La prophétie

Si, ça l'explique.

Il a senti ton odeur, et l'a suivie. Bien sur, c'est un peu capillo-tracté.

Commment a-t'il pu se retouver des centaines de mètre sous terre en venant après nous, et en se retrouvant devant ? Ca ne colle pas.

Il n'est pas forcément devant. Il est entré de la même façon que nous, et a suivi nos traces. Mais comme le complexe est complexe, il s'est un peu perdu. Et surtout, il suivait ta trace à toi, pas la notre. Et peut-être a-t-il eu la chance de ne croiser quasiment personne.

Enfin, je suis d'accord pourd dire qu'il faut autre chose.

Il faudra de toute façon réécrire tout le Repaire, puisqu'il ressemble pour l'instant à un fatras de gloubi-goulbas démolécularisés écrits pa cinq auteurs diffférents et qui n'avaient pas l'air de s'être contactés.

Et puis, je ne porterai plus mon armure elfique. Je suis obligé de la vendre.

Excellente idée ! Reste plus qu'à réfléchir encore pendant des heures à un plan aussi élaboré que le précédent pour couper ces chaînes.

Je le trouve pas mal, le Repaire.
C'est seulement le tout début, dans la taverne qui n'allait pas.

Le problème, c'est qu'on n'a pas réellement réfléchi avant d'écrire. On a commencé à raconter des bêtises parce que ça nous amusait, puis on a continué sans donner une cohésion à l'ensemble et sans plan détaillé. Maintenant, on part sur des bases solides. Et il faut donc réadapter ces passages aux nouveaux éléments, comme la prophétie, etc.

Sans oublier ton ignoble plagiat.

Je continue à ne voir aucun problème dans les textes du Repaire. Fais nous une liste ?

- Texte trop "haché"
- Arrivée d'Arsuynar qui ne colle pas
- Relations entre les personnages (elles ont évolué puisque maintenant je suis censé te connaître depuis longtemps)
- etc.
- etc.
- Plus quelques morceaux pas top

Haché ? les passages d'une partie à l'autre du groupe, de ta captivité à nos combats ?

L'arrivée rocambolesque de l'amuseur de foules, oui, c'est too much non-collé.

Quant aux relations entre personnages, entre toi et moi pour reprendre ton exemple, elles sont quasi inexistantes dans le Repaire. Et ça ne pourrait en être autrement.
Certaines de mes répliques sont à changer, pour coller plus à mon "nouveau" caractère, et à mon passé. J'en ai déjà modifier certaines, d'ailleurs.

"Répurgateur, le plus proche de la porte, tenta de l'ouvrir à coup d'épaule, sans succès.
"-Génial. Merci les gars. Qui a eu l'idée d’entrer là-dedans ? "

Et le tout premier passage, celui ou je défonce la porte sous ton regard affligé, qui a été écrit au présent passe mal au passé.


J'ai une idée ! Pour modifier ou peut-être remplacer une partie, ou simplement pour après. Et surtout pour vous parler un peu de mon passé.
N'importe lequel d'entre vous trois nous parle de gloire, et s'ensuit une conversation enflammée, ou pas. Ou alors, au milieu d'une discussion sur la nécessité de n'importe quoi, notre descente dans les tréfonds du Repaire, ou autre chose. Bref, quelqu'un parle de gloire. Et je casse l'ambiance en lançant quelque chose du genre "C'est la gloire qui a tué mon père".

Tu crois qu'on a envie de parler de gloire dans un tunnel puant plein de mouches mutantes et d'hérétiques ?

"Haché ? les passages d'une partie à l'autre du groupe, de ta captivité à nos combats ?"
Non, entre les différents auteurs. Le style n'est pas uniforme.

Très grossièrement, je voyais ça comme ça :
"- Pourquoi on est là ?
- Pour la gloire
- C'est la gloire qui a tué mon père"


C'est inévitable, les différences de style.

Il faudrait tout réécrire ensemble, au lieu de joindre ce que chacun avait fait de son côté.

Tout réécrire ?

Je ne comprend pas

Ecrire ensemble. Comment ?

Comme pour la prophétie. On s'est (plus ou moins) concertés pour l'écrire. Chacun doit intervenir pour arriver au meilleur résultat possible.

Bien ce que je pensais. Eh bien, on peut s'y mettre.

Demain après-midi, normalement je pourrais.

Je t'attendrai !

Comme c'est beau ce que tu dis !

C'est malveillant.

Oh non !

Whisky ? Oh, juste un doigt !

Sans façon.

Tu étais censé me demandé si je préfèrerais pas un whisky d'abord.

Où ils sont perdus...

I
Fils du Vieux Monde

I
Gloire

Quand la horde parvint aux portes de Karak Drazak, ils furent le dernier rempart. Vague après vague, ils combattirent et tombèrent, inébranlables face aux flots de violence et de haine, seuls face à la fureur nommée Peau-Vertes. Ils combattirent et tombèrent, tels de puissants dieux de jadis.
Et la marée déferlante se brisa.
Les Peaux-Vertes étaient vaincus, et la cité sauvée. Deux armes leur furent offertes pour les remercier de leur bravoure. Deux armes d’une puissance inimaginable, forgées par les plus talentueux Maîtres des Runes. Une épée pour le père, une hache pour le fils.
Ils s’appelaient Leiden, et leur soif de gloire n’avait pas de répit. Car c’est la gloire qui devait causer leur perte. La gloire qui devait les damner à jamais.

Au cœur des domaines du Chaos, où se déchaînent les sombres puissances des Dieux Noirs et des démons, ils trouvèrent leur destin.

La tempête faisait rage, apocalyptique. Une tempête de la fin des temps qui engloutirait le monde dans ses déchaînements effroyables, mais seulement pâle reflet du combat qui se déroulait en son sein.
Leiden et le Démon.

Le fils tomba, le père combattit seul. La puissance maligne s’immisça dans les tréfonds de son âme et il fut perdu.
Le démon fut vaincu, le cou tranché par la lame. Mais les Dieux Sombres en avaient décidé autrement. Son essence, prisonnière de la tempête et consumée par la haine ne fut pas bannie. Rendu fou par la captivité, il réclamait un hôte.
Le père fut condamné, mais il refusa la possession démoniaque. Ce ne fut pas son cœur que la lame perça, et ce ne fut pas son cri qui éclata et retentit dans les Désolations. La tempête mourut avec lui, et ils expirèrent ensemble, sa dernière plainte emportée par les vents. Le ciel résonna de ses lamentations pendant des jours, jusqu’à ce que de plus grands malheurs encore étouffent sa peine.
Un ciel du noir le plus profond, sans nuages ni étoiles, où Morrslieb régnait en maîtresse, seule, impitoyable et glacée. Une hache luisait d’un éclat venimeux, sa surface torturée ondoyant sous le regard phosphorescent que la lune braquait sur elle. Elle paraissait si fragile, si faible, perdue dans ces domaines hostiles. Et pourtant, un mal infini en suintait, un mal terriblement ancien qui gangrenait le sol et corrompait l’air.
La nuit résonnait de paroles répétées, tantôt murmures de désespoir, tantôt hurlement effrayants, et Morrslieb en était le témoin.

« Son sang sera bu et sa chair dévorée. L’immortalité sera ta récompense…. »




"L'Âge des Hommes", je reconnais que c'est un peu facile.
Mais c'est juste histoire de mettre un titre à la sous-partie humaine, à moins que ça ne vous plaise.

Le faible choix de taille et de police est un peu gênant.

Et il faudra choisir entre "Chapitre Premier", "première Partie", "Partie I", ou tout simplement "I", etc.
L'air de rien, c'est important.

En ce qui concerne le nom du premier chapitre, pn pourrait appeler le deuxième, celui qui concernera Khârne "Sang". Et il pourrait finir soit avant le pillage, soit après. Le pillage aurait plus sa place dans "Sang" que dans "Immortalité", mon idée de nom pour le troisième chapitre. Quoique, il a sa place dans les deux. Et puis surtout, "Immortalité" serait un peu court, avec seulement le rituel.

Et puis pourquoi pas, des sous-chapitres.
Du style "Parricide".

Ce serait bien, si, à moins que tu n'aies une autre idée, le premier chapitre de la partie elfe, le discours, aurait pour titre "Gloire", lui aussi. "Sang", ça pourrait coller avec le deuxième, avec la guerre, les meurtres, etc. Immortalité colle moins mais c'est pas grave.

Et dernière chose, "Le décor est planté".
Ce n'est plus intégré au texte, et ça continue de m'exciter. Mais il est presque indispensable, à mon avis, que la partie elfe l'intègre aussi. Sinon, ça fait bizarre. Ou juste moins bien.
Alors si vraiment tu ne veux pas (et tu n'as aucune raison de ne pas vouloir ), on l'enlève.

Ou alors, peut-être d'autres propositions d'arrangement et de titres.

Pas "Le décor est planté".
Faut trouver autre chose.

Comme
"Ici se joua le drame", pour rester dans le théâtre.

ça alors, j'ai édité tout ce temps là.

Eh bien, ça doit être assez différent de ce que tu as lu.
Donc je ne sais pas si "Le décor est planté" est toujours au même endroit. Je vais attendre.