temps, il y a de nombreuses années, Aekold Helbrass était le respectueux fils d‘une famille noble, vivant dans le manoir de son père à Altdorf. A l’époque, Aekold avait tout ce qu’un jeune homme de l’empire pouvait souhaiter : richesses, pouvoirs, une magnifique fiancée et une nomination à l’ordre templier du Griffon de Jade. Mais toutes ces bonnes choses n’étaient pas les dernières.

Ses problèmes ont commencé quand il rejoignit ce qu’il pensait être une inoffensive société secrète qui se nommait « les frères de l’aigle doré ». Il ne comprenait que peu de chose des principes qui se cachaient derrière les rites complexes des frères, mais cela n’avait que peu d’importance, car ils partageait tous un même but : changer le monde.

Aekold a toujours cru qu’il devait exister quelque chose de plus que les insignifiants problèmes de la vie politique de la cité, et cela en dépit du fait qu’il n’avait pas trouvé le moindre indice de cette chose dans ses trente-six années de vie. Dans sa quête d’un monde meilleur, Aekold embrassa la religion officielle de l’Empire avec passion, cherchant à dévouer sa vie au service du Heldenhammer. Mais avec le temps, il trouva qu’il manquait quelque chose dans les enseignements de la sainte église de Sigmar, dans lesquels on promettait peu mais demandait beaucoup. On enseignait que le douleur et la mesquinerie ne cesserait jamais dans cette vie, et même après la mort, il n’y avait aucune garantie de paix ou de vie après la mort, mais seulement les horreurs qui assaillent l’humanité. Il semblait que les vies des hommes qui ont connu un sort malheureux ont été gâchées dans la poursuite de choses sans importance, pour une récompense insignifiante.

Jour et nuit, Aekold pria Sigmar, implorant le premier Empereur de lui montrer comment il pourrait changer le monde en mieux. Aucune réponse ne vint. Alors que les espoirs d’Aekold de découvrir les connaissances qu’il cherchait commençaient à disparaître, un ami alcoolique le présenta aux Frères de l’Aigle Doré. Aekold vu aussitôt que cette confrérie était ce qu’il cherchait depuis toujours. Les Frères étaient entièrement dédiés à l’idée de changer le monde, et chacun de leur mot et chacun de leur effort se destinait à cette fin.

Le prédicateur des Frères était un homme intelligent et raffiné nommé Melic Rosencrantz. Il était un mage doté d’un considérable pouvoir qui rivalisait avec les initiés des collèges de magie. Il était capable de changer le métal en or, de guérir les blessures en un mot et de transformer les animaux en créature extraordinaire. C’était un homme qu’Aekold pouvait suivre. Ce jeune chevalier était certain que ses prières avaient enfin été entendues.

Les rituels des Frères invitaient le « Grand Seigneur du Changement », sollicitant l’aide de cet être divin pour que « l’amélioration » soit trouvé dans ce monde, dans cette vie, plutôt que dans l’incertitude du futur. L’intelligence et la force d’esprit d’Aekold lui donnèrent très tôt une place dans la partie la plus secrète de la confrérie : le Troisième Cercle des Frères, où il fut initié à de nombreux secrets.

Puis, une nuit, les Templiers de Sigmar attaquèrent le sanctuaire caché de son culte. Seul Aekold put s’échapper. Mais l’un des acolytes d’Aekold, interrogé par le capitaine des chasseurs de sorcières lui-même, révéla le nom de tous les membres de la confrérie, y compris celui d’Aekold.

La nomination d’Aekold à l’Ordre du Griffon de Jade fut immédiatement révoquée, et ses anciens compagnons d’armes cherchèrent à l’arrêter et à l’amener devant les autorités de Sigmar. Aekold les supplia de l’écouter, mais ils n’entendirent rien de ses excuses. Trois d’entre eux moururent sous l’épée d’Aekold et deux autres furent si blesser qu’il ne purent plus jamais porter l’épée. Quoi que l’on puisse dire de lui, personne ne redoutait du fait qu’Aekold était le plus talentueux à l’épée de son ordre.

Aekold fuya à travers les rues de la capitale impériale, poursuivi par ses anciens compagnons, les gardes de la ville et les effrayants Templiers de Sigmar. Dans son désespoir, Aekold chercha refuge à la maison de sa fiancée, Dame Johanna von Leber, mais elle lui ferma la porte. Il essaya d’expliquer l’injustice des accusations faites contre lui et pourquoi il avait été déclaré hors-la-loi, mais Dame Johanna refusa de l’écouter. Elle lui dit qu’elle ne voulait plus jamais le revoir, l’accusant d’amener le déshonneur sur sa famille et sur son rang dans la société.

Aekold savait qu’à part Validus, son fidèle destrier, il était complètement seul.

Sans autres choix, Aekold se dirigea vers la porte de la rivière. Sans jamais s’arrêter, le chevalier solitaire distança les gardes et pris la route du nord au triple galop.

Malgré le fait qu’Aekold avait dépassé depuis longtemps les frontières du Reikland, les chasseurs de sorcières de Sigmar était toujours tout près. Forcé de vivre comme une bête sauvage, Aekold dormait dans l’obscurité des forêts profondes et voyageait de nuit pour échapper aux regards curieux. Il vola ou acheta sa nourriture aux marchands sur les bords des routes. Il évitait toujours chaque ville et chaque barrage de contrôle. A chaque instant, l’humiliation de sa disgrâce le rendait fou.

A la frontière de l’Ostland, un des templiers de Sigmar le rattrapa, et un carreau d’arbalète destiné au cœur d’Aekold, ne manqua que de peu sa cible. Ce n’est qu’en jetant sa formidable épée, une chose impensable pour un chevalier, qu’il réussi à abattre le chasseur de sorcières avant qu’un de ses carreaux ne trouve sa cible. L’épée à deux mains avait transpercé la poitrine de son adversaire, et Aekold était à peine parvenu à récupérer de l’attaque avant que les féroces chiens de chasse du Comte d’Ostland n’apparaissent, à ses trousses.

Peut-être que le destin avait été dur avec Aekold. Après tout, le jeune homme avait seulement cherché à échapper à la monotonie de sa fatigante et ennuyeuse existence de noble de l’Empire. Partout autour de lui, il avait vu la décadence de la capitale impériale : les rues crasseuses et le désespoir des pauvres gens, mendiant et menant une vie misérable dans les taudis envahis par la maladie. Aekold avait voulu changer tout cela, recommencer depuis le début, abattre l’ancien, la société corrompue et participer à la construction de quelque chose de totalement nouveau, quelque chose de mieux.

Mais ce ne fut pas le cas. Sa vie était en ruine, son père l’avait renié, et ses amis s'étaient retournés contre lui. Il avait été conduit au delà des frontières de Kislev, au bord du monde civilisé, fuyant pour sa vie avec une mise à prix sur sa tête. Tout ce qui lui restait était ses armes, sa puissante épée et sa volonté de survivre. Tout cela pourrait être suffisant… Il était sur le point d’entrer dans le pays des Trolls et personne n’oserait le suivre là-bas.

Aekold voyagea vers le nord durant sept jours avant de rencontrer une quelconque résistance. Il avait repéré un groupe de créatures difformes dans l’obscurité de la lisière de la forêt ou à l’horizon lointain, mais elles ne cherchèrent jamais à s’approcher de lui. Elles semblèrent se contenter d’observer. Pourquoi, Aekold ne le savait pas, mais tant qu’elles n’étaient pas une menace, il décida de les ignorer.

Au fur et à mesure qu’Aekold continuait à avancer, les arbres se raréfiaient de plus en plus et la terre devenait plus rocailleuse. Peu de temps après, il arriva en face d’un immense monolithe, debout, comme taillé par une main titanesque. Il était parcouru de signes et de runes qui semblaient rougeoyer dans ce lieu obscure. Bien qu’il ne pouvait dire pourquoi, Aekold savait que les inscriptions étaient d’une importance vitale pour lui. Il devait savoir ce qui été inscrit sur le monolithe, même si cela devait lui coûter son âme.

Mais le monolithe était gardé…

Une créature impressionnante émargea d’un tombeau primitif à coté du pilier sculpté. La terre tremblait sous ses énormes sabots fendus et ses gigantesques muscles se déformaient sous son épaisse peau. Le corps de la créature était humanoïde, massif comme celui d’un ogre et de grandes cornes ornées sa tête de bovin. Dans ses mains, le créature portait une hache qu’Aekold estimait peser aussi lourd que lui. Aekold reconnu la créature. Il l’avait déjà vu dans les grimoires des Frères : c’était un Minotaure, un gigantesque blasphème contre la nature, un croissement entre un taureau et un homme.

Malgré son apparence brutale, une lueur d’intelligence brillait dans ses yeux injectés de sang, la ruse de l’animal combiné à la raison de l’homme. En se maîtrisant pour rester calme, Aekold parla à la créature de son désir et de son intention d’étudier les gravures sur le monolithe.

En grossier et à peine compréhensible langue du Reikland, le Minotaure répondit que seul l’élu pourra trouver la voie et que tout ceux qui ne peuvent Changer doivent périr. Puis, poussant un cri de guerre, le Minotaure souleva sa gigantesque hache et chargea. Aekold abaissa sa visière et éperonna Validus au galop. Les deux guerriers s’entrechoquèrent, homme contre bête, l’un criant le cri de bataille des chevaliers impériaux, l’autre beuglant et rugissant dans la sombre langue du Chaos.

Ils attaquèrent. La lance d’Aekold transperça l’épaule droite du Minotaure, éclatant l’armure de bois sous la force de l’impact. Validus se cabra et frappa de ses sabots, puis les abattit sur le crâne du Minotaure. Mais la gigantesque hache de la créature était juste aussi grande que la lance d’Aekold, et sa frappe fut fulgurante. La bête toucha le bouclier d’Aekold, mais l’extraordinaire force du choc déchiqueta le bouclier, laissant son épaule droite engourdie.

Le Minotaure lança un nouveau coup de poing avec sa main libre, peut-être deux fois plus grande que la tête d’Aekold, et désarçonna le chevalier. Aekold s’écrasa sur le sol, l’air de ses poumons fut expulsé sous la force de l’impact.

Avec un grondement féroce, le Minotaure arracha la lance de son épaule et la l’envoya au sol. Du sang épais s’écoula de sa blessure, mais la créature sembla ne pas le remarquer. Avec ses yeux injectés de sang et une épaisse mousse cramoisi coulant de sa gueule, la créature beugla encore une fois. Les derniers vestiges de raison disparurent de son visage.

Le Minotaure se rua vers le cavalier à terre, il fit décrire un large cercle à sa hache qui fracassa une pierre où la tête d’Aekold se trouvait un battement de cœur plus tôt. La force du choc fût si intense que la lame de la hache se fendit et le manche se cassa en deux comme du bois sec. Aekold repris ses appuis et remonta vivement sur Validus. Il dégaina son épée de son fourreau attaché à la selle de son cheval. Mais le Minotaure avait été tout aussi rapide. Deux bras puissants saisirent la poitrine d’Aekold, le comprimant sous son armure qui grinçait tout en le soulevant au dessus de la tête du monstre. Bien que ses côtes menaçaient de se briser et que sa force diminuait, Aekold balança son épée vers le bas. Elle frappa la nuque du Minotaure, coupant les muscles, sectionnant les tendons et éclatant les os. Un cri de fureur et de douleur déchira l’air. Le Minotaure bascula en avant, Aekold tomba au sol à coté de lui. Le monde se brouilla et tout devint noir. Quand Aekold revint à lui, le Minotaure avait disparu...

Tout en gémissant, Aekold se releva et tituba vers le monolithe. Malgré la douleur, Aekold se devait de voir les gravures, comme si une force invisible l’y obligeait. En regardant attentivement les motifs tourbillonnants et les runes irrégulières, Aekold réalisa qu’ils formaient une image. En reculant, Aekold commença à apercevoir la forme d’un chevalier avec un bouclier sur lequel figurait un griffon galopant, exactement comme celui d’Aekold. L’ancien chevalier étudia les anciennes gravures, et bien qu’il ne fût pas un expert, il était sûr, d’après l’usure de la pierre qu’elles dataient de plusieurs siècles. Indéniablement, le chevalier gravé dans la pierre était supposé être lui. Un frison parcouru le dos d’Aekold. Il tourna le dos au monolithe.

Les jours passèrent et Aekold voyagea toujours plus loin vers le nord. C’était un endroit inapte pour un homme mortel, seul ceux qui s’étaient liés à l’ombre pouvait y voyager en sécurité. Aekold sentait encore qu’il pouvait choisir sa voie, comme si il se tenait à la frontière de la folie mais sans l’avoir encore traversé. Il savait que c’était sa dernière chance de faire demi-tour et de retourner à la civilisation. Il pouvait aller en Tilée ou au pays de la frontière des Princes et offrir ses services à une quelconque bande de mercenaires du Vieux Monde. Il était fort et rapide, compétent en tactiques et stratégies. Avec un peu de chance, il pourrait rapidement gagner gloire et fortune, et même dirigeait lui-même un groupe de mercenaires.

Pendant un long moment Aekold resta sur place avec Validus, puis, rassemblant ses esprits, il éperonna le cheval et continua sa route vers le nord et l’obscurité. C’était peut-être son imagination, mais au fur et à mesure qu’il avançait il semblait entendre un rire moqueur porté dans le vent glacé.

Les jours et les nuits perdirent leur signification. L’éternel obscurité des désolations du Chaos était uniquement éclairé par d’étranges lumières émanant au nord. A chaque fois qu’Aekold clignait des yeux, le paysage semblait avoir subtilement changé. Quand il essayait de se concentrer sur un repère, il semblait fuir de sa vision, et les choses qu’il pensait atteindre en quelques minutes s’échapper toujours plus loin quelle que soit la vitesse à laquelle Validus galopait.

L’eau n’apaisait plus sa soif. Il avait besoin de quelque chose qui ait plus de matière, quelque chose qu’il ne pouvait pas encore nommer. Jamais il ne ressentait le besoin de dormir. Il se sentait plus éveillé qu’il ne l’avait jamais été et ses sens étaient plus aiguisés que jamais. Il ne ressentait plus la faim. Il se sentait bien, fort et rapide, plus fort et plus rapide qu’il ne l’avait jamais été auparavant.

Son cheval de guerre, Validus, avait aussi changé. Ses dents s’étaient aiguisées en pointe et il n’était plus du tout effrayé quand une de ces sales créatures vivants dans ces contrées reculées approchait. Ses yeux brillaient en rouge dans l’éternel obscurité des Désolations du Chaos, et sa peau devenait plus sombre et résistante comme du cuir. Aekold remarqua que la langue de Validus était maintenant aussi rugueuse que du papier de verre et était plus longue et fourchu. Quand ils ne voyageaient plus, le coursier ne frottait plus son museau contre le visage d’Aekold mais restait silencieux et immobile.

Le vent magique des Désolations était empli de sons, d’étranges voix qui chuchotaient à Aekold ses nobles et mauvaises actions, comme pour rendre confus son esprit et même peut-être son âme. Mais une des voix était plus forte et couvrait toutes les autres :
"Soit fort" disait la voix, "Seuls les forts sont le bienvenue."

Un jour Aekold répondit à la voix sibilante qu’il était fort et qu’il ne craignait rien. En retour, il n’entendit qu’un rire moqueur. Puis la voix lui chuchota :
"Alors montre le moi, fier chevalier. Prouve-moi ton courage."

A l’horizon, une gigantesque forme apparu de l’obscurité. C’était une porte qui se dressait en haut d’un immense escalier fait de marches en suspension dans l’air. C’était un monument titanesque, peut-être érigé par les géants des temps anciens quand le monde était jeune et que les dieux du Chaos avaient commencé à prêter attention à celui-ci. Des flammes dansaient dans le ciel en formant d'indescriptibles runes, ressemblant à celles qu'il avait vues dans le temple de Sigmar, à l'abri du commun des mortels. Mais ses connaissances occultes lui permettaient de les déchiffrer. Il lut à haute voix l'inscription : "Akhso Khaos Khwearr. Khaos Limmbar Menthar !". Puis il descendit de cheval avant d'entreprendre l'ascension de l'escalier. Il monta toujours plus haut, jusqu'à ce que l'air se fasse glacial et que les nuages tourbillonnants se trouvent loin en dessous de lui. Malgré son armure lourde, il ne ressentit nulle fatigue.

En haut des escaliers, Aekold regarda autour de lui. Il était arrivé au bout de son périple. Le portail, qui reflétait les lumières dansantes des Royaumes du Chaos, était fait d'argent poli. Aekold contempla l'image qu'il lui renvoyait : un jeune templier de belle apparence, protégé par une armure resplendissante et portant une épée dont le manche se finissait par une comète à deux queues. C'était ce qu'Aekold aurait pu être, tout ce qu'il avait perdu pour l'éternité.

Soudain le reflet lui parla : "Je suis le Gardien. Je suis le défenseur de l'humanité ! Tu es une abomination !". Son double sortit du portail, l'épée dressée en signe de salut, et chargea Aekold.

L'attaque fut si rapide que ce dernier eut à peine le temps de se défendre. Ce premier coup fit comprendre à Aekold que sa vie était en jeu. Jamais auparavant il n'avait rencontré un adversaire à sa mesure dans un duel à l'épée. Mais le guerrier venu de l'autre côté du miroir était aussi fort, rapide et adroit que lui. Ils frappaient d'estoc et de taille, esquivaient et paraient, tournaient l'un autour de l'autre comme deux fauves. Quand l'un d'eux lançait une attaque rapide comme l'éclair, c'était pour être parée avec la même adresse.

Aekold réalisa soudain l'absurdité de ce combat. Pourquoi mettait-il tant d'énergie dans cette lutte alors qu'il ne lui restait plus rien à défendre ? Mais au lieu de se laisser aller, il en sourit et chargea de nouveau.

Les coups des deux hommes portèrent. La lame du templier s'enfonça profondément dans les côtes d'Aekold, alors que l'épée de celui-ci lui tranchait la tête.

Aekold tomba à genoux, alors que le cadavre, ruisselant de sang du preux templier s'écroulait. Du sang s'échappait par toutes les anfractuosités de l'armure du vainqueur. Il était mourant. Il était arrivé si près du but...Mais maintenant il pouvait mourir en paix...Non ! Il devait aller jusqu'au bout. Il rampa, agonisant, jusqu'au portail, laissant derrière lui une trainée de sang. Le portail argenté ne reflétait plus que les flammes dansantes des Désolations du Chaos.

Aekold toucha la surface du miroir. Il vit que sa propre mort l'attendait. Le monde tourbillonnait autour de lui quand il entendit de nouveau la voix.

"Un seul peut entrer ! Le chemin se trouve de l'autre côté du portail. Es-tu l'Elu ?"

Pour la dernière fois, Aekold sentit un élan de culpabilité. Pour la dernière fois, il repensa à sa vie passée. Qu'est-ce qui aurait pu le retenir ? Il ne lui restait rien qui puisse le faire revenir sur ses pas. Finalement, il pressa une nouvelle fois la surface du portail.

Il endura alors une douleur insupportable, comme si des lances chauffées à blanc le traversaient de part en part. Ce qui lui restait de raison fut submergé par un océan de douleur. Aekold hurla de détresse lorsqu'il senti des serres plus chaudes que le feu des enfers et plus froides que le vide le démembrer, séparer ses os de sa chair et déchirer jusqu'aux tréfonds de son âme. Ses sensations et ses sentiments le quittèrent.

Aekold n'existait plus. Le Champion du Chaos se dressa face au miroir afin de contempler sa nouvelle forme. L'image que lui renvoyait le miroir n'avait plus grande ressemblance avec le jeune chevalier qui avait quitté l'Empire quelques mois auparavant. Ses yeux, qui scintillaient comme des gemmes, brûlaient d'un feu intérieur. Son armure était recouverte de runes perpétuellement changeantes qui brillaient dans l'obscurité des Désolations du Chaos. Son épée irradiait une lumière bleutée et semblait gémir en changeant de forme à chaque mouvement.

Aekold se mit à rire, car maintenant il comprenait. Il leva son épée, défiant ainsi l'humanité et toutes les choses qu'il avait autrefois chéries. Son rire se transforma en un cri de haine et de vengeance.

"Je reviendrai ! dit-il, la voix sifflante de méchanceté. "Car maintenant je connais la vérité !"

Aekold le Miraculeux, tel est son nom à présent, Champion de Tzeentch, possède un don pour le moins inhabituel : le Souffle de Vie. Là où marche Aekold, l'herbe repousse et les fleurs s'épanouissent. Lorsqu'il marche dans le désert la vie renaît sur son passage. Les choses vivantes qu'il touche connaissent une nouvelle vigueur. Le bois des portes, des bancs ou des tonneaux recommence à bourgeonner. Les créatures aux portes de la mort retrouvent la santé et c'est pour cela que ce don s'appelle le Souffle de Vie. Ce pouvoir est aussi puissant qu'il est aveugle, Aekold laisse derrière lui un sillage de vie et tout ce qu'il touche est affecté.

Bien qu'insuffler la vie soit le don d'Aekold, il terrasse ses adversaires sans merci ni remords, car il sait que la vie n'est qu'une danse du changement sans fin orchestrée par Tzeentch, le Maître du Destin.

Aekold le Miraculeux - 248 points
M4 CC8 CT8 F5 E5 PV2 I8 A4 Cd10

Armes/armures : Armure du Chaos et Lamevent, une épée à deux mains.
Svg : 4+
Marque du Chaos : Marque de Tzeentch. Il peut, une fois par partie, relancer un jet de dé, et ajouter ou déduire 1 du résultat.

Objets magiques :

Le Souffle de Vie : C'est l'un des dons bizarres et mystérieux qu'offre Tzeentch à ses Champions préférés. Au début de chaque tour du Chaos, Aekold régénèrera une blessure sur 4+ sur 1D6. Il ne peut récupérer qu'un seul PV par tour sans dépasser son total initial. De plus, tout figurine au contact socle à socle (amie ou ennemie) régénèrera une blessure sur un 6 sur 1D6. Le Souffle de Vie peut ramener Aekold de la mort, mais pas les autres figurines. Une fois tué, il peut toujours guérir ses blessures et se réincarner, mais un 5+ sur 1D6 est requis pour récupérer son premier PV. Marquez l'endroit de sa mort afin qu'il puisse s'y relever une fois réincarné.

Lamevent : C'est la grande épée à deux mains d'Aekold, un don de Tzeentch, son maître. Comme toutes ses faveurs, l'arme est imprévisible et aléatoire. Lamevent est une arme à deux mains, et ajoute +2F à Aekold, mais frappe toujours en dernier. Lancez 1D6 au début de la bataille pour connaître les effets de Lamevent sur son porteur.

1-2 Lamevent permet à son porteur de marcher sur les vents de magie et de se déplacer à une vitesse ahurissante. Aekold peut voler.

3-4 Lamevent devient aussi légère qu'une plume entre les mains de son porteur tout en gardant sa puissance. Lamevent frappe toujours en premier au corps à corps, sans tenir compte des initiatives ou des charges. Si l'adversaire bénéficie aussi de cet effet, lancez un dé pour déterminer qui sera le plus rapide.

5-6 Lamevent tourbillonne et bondit des mains de son porteur, frappant ses ennemis à distance avant de revenir vers lui. Aekold peut lancer Lamevent une fois par phase de tir sur toute cible située à 12ps maximum dans sa ligne de vue. Utilisez la CT d'Aekold pour savoir si la cible est touchée ou non. Si l'unité est touchée, elle subit 1D6 touches de F5.

Il ne doit pas bien s'entendre avec le Moissonneur Pourissant, s'il ramène tout le monde à la vie.

En effet, ils ont des convictions contradictoires .

Le Chaos quand ils ne sont pas en guerre contre ces misérables homme du sud , se tape sur la tronche !! quand ils partent en guerre contre l'empire ils sont tous unis ,, c'est beau à voir suffit de voir le trailer de warhammer online

Personne n'a de biographie à poster ?...
C'est quand même pas Tz'arkan et moi qui vont toutes les faire, namého .