La seconde prophétie

Non. Un lion.

Du rat frit ? De la gelée d'elfe noir !

Un daim, ou quelque chose comme ça.

Après tout ce temps, je doute qu'un seul daim suffise.

Plusieurs, alors, mais pas en une seule fois. Je n'ai pas un estomac extensible.

Mais il meurt de faim.

Monstre de cruauté.

Non, je ne meurs pas de faim. Sinon, je ne serais plus là pour en parler.

Et voilà qu'on en a besoin.



Il fut un temps où le frère combattait le frère, où le fils tuait le père, un temps de traîtrise et de meurtres, resté dans nos mémoires sous le nom de Déchirure. Ces temps sont loin désormais, mais la trace en est encore présente aujourd'hui parmi nous. A l'Ouest, dans les Terres Glacées de Naggaroth, les Druchii se préparent une fois de plus à éprouver notre résistance et notre courage. Nous ne permettrons pas que nos terres soient souillées une nouvelle fois par leur présence. Mais le mal n'a pas disparu de nos coeurs, et la tragédie qui toucha notre peuple pourrait bien se répéter.
Nous avons été maudits et promis à toutes les atrocités pour n'avoir su nous garder du pouvoir corrupteur du Chaos, et nous en payons encore le prix chaque fois qu'un des nôtres tombe sur le sol déchiré par la lame noire d'un Draïch. Nous devons prendre garde, car bientôt le Chaos se réveillera et nous pleurerons une nouvelle fois de n'avoir pas été assez vigilants. Mais nous resterons droits et fiers dans la lumière comme dans l'ombre, même si les ténèbres du Chaos nous enveloppent de leur noirceur. Aussi, gardez espoir, mes frères, car les dieux veillent sur nous.
« Roi Phénix Finubar le Voyageur »




Comme ça ?

C'est le contraire : la citation est entre guillements, pas celui qui la prononce.

Je n'ai fait que te copier et te coller.




Pas moyen de coller un "Le décor est planté" en dessous des Fils d'Ulthuan ?

NON !!!!


Hum hum. Je voulais dire *ton fleuri et posé* non. *ton fleuri et posé off*

Désolé, je ne comprend pas.

Nein. Nada. Niet. No. Va t'faire fout'. Ne.

Tu m'inquiètes...

Frétillant.

C'est toi qui m'inquiètes.

Secondes prophétie, seconde partie, ça se rejoint.

Pour en-tête de la seconde partie, j'ai trouvé : "Puisqu'il n'y a qu'au combat qu'on est libre"

Nain ?

Quoi, Nain ?
'N'a rien à voir dans l'histoire, le nain.

Nain : Nain + hein.

C'est moi ou tu esquives ?

C'est toi.

Non, c'est toi.

C'est toi qu'as commencé, d'abord.

Je n'ai pas esquivé une seule fois.

C'était une esquive.

N'ayant rien à esquiver, je ne peux décemment pas le faire. Toi, par contre...

Je n'ai rien non plus à esquiver.
Ne tente pas de changer de sujet, esquiveur !