La prophétie

Tu veux de l'aide pour faire quoi ?

J'ai le début, presque finie. On peut encore fignoler tout ça, bien sur.

« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. »
Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine. Le décor est planté.

Quand la horde parvint aux portes de Karak Drazak, ils furent le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables. Et la marée déferlante se brisa.
Les Peaux-Vertes étaient vaincues, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus vieux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.


Toujours personne pour m'aider ?


J'ai acheté Heldenhammer, ça pourrait m'aider. Je vais le parcourir ce soir pour chercher un peu les noms des compagnons de Sigmar, et peut-être faire de l'un d'eux mon ancêtre.
Je vais prendre celui dont le nom sonne le mieux derrière Backe.
Et ça me permettra de donner un titre à ma présentation. Un titre de chapitre : Le Dernier des "...."

Et voilà ! Ou presque.

« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine. Le décor est planté.

Quand la horde parvint aux portes de Karak Drazak, ils furent le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à cette fureur nommée Peau-Vertes. Ils combattirent et tombèrent, tels de puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Les Peaux-Vertes étaient vaincus, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Car c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.

C’est au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons que se joue le dernier acte.

La tempête faisait rage, apocalyptique. Une tempête de la fin des temps qui engloutirait le monde dans ses déchaînements effroyables, mais seulement pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein.
Leiden et le Démon. [Manque quelque chose ici. ]

Le fils tomba et le père combattit seul. La puissance maligne de l’Immaterium s’immisça au plus profond de son âme et il fut changé à jamais.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Captif et fou de rage, il lui fallait un hôte.
Le père fut condamné, mais il refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »

C'est bien.

Mais je crois que l'immaterium c'est plutôt dans 40k le terme n'est pas utilisé dans battle.

Je savais pas. Je pourrais mettre quoi à la place ? Je suis un peu vidé.

Je ne sais pas vraiment. La puissance maligne tout court ça va.

Voilà la version presque-finale ! J'avais oublié d'intégrer Morrslieb. Et il me manque toujours un bout de phrase de liaison.


« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine.
Le décor est planté.

Quand la horde parvint aux portes de Karak Drazak, ils furent le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à la fureur nommée Peau-Vertes. Ils combattirent et tombèrent, tels de puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Les Peaux-Vertes étaient vaincus, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Car c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.

C’est au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons qu'ils trouvèrent leur destin.

La tempête faisait rage, apocalyptique. Une tempête de la fin des temps qui engloutirait le monde dans ses déchaînements effroyables, mais seulement pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein.
Leiden et le Démon.

Le fils tomba et le père combattit seul. La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Captif et fou de rage, il lui fallait un hôte.
Le père fut condamné, mais il refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations. La tempête mourut avec lui, et ils expirèrent ensemble, sa dernière plainte emportée par les vents. Le ciel résonna de ses lamentations pendant des jours, jusqu’à ce que de plus grands malheurs encore étouffent sa peine. Un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée. Une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. Elle paraissait si fragile, si faible, perdue dans ces domaines hostiles. Et pourtant, un mal infini en suintait, un mal terriblement ancien qui gangrenait le sol et corrompait l’air.
La nuit résonnait de paroles répétées, parfois murmures de désespoir, parfois hurlement effrayants, et Morrslieb en était le témoin.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »


Je vais intégrer Morrslieb dans ma présentation, et ce serait bien que tu le fasses aussi. Ce serait le lien entre nous, en quelque sorte, et ça permetterait d'expliquer comment tu me retrouves.

J'ai essayé de remanier pour faire plus "antique légende" et "grimoire ancien".

« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine.

Quand la horde parvint aux portes de la cité, ils en étaient le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à la fureur nommée Peau-Vertes, tels les puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Vaincus étaient les Peaux-Vertes, et sauvée la cité. Deux armes furent offertes. Pour les remercier de leur bravoure, d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes, une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Mais c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.

Au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons, ils trouvèrent leur destin.

La tempête faisait rage, signe apocalyptique dela fureur divine, tempête de fin des temps qui menaçait d'engloutir le monde dans ses déchaînements effroyables, et pourtant seulement pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein.
Leiden et le Démon.

Le fils tomba, le père combattit seul. La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Captif et fou de rage, il lui fallait un hôte.
Le père fut condamné, mais refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations. La tempête mourut avec lui, et ils expirèrent ensemble, sa dernière plainte emportée par les vents. Le ciel résonna de ses lamentations pendant des jours, jusqu’à ce que de plus grands malheurs encore étouffent sa peine. Un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée. Une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. Elle paraissait si fragile, si faible, perdue dans ces domaines hostiles. Et pourtant, un mal infini en suintait, un mal terriblement ancien qui gangrenait le sol et corrompait l’air.
La nuit résonnait de paroles répétées, parfois murmures de désespoir, parfois hurlement effrayants, et Morrslieb en était le témoin.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »

Je n'ai pas modifié la seconde moitié, je t'en laisse le soin.

Mais le texte y perd légèrement en précision.

Je trouve le nom du démon ridicule.

Cetains de tes passages sont mieux, mais il y en a d'autres pour lesquels je préfère ma version.

ça, par exemple, c'est mieux:

"La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu."
"ils trouvèrent leur destin."

Mais je préfère ma version pour ces passages :

"tels de puissants dieux de jadis."
"Les Peaux-Vertes étaient vaincus, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils."


Hum. Ma version sonne plus "orale", la tienne plus "écrite". Moi, je voyais ça comme raconté par un vieux prophète mystique décharné et crasseux, un corbeau sur l'épaule, un oeil en moins et des feuilles mortes dans la barbe.

Dilemne.

Pour le nom du démon, on a :
Bahk'ghuranhi'aghkami
Rhug'guari'ihlulan
G'Garulhlilulrhan
Aghkam'ghran'ngi

Même. Ton texte fait trop "moderne" par ses tournures de phrase.

Et puis, rien que "Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine." fait très "écrit", plus qu'"oral".

A deux, on devrait réussir à obtenir un réslutat potable.

« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine.

Quand la horde parvint aux portes de la cité, ils en étaient le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à la fureur nommée Peau-Vertes, tels de puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Vaincus étaient les Peaux-Vertes, et sauvée la cité. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Mais c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.

Au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons, ils trouvèrent leur destin.

La tempête faisait rage, signe apocalyptique dela fureur divine, tempête de fin des temps qui menaçait d'engloutir le monde dans ses déchaînements effroyables, et pourtant elle était seulement le pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein. Leiden et le Démon.

Le fils tomba, le père combattit seul. La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Rendu fou par la captivité, il réclamait un hôte.
Le père fut condamné, mais il refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations. La tempête mourut avec lui, et ils expirèrent ensemble, sa dernière plainte emportée par les vents. Le ciel résonna de ses lamentations pendant des jours, jusqu’à ce que de plus grands malheurs encore étouffent sa peine.
Sous un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée, une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. Elle paraissait si fragile, si faible, perdue dans ces domaines hostiles. Et pourtant, un mal infini en suintait, un mal terriblement ancien qui gangrenait le sol et corrompait l’air.
La nuit résonnait de paroles répétées, tantôt murmures de désespoir, tantôt hurlement effrayants, et Morrslieb en était le seul témoin.
« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »

Le vieil ermite pourrait être un type sympathique, d'où les tournures modernes.

T'aime pas "Le décor est planté" ? C'est parce que c'est du plagiat ou que c'est trop moderne ?


Le début est comme il est parce que c'est la seule façon que j'ai trouvée de présenter ça.

"Sous un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée, une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. "
C'est quand même très long.

"il réclamait un hôte."
C'est le mot que je cherchais, on garde.
"tantôt" aussi, c'est mieux.
Le "seul" de "le seul témoin", je ne le trouve pas indispensable.


Et pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas être oral, mais un peu dans le même genre que le début du trailer de WAR ? J'ai lu ça avec la voix féminine, et ça rend pas mal.

Bien sur, il y a toujours les deux premiers paragraphes qui tranchent un peu, parce que je ne les imagine qu'écrits.
(« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine.)

Je viens d'avoir l'idée qu'on pourrait en faire une vidéo.
Le premier paragraphe s'écrirait au fur et à mesure, et puis une voix lirait le texte qui suit. Avec l'intonation, ça pourrait être pas mal.
Je n'ai pas de micro, je ne pourrais pas.

Moi non plus, je ne pourrai pas.

En plus, j'ai moins la voix d'un vieil ermite que celle d'un très jeune elfe.

"Le décor est planté" est une allusion directe au théâtre. Mais il faut savoir qu'à l'époque le théâtre n'était guère répandu. Au Moyen-Âge, on jouiat surtout des saynettes à thème religieux. L'âge d'or du théâtre se situerait plutôt au XVII-XVIII° siècles. Tu fais donc un monstrueux anachronisme (sachant que le théâtre antique n'était pas joué à l'époque).

"Sous un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée, une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. "
Je vais raccourcir. A coup de kikoup.
Attention aux éclaboussures sanglantes.

==>Sous un ciel d'un noir d'encre où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée, une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent que la lune maléfique braquait sur elle.

Le "sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. " me dérangeait.

On pouvait comprendre que ce n'était pas la lune qui le regardait ?

Ah, et il faut absolument que le ciel soit "sans nuages ni étoiles".

"j'ai moins la voix d'un vieil ermite que celle d'un très jeune elfe. "
Je n'aurais jamais cru sa seigneurie capable de tant d'auto-dérision.

" il faut savoir qu'à l'époque le théâtre n'était guère répandu"
Il faut savoir que nous ne sommes pas à l'époque.

http://www.bibliothequeinterdite.fr/index.php?page=drachenfels
http://www.bibliothequeinterdite.fr/index.php?page=genevieve
Il y avait bien du théâtre.

Mais je ne pense pas que ça ait vraiment de l'importance.

Tous les tomes de l'Hérésie d'Horus commencent par une présentation du pas beau, qui finit par "Le décor est planté". Ce n'est pas du théâtre, et ça m'excite.

Et pour pousser le plagiat encore plus loin, ce serait peut-être mieux si ce décor planté était détaché du reste, par un saut de ligne ou carrément de paragraphe. Et centré.

Et si les autres donnaient leur avis ?

Les autres sont en vacances.

Je reste campé sur ma position, je trouve ça trop moderne.

"sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent braqué sur elle. "
Ca fait beaucoup trop d'adjectifs qui se suivent sans "pause".

Ah oui, d'accord.

Je vois qu'on en a pas fini.

"« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense. » Khak'akaoz'khysk'akami

Une ère révolue, un héros damné. Un démon innommable, une prophétie perdue. Une antique cité au bord de la ruine.
Le décor est planté."
ça pourrait être une en-tête. En italique, séparée du texte.

Ou alors, l'en-tête pourrait être la citation du démon, et les trois lignes de présentation pourraient être le sous-titre, ou l'en-tête, de la première partie "Les Egarés" (si vous êtes toujours d'accord, bien que je ne me souvienne pas que vous l'ayez été, à moins que ce ne soit encore une de tes façons tordues et improbables d'exprimer ton accord. ).

Ou alors, on pourrait enlever la première citation. Et les trois lignes de présentation seraient alors l'en-tête du premier chapitre.

Ou alors ça aurait sa place avant la première partie.

Je préfèrerais le mettre en dessous du titre de la première partie.

Les trois premières lignes son superflues si on met les trois dernières lignes (puisqu'elles répètent la même chose). Et puis, il ne faut pas oublier que toute l'histoire n'est pas non plus centrée sur cette prophétie, puisqu'elle ne concerne que deux personnages. Sinon, les elfes risquent de devenir des personnages secondaires (et mon syndicat risque de ne pas aimer ).

Cette intro-prophétie serait l'introduction de la partie "Humains", et il faut que je trouve quelque chose pour la partie "Elfes". A fait, Nainconnu a de nouveau disparu ou quoi ? Puisqu'il faudrait qu'il fasse une partie "Nain(s)".
Mais s'il est tout seul, le récit sera déséquilibré. Il faut trouver une solution. Un deuxième Nain ? Ecrit par Nainconnu, quelqu'un qui a du temps, le groupe entier ?

Le roman serait construit ainsi :
I- Les Egarés
-Humain1
-Elfe1
-Nain1
-Humain2
-Elfe2
-Nain2

ou

-Humains 1,2
-Elfes 1,2
-Nains 1,2


Si Nainconnu ne fait pas sa réapparition et qu'on ne trouve aucune solution, on va peut-être être contraints d'abandonner son personnage, mais ce serait vraiment notre dernière extrémité, car ce serait particulièrement dommage. Et puis, le jour où il ferait son retour, on serait bien emm*rdés.

Donc on enlève la citation. Mais on garde le décor planté.

"les elfes risquent de devenir des personnages secondaires"
Ta présentation est beaucou plus longue que la mienne, ça contre-balance un peu. Quant à Arsuynar, il va le devenir s'il garde cette fréquence de connexion étourdissante. M'enfin, ça peut se comprendre, il n'a pas accès à Internet en semaine, on le pardonnera.

"Mais s'il est tout seul, le récit sera déséquilibré. "
Parce que selon toi, un Nain ne vaut pas deux elfes ?
Le groupe se divise plus en deux parties qu'en trois. Moi et le Nain d'un côté, vous deux de l'autre. Je vois le Nain et Arsuynar comme les extrêmes, et toi et moi comme les centres, pour une vision plus triviale.

Si un deuxième Nain fait son apparition, Backe sera vraiment trop isolé. Entre le khazalid et l'eltharin, il aura un peu de mal.



Ou alors, la première partie Les Egarés pourrait ne concerner que moi et Ligthis. Avec nos présentations respectives, on a de quoi la remplir.
Mais alors, exit l'alternance.

Ton idée me convient, mais il me reste à trouver un autre titre que Humains pour la première sous-partie.
Peut-être la citation, si je ne trouve rien. Et donc, l'ère révolue... Le décor est ploanté" serait la présentation de cette sous-partie, qui s'arrêterait quand Backe sort de la taverne. Je vais voir si je peux parler un peu plus de son passé de paria, avec quelques évasions. J'ai quatre heures de TP pour y réfléchir.

Et la partie Elfes qui viendrait juste après s'achèverait sur ta rencontre avec Arsuynar. Et ça pourrait aussi être la fin des Egarés.

La seconde partie débuterait avec notre traque de l'hérétique et notre rencontre.

Ou alors, la rencontre avec Arsuynar pourrait avoir sa place dans la deuxième partie, la première s'achevant sur ta condamnation.

Puisqu'on se retrouve, on n'est plus égarés. Enfin, "retrouve", pas vraiment.


Je dois y aller.

Les Egarés nous concerne tous puisque nous en sommes tous.

"Mais on garde le décor planté." Non.

Le problème de la prophétie qui lie Lightis et toi, c'est que ça fait déjà deux personnages. Plus le nain, ça fait trois.

Il faudrait alors que je fasse toute une partie sur mon frère. D'où une symétrie parfaite.
D'un côté, je cherche à mevenger de mon frère, et Arsuynar à "casser de l'elfnouar" .
De l'autre, tu vas affronter le porteur de la hache, et le nain va se venger (de quoi ? Tant que Nainconnu n'est pas revenu, on est bloqués sur ce point).

Je vois ça comme la meilleure solution, mais ça me donne un surplus de travail (RPx2 + I°S = beaucoup de boulot ).

"Non."
Cette introduction m'appartient.

Le Nain veut se venger de Nurgle. Et il suit l'épée.

Donc, une sous partie Humains qui commence avec la prophétie et finit sur ce qu'il y aura après mon fulgurant coup de talon.

Une sous-partie Elfes qui s'achève sur ta condamnation ?

Et la fin des Egarés. Maintenant, il faut un nom pour la deuxième partie.

Non, il faut que je rencontre Arsuynar. Je vais donc réduire au strict nécessaire ma condamnation puis je m'attellerai à la partie d'Arsuynar pour le faire un peu avancer.

"Cette introduction m'appartient."
Ca fait trop théâtre moderne et ça casse tout. Et puis le plagiat c'est mal, m'voyez.

Deuxième Partie :
Notre rencontre, la formation du groupe. Quelque chose comme les Rejetés. Pour montrer que nous sommes au ban de la société, ce qui colle assez bien avec ton désir d'une bande de parias.

Les Rejetés, c'est un peu trop cru à mon goût.

En ce qui concerne Arsuynar, je viens de me rappeler qu'il fallait que je change une partie un peu ratée. J'avais eu une idée pour ça, mais c'était il y a longtemps.

Donc n'hésite pas.

"le plagiat c'est mal, m'voyez"
Quand on a pas de talent, on va le chercher ailleurs. Je n'y vois aucune problème.

Cette décision devrait être prise par moi et Lightis, c'est nous que ça concerne.
Enfin, c'est nous qui sommes le plus concernés.

Je ne trouve pas que ça fasse tant que ça "théâtre moderne". L'Hérésie ne fait pas du tout "théâtre moderne".
Bien que ce soit un peu plus moderne, c'est vrai. Mais en parlant de modernité, la présentation de la prophétie ne doit pas forcément faire "grimoire ancien".
Puisque la prophétie en elle-même se résume à "Son sang sera bu, sa chair dévorée. L'immortalité sera ta récompense."

Et pourquoi pas nous avancer encore plus. Le Repaire serait-il intégré à la deuxième partie ou serait une partie à lui seul ?

Les Rejetés, c'est très bien.

"Quand on a pas de talent, on va le chercher ailleurs."
Quand on n'a pas de talent, on n'écrit pas.

Tu devrais plutôt mettre une formule du genre "C'est ici que se jouèrent leurs vies", ou "C'est ici qu'ils furent rattrappés par leur destinée", voire "Ici leurs souffrances commencèrent.

"Et pourquoi pas nous avancer encore plus. Le Repaire serait-il intégré à la deuxième partie ou serait une partie à lui seul ?"
2° partie. Puisqu'il suit notre rencontre. Mais il faut changer l'arrivée d'Arsuynar qui est illogique et absurde.

Son arrivée a été expliquée par l'odorat du monstre poilu. Je te vois venir, ce n'est pas le Nain.
Le chat aurait senti une oderu familière, une "odeur de chochotte" selon ses termes.

Le Repaire ne suit pas vraiment notre rencontre.
Enfin, si, il suit ta rencontre avec le Nain et notre deuxième rencontre. J'aurais pensé à une partie par aventure.

Les Rejetés, c'est un peu dégradant.
Pourquoi pas simplement Paria
Impressionnant.

"C'est ici que se jouèrent leurs vies"
ça se répète un peu avec "ils trouvèrent leur destin".

Et ce sera détaché du texte.

"Son arrivée a été expliquée par l'odorat du monstre poilu. Je te vois venir, ce n'est pas le Nain."
Ce qui n'explique pas comment il s'est retrouvé au fin fond du repaire des hérétiques.