Arduilanar, seigneur de Caledor

Si je ne tombe pas malade après avoir mangé.

Il n'était pas prévu que tu accepterais.

Je pensais plutôt à une autre preuve de ta hautaineté.

Très bien, si tu veux.

Tu l'écriras ?

"J'ignorais que cette chose que vous appelez nourriture se mangeait. Cela me touche beaucoup, mais je n'ai pas vraiment faim, mon dernier repas remonte à moins d'une semaine."

-Vache ! Une semaine ! Ah, j'comprend mieux. Si je souffle, vous volez ?

Au regret de t'apprendre que tu devras continuer ça sans moi. Je meurs.

-Non. Je ne vole que monté sur un dragon.

Que d'arrogance.

Il commence à être long, ce dialogue. C'est un constat, ça ne me gêne pas, moi. Surtout qu'il est très important.

-Allons, ne vous inquiétez pas, je plaisantais. Je ne soufflerai pas, promis.

Bien sûr qu'il est important, puisque j'en fais partie.

-Croyez que j'apprécie votre magnanime grandeur.

Pas autant que parce que moi j'en fais partie.

-Croyez que j'apprécie votre chevaleresque condescendance.


Et pourquoi ne pas être très clair avec moi ? Pourquoi pas un "TA GUEULE" ?

Ou peut-être que je ne suis pas encore assez exaspérant.

"Pourquoi pas un "TA GUEULE" ? "
Parce que ces mots ne font pas partie de mon vocabulaire.

Ou assimilable, dans un cas tel que celui-ci.

"Vous ne vous taisez jamais ?"
"Et si vous vous taisiez une bonne fois pour toutes ?"

Deux exemples, deux !

Et le contexte, tu étais censé avoir une idée précise.

"Et le contexte, tu étais censé avoir une idée précise. "
Je n'étais rien censé du tout.

"Je crève de faim. Vous en voulez un peu ? Je me sens généreux, je ne vous le compterai pas dans la dette que vous me devez."

"Je n'étais rien censé du tout."
Ah, si !

Eh bien, cherchons.

""Je crève de faim. Vous en voulez un peu ? Je me sens généreux, je ne vous le compterai pas dans la dette que vous me devez.""
C'est censé être de moi, non ? Il faudrait un petit récapitulatif. Bientôt.

Bien sûr que c'est de toi. Tu m'imagines parler comme ça ?

Je récapitule !

Je n'attends que ça.

"-Vous, mettez-vous là. Pas un mot. Et ne me touchez pas avec vos sales pattes.
- Pardonnez mon ignorance, mais... Sans indiscrétion, vous... vous êtes quoi ? Un genre d'animal ? Un genre de... de ?
- Un genre d'elfe, peut-être ? Et vous, qu'êtes-vous ? A première vue, j'aurais penché pour une sorte de singe primitif, mais apparemment vous ne valez pas tant...
- Un elfe ? Jamais entendu parler. C'est sans doute là l'origine de ces disgracieuses oreilles. Vous avez raison, je ne suis pas un singe. Enfin, je ne le crois pas, et vous avez l'air d'être d'accord. Mais... pourquoi toujours être tout de suite dans le jugement ? Et il ne me semble pas vous avoir remercié.
- Je ne sais pas si vos remerciements peuvent m'importer d'aucune manière. Mais s'il n'y a que ça pour vous faire plasir, alors faites-donc.
- Je perçois une pointe d'ironie... Ma question était tout à fait innocente et n'avait de but provocateur que celui qu'il semble que vous lui ayez donnée. Je m'appele Backe. Et j'ai très soif. Je peux vous appeler l'elfe ?
- Non. Et puis quoi encore ? Appelez moi maître. Ou seigneur. Allez, je plaisante. Appelez-moi Arduilanar.
- De l'humour elfe ? Si c'est le cas, vous m'excuserez, mais je n'ai pas compris. Je crève de faim. Vous en voulez un peu ? Je me sens généreux, je ne vous en tiendrai pas rigueur. Non, ne vous évanouissez pas, c'est tout naturel.
- J'ignorais que cette chose que vous appelez nourriture se mangeait. Cela me touche beaucoup, mais je n'ai pas vraiment faim, mon dernier repas remonte à moins d'une semaine."
- Vache ! Une semaine ! Ah, j'comprend mieux. Si je souffle, vous volez ?
- Non. Je ne vole que monté sur un dragon.
- Allons, ne vous inquiétez pas, je plaisantais. Je ne soufflerai pas, promis.
- Croyez que j'apprécie votre magnanime grandeur.
- Croyez que j'apprécie votre chevaleresque condescendance.

[...]

- En espérant que ce jour reste gravé à jamais dans la roche de votre mémoire, et que vous n'oubliiez pas de me rendre la pareille à l'occasion !"

Une légère incohérence avec "cette chose que vous appelez nourriture", étant donné que je n'appelle rien nourriture. Quej e suis tatillon !

Tu remarqueras alors quelques fautes de frappe.

"-Vous, mettez-vous là. Pas un mot. Et ne me touchez pas avec vos sales pattes mal lavées.
- Pardonnez mon ignorance, mais... Sans indiscrétion, vous... vous êtes quoi ? Un genre d'animal ? Un genre de... de ?
- Un genre d'elfe, sans doute ? Et vous, qu'êtes-vous ? A première vue, j'aurais penché pour une sorte de singe primitif, mais apparemment vous ne valez pas tant...
- Un elfe ? Jamais entendu parler. C'est sans doute là l'origine de ces disgracieuses oreilles. Vous avez raison, je ne suis pas un singe. Enfin, je ne le crois pas, et vous avez l'air d'être d'accord. Mais... pourquoi toujours être tout de suite dans le jugement ? Et il ne me semble pas vous avoir remercié.
- Je ne sais pas si vos remerciements peuvent m'importer d'aucune manière. Mais s'il n'y a que ça pour vous faire plaisir, alors faites-donc.
- Je perçois une pointe d'ironie... Ma question était tout à fait innocente et n'avait de but provocateur que celui qu'il semble que vous lui ayez donnée. Je m'appele Backe. Et j'ai très soif. Je peux vous appeler l'elfe ?
- Non. Et puis quoi encore ? Appelez moi maître. Ou seigneur....Allez, je plaisante. Appelez-moi Arduilanar.
- De l'humour elfe ? Si c'est le cas, vous m'excuserez, mais je n'ai pas compris. Je crève de faim. Vous en voulez un peu ? Je me sens généreux, je ne vous en tiendrai pas rigueur. Non, ne vous évanouissez pas, c'est tout naturel.... Vous n'êtes pas obligé de faire cette tête là, vous savez. C'est de la nourriture, ça se mange.
- J'ignorais que cette chose que vous appelez nourriture se mangeait. Cela me touche beaucoup, mais je n'ai pas vraiment faim, mon dernier repas remonte à moins d'une semaine.
- Vache ! Une semaine ! Ah, j'comprend mieux. Si je souffle, vous volez ?
- Non. Je ne vole que monté sur un dragon.
- Allons, ne vous inquiétez pas, je plaisantais. Je ne soufflerai pas, promis.
- Croyez que j'apprécie votre magnanime grandeur.
- Croyez que j'apprécie votre chevaleresque condescendance.
-Et qu'est-ce qui peut amener un humain du nom de Backe a être ainsi traqué, à l'instar d'un animal sauvage ?
[...]

- En espérant que ce jour reste gravé à jamais dans la roche de votre mémoire, et que vous n'oubliiez pas de me rendre la pareille à l'occasion !"

- Toutes sortes de choses. Vous savez, l'Empire est un endroit merveilleux. S'il n'y avait cet officiel maléfique qui veut ma peau. Parce qu'un avis objectif est toujours désirable, vous en pensez quoi de ma peau ? Vous en voulez ?

"Vous n'êtes pas obligé de faire cette tête là, vous savez. C'est de la nourriture, ça se mange."
Owi ! ça se mange ! J'ai faim !

-Je me vois malheureusement contraint de réitérer mon refus.

Et si tu rebondissais sur le "Toutes sortes de choses" ? Parce qu'encore une fois, je sèche.

Si je comprends bien, vous êtes donc une sorte de... clandestin. Et pas au mieux avec les autorités, dirait-on. Aussi étrange que cela puisse paraître, moi non plus. Ca nous fait déjà un point en commun. Je ne me serais pas douté qu'on en avait tant.

"-Vous, mettez-vous là. Pas un mot. Et ne me touchez pas avec vos sales pattes mal lavées.
- Pardonnez mon ignorance, mais... Sans indiscrétion, vous... vous êtes quoi ? Un genre d'animal ? Un genre de... de ?
- Un genre d'elfe, sans doute ? Et vous, qu'êtes-vous ? A première vue, j'aurais penché pour une sorte de singe primitif, mais apparemment vous ne valez pas tant...
- Un elfe ? Jamais entendu parler. C'est sans doute là l'origine de ces disgracieuses oreilles. Vous avez raison, je ne suis pas un singe. Enfin, je ne le crois pas, et vous avez l'air d'être d'accord. Mais... pourquoi toujours être tout de suite dans le jugement ? Et il ne me semble pas vous avoir remercié.
- Je ne sais pas si vos remerciements peuvent m'importer d'aucune manière. Mais s'il n'y a que ça pour vous faire plaisir, alors faites-donc.
- Je perçois une pointe d'ironie... Ma question était tout à fait innocente et n'avait de but provocateur que celui qu'il semble que vous lui ayez donnée. Je m'appele Backe. Et j'ai très soif. Je peux vous appeler l'elfe ?
- Non. Et puis quoi encore ? Appelez moi maître. Ou seigneur....Allez, je plaisante. Appelez-moi Arduilanar.
- De l'humour elfe ? Si c'est le cas, vous m'excuserez, mais je n'ai pas compris. Je crève de faim. Vous en voulez un peu ? Je me sens généreux, je ne vous en tiendrai pas rigueur. Non, ne vous évanouissez pas, c'est tout naturel.... Vous n'êtes pas obligé de faire cette tête là, vous savez. C'est de la nourriture, ça se mange.
- J'ignorais que cette chose que vous appelez nourriture se mangeait. Cela me touche beaucoup, mais je n'ai pas vraiment faim, mon dernier repas remonte à moins d'une semaine.
- Vache ! Une semaine ! Ah, j'comprend mieux. Si je souffle, vous volez ?
- Non. Je ne vole que monté sur un dragon.
- Allons, ne vous inquiétez pas, je plaisantais. Je ne soufflerai pas, promis.
- Croyez que j'apprécie votre magnanime grandeur.
- Croyez que j'apprécie votre chevaleresque condescendance.
- Et qu'est-ce qui peut amener un humain du nom de Backe a être ainsi traqué, à l'instar d'un animal sauvage ?
- Toutes sortes de choses. Vous savez, l'Empire est un endroit merveilleux. S'il n'y avait cet officiel maléfique qui veut ma peau. Parce qu'un avis objectif est toujours désirable, vous en pensez quoi de ma peau ? Vous en voulez ?
- Si je comprends bien, vous êtes donc une sorte de... clandestin. Et pas au mieux avec les autorités, dirait-on. Aussi étrange que cela puisse paraître, moi non plus. Ca nous fait déjà un point en commun. Je ne me serais pas douté qu'on en avait tant.
- Etrange ? Pourquoi ? J'ai vu tout de suite que vous étiez malhonnête. J'irais même jusqu'à dire que vous transpirez la truanderie, ouais !

-Malhonnête ? Un seigneur de Caledor ? Laissez-moi rire, mon ami. Un elfe ne peut qu'être pur, que ce soit dans la corruption ou la loyauté. Les demi-mesures ne sont point pour ceux de ma race, et les petits brigands de votre espèce y sont inconnus.