Un jour nouveau

Tu n'es ni roi, ni sorcier, et encore moins roi-sorcier, c'est comme ça, contente toi de peau de bête et de fougère. Nah.

Il l'étrangle à main nue, nuance. Cela demande encore plus de force

Mais tu oublie Eltharion. C'est un sorcier en armure. Ou encore ce sympathique objet magique qui transforme un noble en sorcier pour 45 pts.

Et puis, selon le fluff c'est juste plus difficile. Or les hauts elfes ont une affinité à la magie, si tu te cantonne aux domaines basique, ça peut le faire, non ?

Le Roi-Sorcier est le Roi-Sorcier. Y'a que Teclis pour être plus grosbill
Et il coûte 1000pts tout équipé. Voilà pourquoi il a le droit.

Quand j'y pense...
Son arme détruit les objets magiques et fait perdre des niveaux aux mages d'en face, son bouclier est un tueur de Sorciers en cela qu'à chaque fois qu'il dissipe un sort dirigé contre lui, le lanceur se prends autant de touches de force 6 qu'il a lancé de dés de pouvoirs.
Sauvegarde invulnérable à 2+ contre toute attaque non magique.
Insensible aux coups-fatals et aux dégats multiples, à la place il ne perds qu'un point de vie.

Et il peut avoir un sort qui fait subir une touche de force 2 sans sauvegarde d'armure à toutes les figurines d'une unité dans un rayon de 12 pas. Les PV ainsi perdus , il les absorbe pour regagner les siens jusqu'à en avoir le double de sa valeur initiale, maximum.

Et il a une endurance de 4

Et il a la haine

Et il immunise ses elfes noirs à la panique

Et il a accès à "horreur noire"
Vous placez le grand gabarit n'importe où dans un rayon de 18 pas. Toute figurine recouverte, même partiellement, doit faire un test de force ou perdre un PV.
Toute perte provoque un teste de panique

Khaine bénisse les elfes noirs.

Pfeuh. Vous savez ce que j'en pense. Et j'en pense des tas de choses.

"L'armure dorée est peut-être légèrement too much. Il s'agirait plutôt d'une tenue d’apparat. "
Je ne ferai pas dorer mon manteau à la feuille d'or. Alors j'imagine que ça va faire bizarre.

"Dans ce cas, les caractéristiques de la fig sont peu représentatives de la réalité. "
Mon stégadon est aussi fort que mon héros saurus. Et mon héros skink est aussi fort que mon kroxigor.

"Arduilanar vit avec stupéfaction le vampire se jeter vers le Chaotique, et, consterné, arrêté sa course. Mais un coup d'épée sonnant contre son armure le rappela aussitôt à la ralité. Se retournant, il trancha en deux son adversaire d'un coup de taille, et, se fendant, porta un mortel coup d'estoc à un clochard qui braillait en agitant un rudimentaire fléau. Le sang éclaboussa son épée jusqu'à la garde et se mit à grésiller.
"


Ah ! Je le savais, je le savais ! Je n'invente rien !



Cela mis à part, j'ai corrigé, si tu as le temps dit moi ce que tu en pense.

Ah, et je voulais en savoir un peu plus sur vos deux épées...
Ont-elles un nom ?
L'épée de Backe (et lui avec) passe en mode "Super sayan" à quel moment ? Genre, est ce que la présence d'une bête soumises à des mutations chaotiques le déchaîne ou bien une sorcière elfe noire suffit ?

Sinon...Arduilanar connais t-il des nobles à la cour du roi ? A Eataine ?

En théorie, ou en tout cas dans ma théorie, il perd plus ou moins le contrôle lorsqu'il sent le Chaos. Pourquoi, je ne sais plus très bien. Disons que parce que son ancêtre, ou ce qu'il en reste, est dans l'épée. Et que justement, ce qu'il en reste, c'est sa fureur. Et d'autres choses aussi, sans doute.

Il faudrait que j'y repense. Mais pas maintenant.

Ce fut comme s'ils étaient passés sous une cascade. L'atmosphère à l'intérieur du palais était totalement différente de l'extérieur. Une lumière ténue filtrait depuis les innombrables vitraux parsemant le toit et les murs de chaque pièce. Le corps de garde était un bâtiment long d'une trentaine de mètres, loin au-dessus de la tête des elfes la voute de marbre était soutenue par deux rangées de piliers si imposants qu'ils rapetissaient tous ceux qui les approchaient.
Entre chaque pilier, partiellement dissimulé dans les ombres on pouvait distinguer les formes en-capées d'elfes à l'allure sinistre. Grands, revêtus d'armure lourdes de la plus fine facture et ornées de la flamme immortelle d'Asuryan, ses elfes se tenaient parfaitement immobiles, de grandes hallebardes tenues à un angle rigoureusement identique. Mais plus que tout, c'était leurs heaumes qui trahissait leur statut. Effilés à la mode elfique, chacun d'eux était orné de part et d'autres d'ailes d'or.
La Garde Phénix accueillait les visiteurs dans le silence le plus total, en accords avec son vœu.

S'il se concentrait, Ilithas pouvait distinguer l'air vibrer doucement autours d'eux, ondulant sous les vagues de pouvoirs qui émanaient des guerriers saints. Les templiers d'Asuryan étaient renommés pour avoir vu le futur, gravé en lettres de feu sur les murs de la chambre des Jours. Les elfes qui posaient les yeux sur ses mots devaient prêter vœu de silence, et on disait qu'ils avaient la connaissance de toute chose à venir. Lors de la mort d'un Roi-Phénix, ils surgissaient de nulle part pour emporter le corps du défunt vers sa dernière demeure. Ces moines-guerriers connaissaient même le jour de leur mort et affrontaient sans la moindre hésitation les pires horreurs de ce monde et des autres.

C'est donc sous le regard de ses sinistres gardes que l'escorte avançait, la quiétude du corps de garde n'étant brisée que par le bruit de pas des elfes et par le léger cliquetis des armures d'Ithilmar. Le vestibule se terminait par une immense porte dont les doubles battants d'or massif étaient ornés d'une surabondance d'ornements d'argent et de pierres précieuses, la gravure d'un phénix étendant ses ailes enflammées d'un bout à l'autre des portes. À l'approche du groupe, deux Gardes Phénix surgirent des ombres pour repousser les battants devant leur avancée. Malgré leur poids manifeste, les elfes les poussaient sans le moindre effort et elles s'écartèrent sans un bruit, révélant la salle du trône du Roi Phénix.
Si le corps de garde était grand, il ne ressemblait guère qu'à un placard poussiéreux en comparaison de la salle d'audience. Longue de plus d'une centaine de mètres, large de plus de cinquante, elle consistait en une allée pavée de joyaux surplombée par d'immenses estrades de marbre où se massaient d'ordinaire le peuple lors des jours d'audience publique. Aujourd'hui, les bancs n'étaient occupés que par un parterre de nobles en plein débats et leurs serviteurs, encadrés par une garde étonnement nombreuse.

Au fond des balcons, là où ils rejoignaient les murs, une myriade d'ouverture s'ouvraient dans la façade, ouvrant sur des coursives intégrées aux murs et courant sur toute la longueur du bâtiment. Surplombant les estrades, des vitraux aux couleurs chamarrées projetaient une lueur diffuse dans toute la salle, la lumière semblait étrangement provenir des deux côtés de la salle, comme si deux soleils brillaient pour le Roi des elfes.
Plus haut, les murs se rejoignaient en de gracieuses voûtes croisées, de fines chaînes pendant des clés de voûte sur plusieurs dizaines de mètres, des globes de verres richement ornés suspendus tout au bout, pour venir osciller à quelques mètres au dessus des têtes des nobles perchés sur les balustrades. Un feu magique bleuté brillait dans ses globes et diffusaient une douce lumière.

Tout au bout de l'allée, les estrades s'effaçaient devant un somptueux escalier s'étendant sur toute la largeur de la salle et qui se poursuivait jusqu'à dominer les estrades elle-mêmes, avant de s'aplanir pour former une plate-forme.

Et tout en haut des marches....
Le trône du Roi semblait irradier de lumière. Deux immenses ailes dont les plumes semblaient faites de rubis entouraient le trône comme pour le protéger. Le dossier du siège s'élevait pour se transformer en un gracieux buste de phénix, et tout autours du trône s'élevaient des flammes blanches sans chaleur. Finubar le Voyageur était nommé ainsi en raison de son passé aventureux. Il était connu pour sa sagesse, et comme l'un des plus conciliants Roi Phénix, étant celui qui avait ouvert le port de Lothern aux non-elfes, une décision qui fit scandale en son temps mais dont la justesse n'était plus à prouver tant les coffres de la cité débordaient de richesses. Le roi était à l'image de l'atmosphère du palais, paré pour la guerre et les traits tendus, il émanait néanmoins de lui une détermination formidable, comme à même de séparer les océans et déplacer les montagnes. Le Roi-Phénix était penché sur son trône, prêtant l'oreille à l'un de ses conseillers.
Une petite armée de domestiques, de nobles et de généraux l'entouraient, demeurant à une distance respectable du trône qu'entouraient quatre gardes royaux portants de grandes lames pointées vers le bas, les deux mains reposant sur les pommeaux.

Derrière le trône, deux immenses battants arborant une fois encore un Phénix embrasé étaient clos. A gauche des portes, le mur était caché par une grande bannière aux armoiries d'EAtaine, tombant du plafond pour venir frôler le sol. Tout en haut du mur à la droite des portes, on pouvait distinguer une bannière aux proportions semblables mais encore roulée sur elle-même.

Lorsqu'il pénétra dans la salle, tout cela sauta aux yeux d'Ilithas alors qu'un chœur de voix mélodieuses résonnaient en fond sonore comme le murmure distant d'une foule, un chant doux et harmonieux. Dissimulant sa nervosité sous un masque impassible, Ilithas s'avança d'un pas résolu vers le trône. Il y eut un claquement sourd quand les portes se refermèrent dans le dos de l'escorte, et les nouveaux venus furent soudain l'objet des regards de la salle entière. À l'autre bout de la salle, le Roi-Phénix porta son attention sur les elfes qui l'approchaient et un étrange sourire lui vint tandis qu'il se redressait.

la scène propulsa Ilithas dans sa vie antérieure, lorsqu'il franchissait ces portes entouré de sa garde personnelle, acclamé par tous alors qu'une pluie de pétales bleus tombaient du plafond, les voûtes résonnant sous la fanfare d'une centaine de cors d'argents. Un tout autre accueil lui était réservé désormais.

En haut des estrades, certains nobles vinrent se tenir aux garde-fous pour observer les nouveaux venus.

Une sourde rumeur monta de la foule jusqu'à parvenir aux oreilles d'Ilithas, encadré par Korhil et le chancelier du Roi, et toujours suivit d'une cohorte de Lions Blancs. Le chemin menant au Trône était bordé de gardes sur le qui-vive.

Sur leur passage, les nobles massés dans les tribunes gardaient un silence glacial, encore plus dérangeant que celui des Garde Phénix car accompagnés de regards tout aussi froids. Sans qu'un quelconque signal ne fut donné, la lourde bannière pendant à la droite du Trône se déroula avec douceur, révélant peu à peu les armoiries de Saphery. L'acte était bien sur cérémoniel, et chaque noble convoqué par le Roi recevait l'honneur d'être accueillit par les couleurs de sa terre natale. Plus concrètement il s'agissait d'un moyen simple de lier les maisons nobles au Trône du Roi. Malgré cela, cerné qu'il était par les regards méprisants de ses pairs et assaillit par les chuchotements qu'il aurait aimé ne pas être capable d'entendre, Ilithas trouvait réconfortante l'idée qu'il puisse encore être considéré comme un ressortissant de la terre des Mages, et c'est la tête haute qu'il affronta l'hostilité de ceux qui autrefois l'acclamaient.

Après ce qui lui parut une éternité l'escorte parvint au bas des marches, uniquement accompagnée du chœur lointain, et les Lions Blancs se déployèrent sur la largeur de la salle, formant comme un mur entre le vampire et le bas des marches.

Sentant peser sur lui le regard implacable du Roi, Ilithas s'avança d'un dernier pas et mit un genoux à terre.

"Mon Roi, par la grâce d'Isha je réponds à votre appel et me présente devant vous."

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Merci Backe, je prends bonne note.

Je... l'émotion, sans doute. Tous ces concours me mettent les nerfs à vif.

En voilà une image que je l'aime !

La sweet ! La sweet !

"elle consistait en un long couloir pareil à une fosse"
Chaque fois que je relis cette phrase, je vois... Une fosse. Dans ce genre là, en plus grand, plus profond, au rebords plus terreux et avec des chapiteaux rouges et blancs de part et d'autre. Le tout dans un grand fouillis d'objets divers, sans doute à cause de cette histoire de peuple.

Tu as un pouvoir d'induction à en induire un axe surnuméraire, à en faire pâlir un TGF-β, et peut-être même tout le centre de Spemann !
Tu vas en invaginer des choses, c'est moi qui te le dis.

Pour une fois que j'ai une critique constructive à émettre, j'en profite donc. C'est à dire que cette image me reste bien deux ou trois secondes. Ça s'estompe avec la suite, lorsque tu en reviens à un vocabulaire moins fossesque et plus "je ne mâche pas mes mots", un peu comme ceci, mais il y a tout de même une légère persistance qui vient se coller lors de l'avancée, fort respectable au demeurant, de ce brave Ilithas.

C'est peut-être parce que j'en ai plein la tête de ce concours - et que je suis par conséquent compétent à ton induction, et que... Et que tu vas m'invaginer. 'y en a marre à la fin.

Je te propose d'enluminer un peu ce passage - de lui blanchir les dents, comme dirait l'autre, ça devrait disparaître. Je relirai encore, mais il me semble que ça manque de description, et même d'emphase. Passage obligé, à mon avis, dans ce genre d'endroits. Il manque l'immensité, en fait, à qui j'ordonne d'être là.

Si jamais tu as comme moi des trous dans les idées, tu sauras quoi faire pour occuper ton après-midi.

Ah, et puis je ne pouvais tout même pas laisser passer :
"Lorsqu'il pénétra".... SKSSSS.

Backe, je ne suis pas sur d'avoir tout compris, alors je vais décrire un peu plus dans le doute

Effrayant seigneur, il me faudrait encore ton approbation concernant le nouveau style d'Arduilanar et si possible des description de son épée.

Ou tu pourrais me demander aussi à moi, tant qu'à faire. J'en ai fait des dessins, de son épée. Mais sans scanner opérationnel, il va falloir trouver autre chose. Je vais tâcher d'être lyrique.

Je l'imaginais, en action, comme nimbée de flammes magiques. Ou plutôt d'énergie magique pure et bleutée. Un peu comme le halo qui entoure la tête de ceux qui lancent des sorts dans Lanfeust, si tu vois. Et des arcs de magie (comme des arcs électriques, en somme) seraient lancés vers le lieu d'action du sortilège (toujours comme dans Lanfeust, d'ailleurs).
Pour la lame elle-même, je la voyais relativement sobre pour une épée elfique, trois petites gemmes sur la poignée et ni ailes de dragon ou runes qui ont rapidement tendance à submerger les produits de l'artisanat des prêtres de Vaul.
J'avais un joli dessin d'Arduilanar en armure quelque part, il faudrait que je le retrouve. Pour pouvoir ne pas le scanner.

Après, concernant l'histoire de l'épée - mais je gage que tu t'en moques comme de la première coupe de sang d'Ilithas - il s'agirait plutôt d'un héritage paternel. Histoire de ne pas être qu'un "fils à môman". Et comme sa mère est morte, cela permettrait potentiellement au héros d'établir un lien avec son père, voire de le retrouver. Histoire de pouvoir pleurer encore un peu sur le tragique de son histoire.

"Ou tu pourrais me demander aussi à moi, tant qu'à faire."

Je ne voulais déranger tes études. Merhéhé.

"Après, concernant l'histoire de l'épée - mais je gage que tu t'en moques comme de la première coupe de sang d'Ilithas - il s'agirait plutôt d'un héritage paternel. Histoire de ne pas être qu'un "fils à môman". Et comme sa mère est morte, cela permettrait potentiellement au héros d'établir un lien avec son père, voire de le retrouver. Histoire de pouvoir pleurer encore un peu sur le tragique de son histoire."

La première coupe de sang d'Ilithas, c'était son frère, donc non je ne m'en fiche pas

Est ce à dire qu'il ne connais pas encore son père ? Qu'il n'est pas noble, ou qu'il l'ignore ?
Mince !

J'ai besoin de ses origines, et surtout de savoir de quoi il est présumé coupable, pour le prochain chapitre

Bah, j'attendrais.
En attendant, je vais pleurer un peu.

Pour l'épée ça marche, au final elle est couvert de runes ou pas ?

*****

J'ai retravaillé le dernier texte !

Je la voulais sobre, mais au final, les runes changent bien peu de choses. Autant les garder, pour faire le contraste avec l'épée des Leiden.

Arduilanar ne connaît pas son véritable père, mais il a été élevé par des nobles et est bel et bien ipso facto un prince de Caledor. (Que voulez-vous, on est un latiniste distingué ou on ne l'st pas.)
Pour son accusation, justement, il va falloir que je (nous ?) décide(-ions) quelque chose de définitif. Tout d'abord, que se passe-t'il au juste avec les parents adoptifs ? La mort tragique des parents sous les yeux effrayés de l'enfant de neuf ans, ça le fait plus que la mort tragique des parents assassinés sous les yeux de leur grand garçon de quatre-vingt ans. Et pourtant, ils doivent mourir. Comme Caulis.

Pourquoi pas le syndrome Uchiwa ? Le grand frère massacre la famille et laisse son petit frère en vie parce qu'il est insignifiant/pour qu'il puisse le détruire une fois grand ?

D'un autre coté, pourquoi Arduilanar serait-il éxilé si le meurtre de ses parents adoptifs à eu lieu lorsqu'il avait 9 ans ? C'est pas comme s'il était soupçonnable...

Je disais neuf ans pour le personnage de Backe.

Uchiwa, justement, j'y ai pensé. Et à Harry Potter aussi, tant qu'on y est. Je voyais plutôt un lien ambigu haine/amour, qui caractérise si bien le concept des frères ennemis. Après tout, l'opposition entre Asurs et Druchiis est bien un conflit entre frères, et c'est pour cela qu'ils se haïssent tant. Arduilanar est le petit frère d'Aicalith, un lien fort les rapproche et Aicalith souffre de voir que son frère refuse de suivre sa voie. Il est aux portes de la folie depuis son épopée à Naggaroth, et l'amour se mue en haine.

Je ne me souvenais même plus qu'il avait neuf ans. En fait, je ne sais même pas quel âge il a exactement. Et vous savez pourquoi ? Parce que lui non plus.

"tout cela sauta aux yeux"
Beaucoup plus, oui !

On dira ce qu'on voudra, le marbre et les joyaux, ça colle mieux devant un roi qu'une fosse. Une fosse remplie de purin - je n'osais pas le dire, mais je voyais cette fosse remplie de purin.

Désolé. J'aime le marbre. Je me demande bien ce qu'il va se passer ensuite.

Bonne chance pour trouver un moyen de démêler tout ça, ça m'a pas l'air simple.

00h00 ! Te rends-tu seulement compte ? Non, bien sûr.

Le sourire du Roi s'élargit légèrement alors qu'il se levait en écartant les bras, comme pour enlacer la salle tout entière.
"Et le Trône est heureux de vous accueillir dans la lumière d'Asuryan seigneur Alenör," Enonça Finubar, comme un texte récité un millier de fois. Quelque chose changea dans la tenue du Roi d'Ulthuan et son sourire se fit plus chaleureux.
"Relevez vous mon ami, et approchez vous. Cela faisait trop longtemps que je n'avais eu le plaisir de vous voir."

Ce n'est que lorsqu'une vague de soulagement fit surface, qu'Ilithas réalisa qu'il craignait secrètement que son retour ne l'amène à portée de lame d'un bourreau et vers une mort mille fois méritée.
Devant lui, les rangs des Lions Blancs s'ouvrirent, et c'est avec autant de hâte que le protocole le lui autorisait qu'il vint enfin se présenter face au Roi lui même.
"Tout le plaisir est mien monseigneur." dit-il en acceptant la main que lui offrait le Roi-Phénix. "Vous n'imaginez pas la joie que j'éprouve à vous revoir mon Roi. Tout cela semble appartenir à autre vie."
"Je peux comprendre cela, s'amusa Finubar, J'ai moi-même parfois l'impression de vivre la vie d'un autre. Mais venez, l'endroit n'est pas propice aux sujets dont je souhaite vous entretenir."
L'invitant à le suivre, Finubar les fit contourner le trône. Aussitôt, sa garde rapprochée les encadra tout deux alors que la suite du Roi leur emboitait le pas.
Ils passèrent par les portes situées derrière le trône, abandonnant dans leur sillage les murmures agités de la noblesse.
Une fois les portes passées, le Roi congédia la majorité de son escorte et conduisit Ilithas à travers une série de couloirs toujours aussi somptueux, bien que de dimension bien moindre. Ils finirent par déboucher dans une salon circulaire, orné de soieries et doté de nombreux fauteuils et bancs. Mais ce qui attirait le plus l'attention était la table ronde occupant son centre, sculptée avec une précision infinie elle représentait une carte détaillée d'Ulthuan et ses eaux proches. Une multitudes de petits drapeaux blancs et noirs y étaient éparpillés, les fanaux ondulant doucement sous une brise qui n'existait pourtant pas. Un autre groupe d'elfe était déjà attroupé autours de la table, certains d'entre eux observant la progression des armées sans ciller des heures durant avant de souffler une consigne à l'oreille d'un scribe, lequel s'empressait alors de retranscrire et de sceller les ordres de son seigneur avant de confier le message à un messager qui quittait alors la pièce en toute hâte.

Tout les elfes présents dans la salle s'inclinèrent brièvement lorsque le Roi fit son apparition et que son escorte se dispersa aux quatre coins de la pièce. Invitant Ilithas à le suivre d'un geste de la main, Finubar se rapprocha d'un pas leste de la table pour se pencher sur sa surface.
"L'heure est bien plus avancée qu'il n'y paraît Alenör, au moment où je vous parle les portes du Griffon et de la Licorne sont déjà assiégées. Comme vous le savez surement, l'île d'Albion est redevenue accessibles aux mortels depuis quelques temps. Il y a là-bas une telle concentration magique que nous ne pouvons nous permettre de simplement laisser les races inférieures se battre pour sa possession. Le Défenseur d'Ulthuan s'est lui-même rendu sur place afin d'y assurer l'emprise des Asurs, et son frère devrait bientôt l'y suivre. Nous avons détaché nombre d'osts vers cette île maudite, bien trop selon certains de mes conseillers..." Le Roi-Phénix balaya du regard ses pages dont la plupart semblaient inspecter intensément le bout de leurs chausses. " Que se soit par fourberie ou par chance, les Druchiis ont lancé l'assaut voilà des mois, et il se murmure que le Roi-Sorcier lui même marcherait à la tête des phalanges de Naggaroth. Pour l'heure, nos forteresses ont su repousser tout leurs assauts, mais Ellyrion est sur le point de tomber. Les troupes d'Ulthuan sont bien trop éparpillées pour espérer opposer une solide résistance. Regardez." Finubar pointa du doigt la région d'Ellyrion et soudain la surface de la table sembla s'animer alors que les monts Annulii se rapprochaient pour bientôt s'effacer devant une terrible vision. La vision qui s'offrait à Ilithas était partiellement cachées par des nuages, comme s'il observait la terre par les yeux d'un dieu omniscient, mais il distinguait tout de même parfaitement la porte du Griffon. Ses murs blancs étaient souillés par des débuts d'incendies. Aux pieds des remparts, des milliers de cadavres gisaient là où ils étaient tombés et des nuées de corbeaux obscurcissaient le ciel. Hors de portée de tir des murs, un vaste camp de tentes noires maculait la terre comme un immonde cancer. La forteresse était en comparaison tenue par un nombre presque dérisoire de gardes aux heaumes d'argent, mais la simple taille phénoménale des murs semblait rendre les portes inexpugnables.

"Pareille scène se joue aux portes de la Licorne. Ellyrion n'a plus les moyens de tenir les passes, et chacun de ses guerriers est mobilisé pour défendre ses deux portes."

Puis la vision s'éloigna, le paysage se fondant dans un flou de couleurs rendues indistinctes par la vitesse. Les montagnes, les forêts et les plaines si vertes qu'elles en devenaient irréelles se fondaient en un flot fascinant, jusqu'à ce que l'image s'immobilise tout à coup prêt des côtes de la mer extérieure. Une forteresse noire, faite d'acier et d'airain semblait s'accrocher à une falaise, et de ses ponts-levis abaissés se déversaient un véritable flot de guerriers disciplinés et de barbares féroces. En y regardant de plus prêt, on pouvait voir que des grappins reliaient la forteresse à la côte et un frisson parcourut l'échine d'Ilithas lorsqu'une colonne de cavaliers noirs se détacha de l'armée en formation pour s'enfoncer dans les terres. Arche Noire. Ces deux mots suffisaient à faire trembler les plus endurcis des vétérans elfes. L'image reprit de la vitesse, devançant les rangs serrés de Druchiis et de barbares sur des dizaines de kilomètres avant de se figer de nouveau.

"La porte de l'Aigle, annonça Finubar. C'est la prochaine cible des légions de Malékith. Si les Druchiis donnent l'assaut, la forteresse tombera. Et avec elle, c'est l'arrière des autres portes et tout Ellyrion qui sont ouverts à nos ennemis, offrant une voie ouverte aux Druchiis sur la mer intérieure."

La vision de la table montrait maintenant un fort blanc, encastré entre deux chaînes de montagnes, ses murs rivalisant avec les montagnes et ses tours cotoyant les nuages. Ici et là, le soleil se reflétait sur le casque scintillant d'une sentinelle. Bien trop rarement au goût du vampire.
Le Roi-Phénix fit un geste de la main et la table reprit une vision normale.
"Le Défenseur vous tient en haute estime Ilithas, et moi de même. Voilà pourquoi je vous charge de vous rendre à Tor Raenaï et d'y lever les troupes qui doivent allégence à la maison Alenör. De là, vous quitterez Saphery pour rallier Tor Elyr et irez tenir la porte de l'Aigle. Les moyens que vous emploierez sont laissés à votre discrétion. Pouvez vous faire cela pour moi mon ami?"

Ilithas, qui était resté silencieux durant tout le temps de l'exposé des faits prit son temps pour répondre. Son désir de faire ses preuves et de regagner la confiance de tous était bien sur très tentant, mais il n'était pas de ceux qui faisaient passer la gloire avant le devoir. En général en tout cas. Il devait être sur et certain de pouvoir remplir son devoir, ou au moins d'avoir une chance d'y parvenir, avant d'accepter. Estimant mentalement les distances, il se livra à un rapide calcul.

"Nous n'arriverons pas avant les Druchiis monseigneur. Même dans le meilleur des cas."

"N'en soyez pas si surs. Les Ellyriens ne sont pas elfes à rester cloîtrés dérrière de hauts murs. Leurs patrouilles harcèleront les Druchiis tout le long de leur avance. "

"Il me faudra une flotte des navires les plus rapides."
"Accordé."
"Et une escorte montée pour rejoindre Tor Raenaï."
"Cela va de soi. D'ailleurs, n'étant pas certain de votre venue j'ai prit la liberté de détacher le Prince Aethin sur place afin de commencer la levée des troupes, je vous ferais remettre un sceau vous garantissant toute autorité durant cette campagne."
Le noble de Saphery prit à nouveau un moment pour réfléchir. Ses pensées vagabondèrent un instant, s'égarant au cœur des forêts enchantées de Saphery qu'il n'avait pas arpentées depuis si longtemps que le souvenir s'en estompait peu à peu dans son esprit. Lorsqu'il releva les yeux vers son Roi, un étrange sourire lui vint.
"Ce sera fait, Monseigneur."

Chic alors, va y avoir de l'action !

"Les troupes d'Ulthuan Regardez"
Manquerait pas un bout de phrase ?

Il fallait que tu le remarque ! Infâme. Si tu n'étais pas l'un des seuls à me lire, je te zuterais. Je dois savoir, nous allons comme tu l'as compris, passer par Saphery avant de rejoindre Ellyrion. Est ce qu'Arduilanar voudra faire un détour par Caledor, pour y retrouver un vieil ami par exemple. Genre gros avec des écailles.

Sur le chemin de Saphery à Ellyrion, alors ? Sinon, ça fait un détour dans le détour.

Des retrouvailles poignantes et un moyen de transport rejetant peu de dioxyde de carbone. Que demander de plus ?

"Saphery à Ellyrion"
C'est bien l'idée que j'avais.

"un moyen de transport rejetant peu de dioxyde de carbone"

Je me suis toujours demandé si les possesseurs de dragons payaient la taxe sur le carbone. Rapport aux flammes.

J'ai donc ton accords ?

"J'espérais vous l'entendre dire Ilithas, fit le Roi en souriant avant de se rembrunir quelque peu. Toutefois, il est d'autres sujets dont il est impératif que nous nous entretenions. Notamment concernant votre...condition. "
"Je m'en doutais sire. Et à dire vrai je m'étonne d'être si bien accueillit. Nombreux sont ceux qui n'auraient eut pour seule miséricorde à mon égard qu'un bûcher de flammes blanches."
A ces mots, Finubar eut la délicatesse de paraître gêné.
"Et nombreux ont été ceux à me conseiller pareille mesure. Votre retour il y a de cela trois siècle était déjà sujet à controverse. Et ce qui a failli se passer lors de votre départ a conforté vos détracteurs. Mais j'ai regardé en vous Ilithas, et je sais que l'elfe que j'ai connu n'est pas partit comme certains aimeraient bien le croire. Le Prince Tyrion l'a également vu, la dernière foi, et pour moi comme pour nombre d'entre nous, sa parole fait foi. Néanmoins, vous comprendrez que je doive m'en assurer. Y a t-il un risque à vous laisser parcourir librement Ulthuan ?"
Ilithas n'avait pas quitté la table stratégique des yeux depuis le début de leur conversation mais il regarda son roi pour lui répondre. Le monarque ne frémit même pas lorsque le terrible regard carmin du vampire rencontra le sien.
"Je vous mentirait si je vous disait être totalement inoffensif. Mais je me contrôle bien mieux désormais, sans cela je n'aurais jamais accepté de revenir ici, dit il d'une voix dure avant qu'un sourire froid ne lui vint. Alors ne vous inquiétez pas, le pire qui puisse arriver est la disparition d'un mouton ou deux par semaine."
"Tant que vous ne vous abreuvez pas du sang des vierges, cela me conviens, s'amusa Finubar, feignant de ne pas voir les mines horrifiées des nobles les entourant. "Il faudra que nous prenions un temps, pour que vous m'expliquiez comment l'on se sent."
"Je pense écrire un livre. Je vous en ferais parvenir une copie."
"Ah Ilithas, parler avec vous me met toujours du baume au cœur. Hélas d'autres affaires m'appellent et je ne peut les ignorer plus longtemps. Partez maintenant, vous avez ma bénédiction. Alinath vous fournira tout ce dont vous avez besoin."
"Merci seigneur, ce fut un plaisir."
"Ah, j'allais oublier. Pourrez vous faire parvenir au jeune seigneur Theril mes salutations ?"
Devant l'air interdit d'Ilithas, Finubar se gaussa doucement. "Allons mon ami, vous êtes à Lothern. Et il me peinerait de ne pas être au courant qu'un noble tout juste rentré exil ait fait escale en ma cité. Dites lui que je souhaite m'entretenir avec lui, mais cela peut attendre."
"Je lui transmettrait vos paroles mon Roi, fit Ilithas en s'inclinant brièvement. Il franchissait les portes du salon lorsque la voix du Roi-Phénix le fit se retourner.
"Votre escorte vous attends déjà, il me semble que vous aurez plaisir à rencontrer celui qui la mène."
Et sur ses paroles, deux gardes refermèrent les lourds battants de la salle ovale, laissant Ilithas seul sous les regards des héros de jadis immortalisés par de sublimes enluminures peintes sur toute la surface de ce couloir. S'accordant un instant de mélancolie, son regard se perdit dans le reflet flou de lui même que lui renvoyaient les dalles de marbres.

"Comme au bon vieux temps..." murmura t-il pour lui même. Un bruit de pas le tira de sa rêverie et lui fit relever le regard sur la silhouette qui approchait à l'autre bout du couloir.

L'elfe était assez vieux pour être son grand-père, un fin visage qui fut autrefois surement beau, désormais couturé de cicatrices et encadrés par de longs cheveux blancs. Le vétéran portait une armure lourdement ornée et une large épée à deux mains pendait dans son dos. Ses armes étaient frappées de l'insigne d'Ellyrion et un sourire heureux qui illuminait son visage était fait rictus par une hideuse cicatrice qui lui barrait tout le côté gauche du visage.
Il avançait à grand pas vers Ilithas en ouvrant grand les bras et un rire cristallin montait peu à peu de sa gorge.
Découvrant peu à peu l'elfe qui venait à sa rencontre, Ilithas laissa échapper un cri de joie, toute morosité disparue comme neige au soleil.
"Par les dieux Ivrael ! C'est bien vous sous ces rides ?"
"C'est bien moi mon jeune maitre, répondit l'autre en franchissant les derniers mètres qui les séparaient l'un de l'autre. "Qu'il est bon de vous revoir Ilithas-Haratoï !" Riant tout deux, ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre d'une façon bien peu aristocratique. Tenant le vieux maitre d'arme par les épaules, Ilithas rompit leur accolade le temps de reprendre une bien frêle contenance.
"Ivrael, cela fait si longtemps. C'est donc vous qui nous escorterez ?"
"Si fait mon seigneur. Mais je me dois de vous faire remarquer que cela aurait fait moins longtemps si vous aviez daigner me rendre visite il y a trois siècles !"
"Ah, mon ami. Tu n'aurais pas aimé ce que tu aurais vu alors."
"Et c'est pourquoi je vous pardonne, s'amusa l'épéiste de Saphery. "Quant aux cicatrices, elles n'atténuent en rien mon charme naturel."
Riant tout bas, Ilithas passa un bras autours des épaules de son ancien maitre d'arme et l'entraina avec lui tout le long du couloir.
"Allons, dit moi tout. Qu'est il advenu de ma famille ? Comment se portent mes parents ?"
Ivrael s'arrêta net et son visage blêmit légèrement.
"Mon seigneur, vous ne savez pas ?"
Ilithas fronça les sourcils , soudain très inquiet et ses traits se durcirent. "J'ai été absent quatre siècles. Parle."
"Ilithas...Votre père a rejoint vos ancêtres il y a de cela quinze années."

Ce qui fâche d'abord ! Pourquoi est-ce que ton roi n'a pas entendu parler de moi ? Si c'est pas du mépris !

Si j'ai bien compris, le Roi a serré la main d'Ilithas ? Est-ce bien là des manières royales ? Je n'ai jamais rencontré de roi, ceci dit. Alors je ne sais pas.

Ensuite, tout de même quelques fautes, dont l'une assez grossière : "l'elfe que j'ai connu n'ai pas partit"
ROOo *koff* *koff*. J'ai la toux grasse.

La répétition de montagnes, dans le premier texte, me dérange un peu, je dois avouer. Il y a des tas de mots pour montagnes, et les deux sont vraiment trop proches.

Voilà, c'est fini. Ces deux derniers textes sont les meilleurs de ce sujet, à mon avis - j'ai peut-être une petite préférence pour Crépuscule d'une vie, que j'ai relu il y a une dizaine de jours, mais ça s'en approche beaucoup niveau qualité.

Bref, ça va être épique ! Pas vrai que ça va être épique ? Ça sent l'épique, en tout cas. J'ai pensé au Gouffre de Helm.

Je me demande bien ce que Backe va faire dans tout ça.

" Pourquoi est-ce que ton roi n'a pas entendu parler de moi ? "

On lui fait la surprise, ce ne serait pas drôle sinon
J'ai prévu la légalisation de ton passage pour un peu plus tard.

"Si j'ai bien compris, le Roi a serré la main d'Ilithas ?"

Ils se sont plutôt empoignés virilement les avant-bras. C'est déjà plus royal, même si c'est mois elfique.

"l'elfe que j'ai connu n'ai pas partit"

Grand dieux ! Non ! NON ! NOOOOOOON !

Concernant les montagnes...Je dois aller dormir. Je regarderais plus tard, mais ej te fais confiance, t'as surement raison. Je rajouterais un pic et un mont ici et là.


"Je me demande bien ce que Backe va faire dans tout ça."

Tu as des préférences ? Des suggestions ?

"Ces deux derniers textes sont les meilleurs de ce sujet, à mon avis - j'ai peut-être une petite préférence pour Crépuscule d'une vie"

Je...Je suis confus. Tu veux dire que ces deux derniers textes sont les meilleurs de ceux que j'ai pu écrire sur mon vampire d'Ilithas avec néanmoins une légère préférence pour Crépuscule d'une vie ?
En parlant de ce texte, il faudra que je songe à le finir.

Courir sur les tentacules d'un kraken déchaîné, ça me plairait bien. J'ai une carte étudiant, je prendrai un deuxième sandwich avec ça.

"Ils se sont plutôt empoignés virilement les avant-bras. C'est déjà plus royal, même si c'est moins elfique. "
Je ne sais pas, ça me semble un peu trop chaleureux. Mais bon, je ne vais pas passer la nuit à faire mon tatillon, je ne suis pas en état de rester debout plus longtemps. Je te harcèlerai demain.